Ce village perché à 600 m d'altitude, se trouve sur un plateau profondément entaillé par les gorges de la Nartuby d'Ampus, encadré par les montagnes de Barjaude (1 174 m d'altitude)[2] et du Puy de la Sigue[3] à 860 m d'altitude.
zone 0 : Risque négligeable. C'est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d'une partie des communes du centre Var. Malgré tout, certaines de ces communes ne sont pas à l'abri d'un effet tsunami, lié à un séisme en mer ;
zone Ib : Risque faible. Ce risque le plus élevé du département, qui n'est pas le plus haut de l'évaluation nationale, concerne 21 communes du nord du département.
La commune d'Ampus est en zone sismique de très faible risque « Ia »[4].
les ruisseaux de Thuéry, de Florièye, de Saint-Lambert,
et le ruban vert dont la source se situe sous le petit pont du CD 51 au niveau du domaine Saint-Pierre de Tourtour, à proximité de la piste de la Tour de Guet.
La commune fait partie du bassin versant de l'Argens dont la Nartuby est un affluent. De petites parties de son territoire relèvent du bassin versant de l'Artuby et donc de la Durance.
La commune d'Ampus est alimentée en eau potable par trois ouvrages : la source de Beou Bouteou, le forage des Bœufs et le forage de Ravel[9],[10],[11],[12],[13].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 838 mm, avec 6 jours de précipitations en janvier et 3,3 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Draguignan_sapc », sur la commune de Draguignan à 10 km à vol d'oiseau[16], est de 15,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 865,0 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 40,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −8,8 °C, atteinte le [Note 1],[17],[18].
Au , Ampus est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[21].
Elle est située hors unité urbaine[22]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Draguignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[22]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[23],[24].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (53,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7 %), zones agricoles hétérogènes (5,8 %), terres arables (5,4 %), cultures permanentes (2,2 %), zones urbanisées (0,4 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Les prescriptions spéciales du plan local d'urbanisme
En application de l'article L151-19 du Code de l'Urbanisme[26], le plan local d'urbanisme prévoit des prescriptions spéciales pour « identifier et localiser les éléments de paysage et identifier, localiser et délimiter les quartiers, îlots, immeubles bâtis ou non bâtis, espaces publics, monuments, sites et secteurs à protéger, à conserver, à mettre en valeur ou à requalifier pour des motifs d'ordre culturel, historique ou architectural et définir, le cas échéant, les prescriptions de nature à assurer leur préservation, leur conservation ou leur restauration ». La liste des sites ou éléments du patrimoine reconnus par la commune sont les suivants
Conservation et mise en valeur (Site ou élément patrimonial / Quartier ou Lieu-dit)
La commune comprend trois hameaux : les Granges, les Vergelins et Lentier[28].
Le domaine Saint Pierre de Tourtour[29] créé par Beaumont à partir de 1963[30], inventeur des Issambres constitue, lui, un ensemble résidentiel intégré dans un site forestier situé sur les territoires des communes de Tourtour, au sud, et d'Ampus, au nord, en bordure, de part et d'autre, dans sa partie nord, du chemin départemental no 51 à 3,5 km à l'est de Tourtour et à 3,5 km à l'ouest d'Ampus. Sa superficie d'ensemble est d'environ 136 hectares, dont 43 hectares 51 ares et 70 centiares sur la commune d’Ampus (dont 1 ha 98 a 10 ca de terrains constructibles, avec deux constructions sur dix déjà réalisées).
En 2007, on dénombrait à Ampus 685 logements dont 387 résidences principales soit 56,5 % de l'ensemble des logements, 231 résidences secondaires et 67 logements vacants. Sur l'ensemble de ces logements, on dénombrait 590 logements individuels soit 90,2 et 71 logements dans un immeuble collectif soit 10,3 %[31].
Ampus fait partie de la communauté de Dracénie Provence Verdon agglomération (ex-Communauté d'Agglomération Dracénoise)[32] de 110 019 habitants en 2019[33], créée le . Les 23 communes composant la communauté d'agglomération en 2019 sont (par ordre alphabétique) :
Le village d'Ampus est situé au croisement de la route départementale 51, entre Tourtour et Chateaudouble, et de la route départementale 49 le reliant à Draguignan.
Ampus n'a jamais été desservie par le train, en raison de sa situation escarpée. La gare SNCF la plus proche est celle des Arcs-Draguignan, ou de Fréjus[41].
Une ligne de bus est mise à disposition des collégiens se rendant à Draguignan[42]. Une ligne régulière entre Ampus et Draguignan est en service, avec deux allers-retours par jour en semaine, et un aller-retour le samedi[43]. Les bus de la ligne 5 des Transports en Dracénie relie la commune à Draguignan.
