Il écrit un diwan. Un de ses poèmes les plus connus est une qasida (élégie) sur la chute de la maison des Aftasides, connue sous le nom d' al-Qasidah al-bassamah ou parfois d' Abduniyya[1]. Ibn Badrun, lui-même un poète bien connu d'Al-Andalus, écrit un long commentaire sur les poèmes et la prose d'Ibn Abdun (Coupe de la fleur et coquille de la perle), traduit et édité par Reinhart Dozy en 1848.
Abd al-Malik ibn Abd Allah Ibn Badrun, Mahmud Hasan Shaybani, Abd al-Majid ibn Abd Allah Ibn Abdun, Sharh Qasidat al-wazir al-katib fīl-adab wa-al-maratib li-AbīAbd al-Majid ibn Abdun, ed. al-Riyad : M.H. al-Shaybanī, 1993.
Abd al-Malik ibn Abd Allah Ibn Badrun, Sharh qasidat Ibn Abdun al-marufah bi-al-basamah fīal-tarikh wa-al-adab, Le Caire : Mahbaat al-Saadah, 1921-1922
María José Rebollo Avalos, La cultura en el reino Taifa de Badajoz : Ibn Abdun de Evora (m. 530/1135), Departamento de Publicaciones de la Excma. Diputación Provincial de Badajoz, 1997
José Mohedano Barceló, Ibn Abdun de Evora, c. 1050-1135 : breve apresentacão e seleccão dos seus poemas, Evora : Universidade de Evora, 1982.
↑J. Mattock, « Reconsideration of the Abduniyya », in : Actas del XII Congreso de la UEAI, Malaga, 1984, Madrid, Instituto Hispanodrabe de Cultura, 1986, p. 537-558.