Son mari s'engage dans la croisade des albigeois en 1209. Un an après, elle vient le rejoindre et amenant les renforts. Elle est restée là, aidant son mari. En 1217, elle est allée à Paris demander au roi des renforts, mais elle était à Toulouse au moment où Simon a été tué le . Après sa mort, Alix est retourné dans Montfort-l'Amaury où elle est morte le ou 1221.
(es) Martín Alvira, « Presencia política y participación militar de las mujeres en la Cruzada Albigense », Revista de historia Jerónimo Zurita, no 94, , p. 27-66 (ISSN0214-0993, lire en ligne).
(en) Sharon Bryant Neal, « "Las Donas e las femnas, las tozas avinens": Women in La Canso de la Crozada », Tenso, vol. 10, no 2, , p. 110-138 (ISSN0890-3352, DOI10.1353/ten.1995.0012).
Marjolaine Raguin, « Dames et jardins. De l'épique à la lyrique dans la partie anonyme de la Chanson de la Croisade albigeoise », Archives ariégeoises, vol. 6, , p. 77-99 (ISSN2265-8335, lire en ligne).
Jean Sarrand, « Alix de Montmorency et Marguerite de Marly », Bulletin de la Commission archéologique de Narbonne, vol. 32, , p. 173-175.
Monique Zerner, « L'épouse de Simon de Montfort et la croisade albigeoise », dans Femmes, mariages-lignages, XIIe – XIVe siècles : mélanges offerts à Georges Duby, Bruxelles, De Boeck Université, , p. 449-470.