Pour Ampus, à l'identique d'Ampuis, la forme la plus ancienne est Impuris, attestée en 990/997. Ce toponyme suggère le nom latin emporium, dérivé du grec emporion, qui nommait des comptoirs de négoce installés en terre ennemie[46].
En provençal, la commune porte le nom d'Empus et ses habitants sont appelés les Ampusians.
Des vestiges attestent de la présence romaine[50] qui se manifestait notamment par une foire au quartier du plan d'Ampus.
Sur le passage de l’antique voie romaine[51]Forum Julii-Riei (Fréjus-Riez)[52], EMPORIA ou EMPORIUM (Ampus) se développe et se fortifie au début du Moyen Âge[53].
Le village fut fortifié par les comtes de Provence et servit de refuge aux protestants qui menaçaient Draguignan pendant les guerres de Religion. De nombreux vestiges portent la trace des différentes époques de l’histoire de la commune[54].
Selon l'historien Dubec, les templiers possédaient à Ampus le domaine de Lagnes en 1171[55].
Le « castrum de Rainier »[56],[57] ou « de Rainerio », qui a fait l'objet d'une étude spécifique par le service régional de l'inventaire[58], figure dans les listes de localités du diocèse en 1232-1244, en 1235 et 1252.
Raymond Requistoni, chevalier, vuiguier de Nice (1320) et de Tarascon (1325 ; 1332) fut seigneur du Val d'Ampus. Il eut un homonyme (?-av.1309) qui fut seigneur d'Escragnolles et qui épousa Cécile Cays, fille de Bérenger Cays, coseigneur du Peillon et du Touët[59].
Les carraires[60] traversent les plaines du sud-est au nord-est. La grande carraire traversant la plaine, dont le tracé est bien conservé, grimpe en direction de Lagnes[61] (au sein du camp de Canjuers utilisé dans le passé en pâturage d’été).
La commune ayant moins de 3 500 habitants l'élection des conseillers municipaux est au scrutin majoritaire[62] plurinominal à deux tours, avec panachage :
au premier tour, des candidats sont élus s'ils ont obtenu la majorité absolue et le vote d'au moins le quart des électeurs inscrits[63] ;
au second tour, la majorité relative suffit. Les listes ne sont pas obligatoires. Les suffrages sont comptabilisés individuellement, et le panachage est autorisé.
Lors du scrutin de 2008 il y eut deux tours (sept élus au premier tour et huit au second), Patrick Vignal a été réélu conseiller municipal au premier tour avec le second total de 359 voix (51,88 % des exprimés), il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal. Le taux de participation a été de 89,06 % et 88,42 % respectivement pour les deux tours[65].
De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour deux ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à trois journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.
De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII () revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.
Du à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour cinq ans à partir de 1855.
Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal à la suite de son élection au suffrage universel.
Création d'un itinéraire culturelmultimédia dans le cadre du projet Gritacess[73] inscrit au programme opérationnel Italie – France Maritime 2014-2020[74].
Création[75] d’un musée des écritures (MusEc)[76], en référence à celui du Musée Champollion de Figeac.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[79]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[80].
En 2021, la commune comptait 899 habitants[Note 3], en évolution de −4,67 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 24,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,9 % la même année, alors qu'il est de 32,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 474 hommes pour 449 femmes, soit un taux de 51,35 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,05 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[83]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,9
90 ou +
1,4
9,4
75-89 ans
9,5
20,0
60-74 ans
22,7
26,0
45-59 ans
25,0
19,2
30-44 ans
17,8
10,4
15-29 ans
11,3
14,1
0-14 ans
12,4
Pyramide des âges du département du Var en 2021 en pourcentage[84]
Professionnels de santé à Ampus : médecin[88], infirmière, pédicure - podologue[89].
Kinésithérapeutes à Tourtour, Flayosc, Aups, Salernes.
L'hôpital le plus proche est le Centre hospitalier de la Dracénie et se trouve à Draguignan, à 13 km[90],[91]. Il dispose d'équipes médicales dans la plupart des disciplines[92] : pôles médico-technique ; santé mentale ; cancérologie ; gériatrie ; femme-mère-enfant ; médecine-urgences ; interventionnel.
L'église Saint-Michel d'Ampus, de culte catholique, fait partie du diocèse de Toulon-Fréjus, doyenné de Draguignan[97]. Construite en 1085, elle fut alors rattachée au monastère des îles de Lérins.
Les Razmoquettes. L'association a pour but d'organiser et animer des activités périscolaires destinées à soutenir l’action éducative et promouvoir l’éveil des enfants,
En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 16 455 €, ce qui plaçait Ampus au 19 927e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[108].
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 230 €[109].
