Souvent comparé à la saga Cinquante Nuances, il est lui aussi basé sur le premier roman d'une trilogie du même nom écrite par Blanka Lipińska.
À sa sortie, le film reçoit un succès retentissant mais également controversé. Il suscite de nombreuses critiques négatives quant à la manière dont il met en scène la séquestration de son personnage principal[1],[2].
Laura, assistante commerciale en Pologne, effectue un voyage en Sicile avec son petit ami et des amis pour fêter son anniversaire. Elle est enlevée par Massimo, un mafieux italien, qui lui donne 365 jours pour tomber amoureuse de lui. Celle-ci refuse de lui obéir dans un premier temps, puis une relation sadomasochiste s'installe entre les deux personnes...
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Titre original polonais : 365 dni
Titre anglophone : 365 Days
Titre français et québécois : 365 Jours
Réalisation : Barbara Białowąs et Tomasz Mandes
Scénario : Tomasz Klimala, d'après une histoire de Barbara Białowąs, Blanka Lipińska et Tomasz Mandes, d'après le roman365 dni de Blanka Lipińska
Musique : Mateusz Sarapata et Michal Sarapata
Décors : Agnieszka Bartold
Costumes : Magdalena Sekrecka et Małgorzata Skorupa
Maquillage : Grzegorz Szczuka
Photographie : Bartek Cierlica
Son : Kacper Habisiak, Marcin Kasinski, Filip Krzemien
Montage : Marcin Drewnowski
Production : Maciej Kawulski, Ewa Lewandowska et Tomasz Mandes
Coproduction : Robert Kijak et Anna Wasniewska-Gill
Sociétés de production[5] : Ekipa, en coproduction avec Future Space, Next Film et TVN
Sociétés de distribution : Next Film et Netflix (Pologne) ; Netflix (France)
365 Jours fait partie du top 3 des films les plus consultés sur Netflix dans de nombreux territoires (notamment en Europe, au Moyen Orient et en Amérique du Nord) lors de sa sortie. Il a été no 1 pendant quatre jours sur le Netflix américain[1].
Sur le site Allociné il reçoit une note moyenne de 1,5 étoile sur 5[13]. Selon le sondage Google, 76 % des utilisateurs qui ont visionné le film l'ont aimé.
365 Jours se fait rapidement remarquer sur Internet, où il est critiqué pour érotiser, idéaliser ou représenter de manière méliorative le viol et la séquestration[14],[15],[16]. La chanteuse britannique Duffy, par exemple, qui a témoigné en février 2020 pour dire qu'elle avait été victime de viols et de séquestration, a demandé à Netflix de retirer le film de sa plateforme[17],[18],[19]. Elle écrit : « [Le film] érotise le kidnapping et déforme la violence sexuelle et le trafic comme un film ‘sexy’ [...] Nous savons tous que jamais Netflix n’hébergerait des contenus qui glamourisent la pédophilie, le racisme, l’homophobie, le génocide ou tout autre crime contre l’humanité. [...] Vous ne réalisez pas à quel point 365 Jours fait souffrir les gens qui ont vécu la douleur et l’anxiété que ce film glorifie. »[20].
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