Albaret-Sainte-Marie

Albaret-Sainte-Marie
Albaret-Sainte-Marie
L'église Saint-Mary.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Mende
Intercommunalité Communauté de communes des Terres d'Apcher-Margeride-Aubrac
Maire
Mandat
Michel Therond
2020-2026
Code postal 48200
Code commune 48002
Démographie
Gentilé Albaretais, Albaretaises
Population
municipale
554 hab. (2021 en évolution de −2,46 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 59″ nord, 3° 14′ 53″ est
Altitude Min. 767 m
Max. 1 139 m
Superficie 15,98 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Chély-d'Apcher
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Chély-d'Apcher
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
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Albaret-Sainte-Marie

Albaret-Sainte-Marie est une commune française située dans le nord-ouest du département de la Lozère, en région Occitanie.

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Truyère, le ruisseau d'Arcomie et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Albaret-Sainte-Marie est une commune rurale qui compte 554 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher. Ses habitants sont appelés les Albaretais ou Albaretaises.

Géographie

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Localisation

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La commune d'Albaret-Sainte-Marie se situe dans le nord de la Lozère, en Margeride, à la limite du Cantal, à 12 km de Saint-Chély-d'Apcher.

Communes limitrophes d’Albaret-Sainte-Marie[1]
Val d'Arcomie
(Cantal)
Chaulhac
Les Monts-Verts Albaret-Sainte-Marie Saint-Léger-du-Malzieu
(par un quadripoint)
Saint-Chély-d'Apcher
(sur 200 m)
Blavignac

Hydrographie

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La commune est bordée au nord-est par la Truyère, et au sud-ouest par son affluent le ruisseau d'Arcomie.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 7,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 878 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Paulhac-en-Margeride à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 7,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 061,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité

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Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Deux ZNIEFF de type 2[Note 1] sont recensées sur la commune[8] :

  • le « cours de la Truyère et de la Rimeize aval » (503 ha), couvrant 14 communes du département[9] ;
  • la « vallée de la Truyère » (30 569 ha), couvrant 40 communes dont quatre dans l'Aveyron, 27 dans le Cantal et neuf dans la Lozère[10].
La place centrale.

Au , Albaret-Sainte-Marie est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (50,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,8 %), zones agricoles hétérogènes (39,2 %), prairies (13,4 %), zones urbanisées (3,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts

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Le village de la Garde, situé sur l'ancienne route nationale 9 (RD 809) et à proximité de l'A75 est aujourd'hui le centre de la commune. La mairie et l'école s'y trouvent.

Hameaux et écarts :

  • l'Estival ;
  • la Garde ;
  • le Mas Neuf ;
  • Orfeuille ;
  • Orfeuillette ;
  • la Roche ;
  • la Roussille ;
  • le Moulin de La Garde ;
  • le Moulin de La Barque.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Albaret-Sainte-Marie est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Risques naturels

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Albaret-Sainte-Marie est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[14]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du , complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du , abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 3],[14],[15].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Albaret-Sainte-Marie.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 3,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (15,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 287 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 14 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994 et 2003.

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Albaret-Sainte-Marie est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[19].

Albaret : désigne un lieu où pousse le peuplier blanc ou le saule blanc (occitan albar)[20].

Le château de la Garde.

La Garde faisait partie de la baronnie d'Apcher. Le château de la Garde, dont la construction remonte à la fin du XIVe siècle, avait pour but de protéger le château d'Apcher plus au sud. Aujourd'hui le château de la Garde est en ruine, pillé après la Seconde Guerre mondiale.

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune d'Albaret-Sainte-Marie est membre de la communauté de communes des Terres d'Apcher-Margeride-Aubrac[I 2], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Chély-d'Apcher. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[21].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Mende, à la circonscription administrative de l'État de la Lozère et à la région Occitanie[I 2].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Chély-d'Apcher pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 2], et de la circonscription de la Lozère pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[22].