La situation géographique d'Ampus, entre mer et gorges du Verdon, permet de nombreuses activités touristiques et propose des gîtes et chambres d'hôtes. Depuis 2019, le village accueille le Luxury Bed & Breakfast La Maison Bleue, qui inclut depuis 2022 également son propre restaurant.
Quelques commerces de proximité sont présents sur la commune, dans les domaines de l'alimentaire (épicerie, boulangerie), ainsi qu'une boucherie « ambulante », certains jours de la semaine[122].
Des bars et restaurants : Restaurant Bistrot Les Braconniers, La Maison Bleue, Restaurant Pizzeria, Café Bar Brasserie[123].
Le patrimoine particulièrement riche et diversifié favorise les circuits de randonnées[124],[125] et l'association pour la préservation du patrimoine d'Ampus (APPA), créée en 2002, contribue inlassablement à l'entretien et la restauration de celui-ci[126].
L’église Saint-Michel ou d’Ampus[127],[128], avec sa cloche de 150 kg, classée « monument historique » au titre des objets mobiliers (celle-ci pourrait ? provenir du presbytère, selon Marcel Faure)[129],[130].
Le presbytère, loué par la commune à partir du [131].
La grotte érigée en ex-voto avec sa statue de la Vierge, par l'abbé Adonis Volpato, le « curé bâtisseur » (près du presbytère) qui restaura notamment l'église d'Ampus et participa avec Jeoff Hindry à la création du Chemin de Croix à l'emplacement de l'ancien château fort, don de la famille de Jerphanion[132].
Les chapelles
La chapelle Notre-Dame-de-Spéluque, appelée aussi Notre-Dame-du-Plan, consacrée en 1090. Façade restaurée au XIXe siècle. L'ensemble fut un prieuré de l'abbaye de Lérins jusqu'à la Révolution[133]. Elle est propriété privée et a été classée monument historique le [134].
La chapelle Saint-Roch, édifiée au XVIIIe siècle, située à l'entrée du village[135],[136].
Chapelle de l'Églisonne ; * chapelle Saint-Michel ; * les chapelles Saint-Victor (de Reynier) et Sainte-Marie-de-Ville-Haute (en ruine)[137].
Le chemin de croix[138], créé en 1968 par Geoff Hindry[139], avec ses stations décorées de mosaïques, sur le sommet du village.
Menhir de Mourjaï : découvert en 1875 renversé, il a été relevé en bordure du chemin[143].
Le chemin de l'Eau[144], dont le canal de Fontigon qui alimentait les moulins et utilisé aujourd'hui pour l'arrosage. Long de 7,2 kilomètres, il relie la source du même nom à la Nartuby d'Ampus et dont l’origine de sa création remonte à l'année 1497[145].
Les deux tiers de la surface de la commune sont constitués :
de montagnes, culminant parfois à plus de 1 000 mètres et de cols (notamment dans le camp militaire de Canjuers), généralement couverts de forêts ;
de terrains en reliefs avec des curiosités géologiques comme le rocher dit de la Roche Aiguille, en forte pente descendant vers les gorges de la Nartuby, principalement boisés et cultivés en oliveraies.
Ampus est concerné par quatre zones naturelles écologiques faunistiques et floristiques (ZNIEFF)[151],[152]. Ces sites offrent un ensemble de milieux rupestres très intéressants : reproduction de l'hirondelle des rochers, nidification de l'hirondelle des fenêtres, couple d'aigle royal, reproduction du grand corbeau et du hibou grand-duc, présence du pic noir dans les bois des Prannes.
En matière d’environnement, la Dracénie Provence Verdon agglomération (ex CAD) est responsable de trois sites Natura 2000, dont le Bois des Clappes qui se situe sur les communes d’Ampus, de Châteaudouble et de Tourtour[153].
L'abbé Adonis Volpato, le « curé bâtisseur », né à Padoue le , décédé en après avoir été curé d'Ampus de 1961 à 1994. Il fut curé de cinq sacerdoces apostoliques, se contentant d'une existence proche du dénuement dans les plus grandes dignité, humilité et générosité. En plus de sa charge paroissiale, il restaura une vingtaine d'églises[155]. Cette entreprise exceptionnelle, réalisée en véritable artisan, lui valut le surnom de « curé bâtisseur ». À deux reprises, le ministère de la Culture lui décerna une distinction au titre de la réhabilitation des chefs-d'œuvre en péril[156],[157],[158].
