Amorots-Succos

Amorots-Succos
Amorots-Succos
La mairie à Amorots.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Arnaud Laurent Abbadie
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64019
Démographie
Gentilé Amoroztar
Population
municipale
230 hab. (2021 en évolution de −3,36 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 21′ 58″ nord, 1° 06′ 39″ ouest
Altitude Min. 65 m
Max. 266 m
Superficie 15,20 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Palais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Amorots-Succos

Amorots-Succos est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Amorots-Succos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 100 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 47 km de Bayonne[3], sous-préfecture, et à 11 km de Saint-Palais[4], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Béguios (2,2 km), Masparraute (3,1 km), Luxe-Sumberraute (3,6 km), Orègue (3,7 km), Arraute-Charritte (3,8 km), Méharin (4,5 km), Garris (4,8 km), Labets-Biscay (4,9 km).

Sur le plan historique et culturel, Amorots-Succos fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[6]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[7]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[8],[9]. La commune est dans le Pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Arraute-Charritte, Béguios, Beyrie-sur-Joyeuse, Masparraute, Méharin, Orègue et Saint-Martin-d'Arberoue.

Communes limitrophes d’Amorots-Succos[10]
Orègue Arraute-Charritte Masparraute
Saint-Martin-d'Arberoue
(par un quadripoint)
Amorots-Succos Béguios
Méharin Beyrie-sur-Joyeuse

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Amorots-Succos.

La commune est drainée par le Lihoury, l'Aphatarena, Isaakenbordako erreka, un bras du Laharan, Jeloseko erreka, Othegiko erreka, Xirritako erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 20,54 km de longueur totale[11],[Carte 1].

Le Lihoury, d'une longueur totale de 45,7 km, prend sa source dans la commune d'Iholdy et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune sur une petite section, au sud-ouest du territoire communal, et se jette dans la Bidouze à Came, après avoir traversé 8 communes[12].

L'Aphatarena, d'une longueur totale de 16,9 km, prend sa source dans la commune de Béguios et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle longe la commune sur son flanc nord-est et se jette dans Le Lihoury à Bidache, après avoir traversé 6 communes[13].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 389 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast à 8 km à vol d'oiseau[17], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 219,1 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[22],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[23],[Carte 3] : les « landes, bois et prairies du Pays de Mixe » (1 739,31 ha), couvrant 9 communes du département[24].

Au , Amorots-Succos est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[25]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[1]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[26],[27].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (36,6 %), zones agricoles hétérogènes (31,1 %), forêts (29,1 %), terres arables (3,2 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Lieux-dits et hameaux

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Voies de communication et transports

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Amorots-Succos est desservie par les routes départementales D 14 et D 123.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Amorots-Succos est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Lihoury et l'Apatharena. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2014[32],[30].

Amorots-Succos est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[33]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[34],[35].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Amorots-Succos.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[36]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[37].

Attestations anciennes

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Le toponyme Amorots apparaît sous les formes :

  • Sanctus Vicentius de Maroz, Maroth et Morotz (1160[38]),
  • Amoros (1268[38]),
  • Amarotz (1305 et 1306[38]),
  • Amaroz (1350[38]),
  • Amoroz (1402[29], titres de Soule) et
  • Amorotz (1413[38], ou 1513[29], titres de Pampelune[39]).

Brigitte Jobbé-Duval[40] propose pour Amorots, une origine végétale, « le lieu de chênes ».

Le toponyme Succos apparaît sous les formes :

Pour Brigitte Jobbé-Duval[40], Succos pourrait provenir du basque zoko, signifiant « lieu écarté »

Autres toponymes

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La croix d’Ichobox désignait un pèlerinage[29], tout comme la croix Goïty.

Ospitaléa est une ferme mentionnée sous les graphies :

  • Zabala y l’Ospital (1513[29], titres de Pampelune[39]),
  • L’Hôpital d’Amorots (1708[29], règlement de la commanderie d'Irissarry[41]) et
  • Ospital (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[29]).
  • Paul Raymond[29] indique la présence d'une chapelle près de cette ferme, dépendant de la commanderie d’Irissarry.