Liste des maires

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Liste des maires d'Albaret-Sainte-Marie[23]
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1953 Maria Galvier    
1953 1989 Gabriel Gourdon DVD, puis UDR,
puis UDF
Conseiller général (1956-1988)
1989 En cours Michel Therond DVD ex-UDF,
puis UDI
Retraité
Conseiller départemental élu dans le
canton de Saint-Chély-d'Apcher depuis 2015.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 554 habitants[Note 4], en évolution de −2,46 % par rapport à 2015 (Lozère : +0,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
478387615549502490528533479
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
473406440434490541540502503
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
469471501468442413426387374
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
363320309333338452520522564
2015 2020 2021 - - - - - -
568557554------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique
L'antenne d'Orfeuillette de l'ISEM.

Enseignement

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La commune dispose d'une école primaire publique.

Albaret-Sainte-Marie possède une antenne universitaire de l'ISEM (université Montpellier 1) à proximité du château d'Orfeuillette près du hameau de la Garde. Elle propose des formations de management hôtellerie-tourisme (Master 1re et 2e année).

En 2018, la commune compte 222 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 521 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 300 [I 5] (20 420  dans le département[I 6]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 4,8 % 7 % 6,3 %
Département[I 8] 5 % 6,4 % 7,1 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 341 personnes, parmi lesquelles on compte 85,4 % d'actifs (79,2 % ayant un emploi et 6,3 % de chômeurs) et 14,6 % d'inactifs[Note 6],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 10]. Elle compte 143 emplois en 2018, contre 162 en 2013 et 149 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 271, soit un indicateur de concentration d'emploi de 53 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,9 %[I 11].

Sur ces 271 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 65 travaillent dans la commune, soit 24 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 90,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Culture locale et patrimoine

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Le musée.
Notre Dame de l'Assomption - Bourg de La Garde.

Lieux et monuments

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  • Le château d'Orfeuillette, demeure du XIXe siècle construite par le député sénateur lozérien Théophile Roussel, aujourd'hui hôtel-restaurant.
  • Église Saint-Mary d'Albaret-Sainte-Marie, de style roman et datant du XIVe siècle, située dans le bourg.
  • Église Notre-Dame-de-l'Assomption de la Garde, de construction récente, dans le bourg de La Garde, où ont lieu les offices religieux.
  • À quelques mètres de l'église Saint-Mary, musée installé dans l'ancien four à pain parfaitement conservé, créé par M. Tuffery et régulièrement mis à jour par les habitants. Il retrace la vie du village.
  • Les ruines du château de la Garde.
  • Aire de service de la Lozère à proximité de l'arboretum et du géoscope.

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  2. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune ».
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Albaret-Sainte-Marie » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Albaret-Sainte-Marie » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Albaret-Sainte-Marie » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Albaret-Sainte-Marie et Paulhac-en-Margeride », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Paulhac-en-Margeride_sapc » (commune de Paulhac-en-Margeride) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Paulhac-en-Margeride_sapc » (commune de Paulhac-en-Margeride) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Albaret-Sainte-Marie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « ZNIEFF le « cours de la Truyère et de la Rimeize aval » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « ZNIEFF la « vallée de la Truyère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. « Les risques près de chez moi - commune d'Albaret-Sainte-Marie », sur Géorisques (consulté le ).
  13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  14. a et b « Défense des forêts contre l'incendie (DFCI) », sur lozere.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Albaret-Sainte-Marie », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  19. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  20. Henriette Walter, Pierre Avenas et Laëtitia Locteau, La majestueuse histoire du nom des arbres: du modeste noisetier au séquoia géant, Robert Laffont, (ISBN 978-2-221-13622-5)
  21. « communauté de communes des Terres d'Apcher-Margeride-Aubrac - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  22. « Découpage électoral de la Lozère (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  23. D'après FranceGenWeb.org
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.