Robert Herne travaille dans une mine de charbon où il rencontre un extraterrestre venu d'une planète orbitant autour d'Algol qui lui confie une machine qui peut lui fournir une source illimitée d'énergie.
Longtemps, ce film fut considéré comme perdu. Néanmoins, une copie fut retrouvée et projetée le au MoMA dans le cadre de l'exposition WeimarCinema, 1919–1933: Daydreams and Nightmares[2].
« Algol n’est pas un film inintéressant bien que très inégal à plusieurs points de vue. Comme dans La Fin du monde, comme plus tard dans Métropolis, le scénario met en scène ce qu’on doit nommer les luttes de classes, ce quelques années avant la crise de 1929. » Cine-SF[3]
(en) : « As such, the movie hovers in a somewhat odd area between FAUST and METROPOLIS, though it really can't be fairly compared with either one. One odd thing about the movie is that it really doesn't seem to dwell on political or social commentary despite the theme of economic oppression (...) » Dave Sindelar [4]