Troussecaillau est un fief, vassal du royaume de Navarre, cité en 1863[29] par Paul Raymond.

Graphie basque

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Son nom basque actuel est Amorotze-Zokotze[42].

Pierre Lhande, dans son dictionnaire basque-français[43], indique pour Succos la forme Sokueze.

La commune actuelle a été créée le [44] par la réunion des communes d' Amorots et de Succos.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 En cours Arnaud Abbadie DVD  
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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La commune appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques, de l'Agence publique de gestion locale, du syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze et du syndicat de regroupement pédagogique d'Amorots-Succos, Arraute-Succos, Arraute-Charrite, Béguios, Masparraute et Orègue[45].

Population et société

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Démographie

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En 1350, 5 feux sont signalés à Amorots et 10 à Succos[46].

Le recensement[47] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé[48] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[49], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Amorots la présence de 4 feux, le second de 13 (12 + 1 feu secondaire). De même à Succos, le recensement de 1412-1413 relève 5 feux et celui de 1551 19 (16 + 3 feux secondaires).

Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[50] dénombre 40 feux à Amorots et 32 à Succos. Le rôle de la taille de 1758 recense, quant à lui, 74 feux[51] à Amorots.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[53].

En 2021, la commune comptait 230 habitants[Note 8], en évolution de −3,36 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
305310236363356330473462437
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
402405413396385377407358332
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
356352358337356328307324291
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
267249244267222204216220240
2018 2021 - - - - - - -
229230-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique

De 1793 à 1836, la population indiquée ne reflète que celle d'Amorots, encore séparé de Succos, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[56].

Évolution de la population
1793 1800 1806 1821 1831 1836
129118126125133144

Le nom des habitants est Amoroztar[40],[42].

Enseignement

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Amorots-Succos, Masparraute, Orègue, Béguios et Arraute-Charritte se sont associées pour créer un regroupement pédagogique intercommunal (R.P.I. AMOBA[57]).

La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Amorots-Succos est le bas-navarrais oriental.

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
  2. « Sites Natura2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Amorots-Succos », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Amorots-Succos », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Amorots-Succos et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Amorots-Succos et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Amorots-Succos et Saint-Palais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches d'Amorots-Succos », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  8. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  9. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  10. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq ar as at au av aw ax ay az ba bb bc bd be bf bg bh bi et bj Géoportail - Institut géographique national (France), « Géoportail » (consulté le ).
  11. « Fiche communale d'Amorots-Succos », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  12. Sandre, « le Lihoury ».
  13. Sandre, « l'Apatharena ».
  14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  17. « Orthodromie entre Amorots-Succos et Aïcirits-Camou-Suhast », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  19. « Station Météo-France « Aicirits » (commune d'Aïcirits-Camou-Suhast) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  21. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Amorots-Succos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  29. a b c d e f g h i j et k Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  30. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Amorots-Succos », sur Géorisques (consulté le ).
  31. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
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  35. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  36. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  37. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  38. a b c d e f g h i et j Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », , 246 p. (ISBN 2-86781-396-4 et 9782867813962, lire en ligne).
  39. a b et c Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
  40. a b et c Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux - Pyrénées-Atlantiques, Archives et Culture, (ISBN 978-2-35077-151-9).
  41. Titres de la commanderie d'Irissarry - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  42. a et b - Académie de la langue basque
  43. Pierre Lhande, Dictionnaire basque-français, dialectes labourdin, bas-navarrais et souletin, Beauschène, Paris, .
  44. Ordonnance du 16 août 1841 (Bulletin des lois de la République française).
  45. Comersis, « Liste des groupements d'Amorots-Succos ».
  46. Jean-Baptiste Orpustan, Ouvrage collectif, Amikuze : Le Pays de Mixe, Éditions Izpegi - 1992 (ISBN 978-2-909262-05-5 et 2-909262-05-7), page 77
  47. Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 26. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
  48. Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
  49. Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
  50. Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 299.
  51. Recensement cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 282.
  52. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  53. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  54. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  55. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  56. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Succos », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  57. Site du R.P.I. AMOBA
  58. « L’église de Succos », notice no PA00084550, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  59. « L’église Sainte-Luce », notice no IA64000682, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.