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑L'eau dans la commune : Ampus : Surveillance des eaux de surface ; Surveillance des eaux souterraines ; Surveillance des eaux destinées à la consommation ; Pollution et prélèvements sur la commune ;Caractéristiques des masses d'eau impactées par la commune
↑Association des Maires du Var (AMV), Bureau de Protection des Ressources en Eau des Collectivités (BPREC), Draguignan. Périmètres de protection des captages communaux, janvier 2002 et janvier 2004
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Arrêtés préfectoraux des 05 octobre 1963 ; 20 décembre 1964 ; 28 décembre 1964 ; 11 octobre 1965 ; 27 octobre 1966 ; 26 août 1971 ; 22 mai 1974 ; 20 avril 1978
↑Voir les fiches thématiques et les ouvrages de Marcel Faure, historien local
↑Bernard Falque de Bezaure, Sur les traces des Templiers du Var, des Alpes-Maritimes, Domaine de l’Olympe, Les Milles (13290), Provençalement Vôtre, , 183 p. (ISBN2-914438-05-2, lire en ligne)
Ampus : p. 18 (une illustration de la photo de la chapelle de ND de Spéluque est reproduite par l'auteur
↑Le patrimoine architectural et mobilier de la commune d’Ampus sur le site du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), photographies de S. Denante, S. Réol, O. de Pierrefeu, Gaëtan Congès, Christian Hussy, Marc Heller, archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine, et service de l'inventaire général de la direction de la Culture et du patrimoine de la région PACA
↑Les carraires sont issues de coutumes remontant aux XIIe et XIVe siècles instaurées par les Comtes de Provence. Les seigneurs donnèrent le droit de passage pour permettre le passage des troupeaux de moutons partant de la basse Provence (Bouches du Rhône, Var) vers la haute Provence, lors de la transhumance. Les petites carraires servaient à faire circuler les troupeaux dans l’aire de la communauté et les grandes carraires permettaient de traverser toute la Provence.
↑ian ou ien ? pour les habitants d’AmpusMarcel Faure, Ampus, Le Conseil municipal a délibéré ! De Bonaparte à la seconde guerre mondiale, Imprimerie Zeeb-Druck Dornstetten, Allemagne, Mairie d'Ampus, , 174 p.
Marcel Faure a été Maître d'école à Ampus de 1960 à 1991. Page 172 « Peu généreux, les Ampusians ? »
↑Marie-Marthe Chevalier, présidente de l’APPA a été récompensée pour son engagement bénévole avec son association en faveur du patrimoine local et a été distinguée comme 'Femmes bénévoles en milieu rural"La présidente de l'APPA honorée
↑Le Var, Chemins de traverse. Les villages de caractère du Var, no 7 été 2019, pp. 75 à 83 : Ampus, la cité de l'eau ; Aups, la capitale du haut-Var ; Bargème, le plus haut village du Var ; Callian, le village perché ; Châteaudouble, le nid d'aigle ; Collobrières, l'ambassadeur de la châtaigne ; Cotignac, la crèche provençale ; La Cadière-d'Azur, un vignoble d'exception ; Le Castellet, un décor de cinéma ; Mons, un balcon sur la Méditerranée; Saint-Martin-de-Pallières, l'échappée provençale ; Villecroze-les-Grottes, un trésor sculpté
↑Marcel Faure, Ampus, Le Conseil municipal a délibéré ! De Bonaparte à la seconde guerre mondiale, Imprimerie Zeeb-Druck Dornstetten, Allemagne, Mairie d'Ampus, , 174 p.
p; 60 Bail du Presbytère au profit de Chabot François Jacques, curé de la paroisse d'Ampus (il fut prêtre à Ampus de 1903 à 1950)
↑Servitudes d’utilité publique, échelle 1/25000e : Protection des bois et forêts soumises au régime forestier, Monuments historiques classés, Protection des Sites et Monuments naturels classés, Protection des Sites et Monuments naturels inscrits, Protection des eaux, Voisinage des cimetières.
↑source : panneau signalétique dans l'église de Tourtour. Le panneau « visitez lez chemin de croix et les mosaïques, le 'Tombeau du christ », réalisées par Geoff sur les ruines du château médiéval d'Ampus en 1968, rappelle qu'il s'agit également d'un don de l'abbé aux habitants de la commune en 1985.
Marcel Faure, Ampus, Le Conseil municipal a délibéré ! De Bonaparte à la seconde guerre mondiale, Imprimerie Zeeb-Druck Dornstetten, Allemagne, Mairie d'Ampus, , 174 p.
Marcel Faure a été Maître d'école à Ampus de 1960 à 1991. Le but de l'ouvrage : faire connaître et aimer le village; fournir de la documentation aux écoliers, collégiens et lycéens; servir de point de départ à des études approfondies.
Base Archéologie : La voie romaine de Fréjus à Riez, Bourg castral : castrum de Reynier, Chapelle : Vue sur le castrum de la ville haute / Ville Haute Sainte-Marie, Voie : du Bosquet à Sainte-Anne, Habitat pastoral (?) : Enclos, Oppidum des Clapouires
Coordination générale : René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP) : Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée - IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide - Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN2-906035-00-9)
Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Ampus, p. 121