Armendarits

Armendarits
Armendarits
Le fronton adossé à l'église Saint-Pierre.
Blason de Armendarits
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Lucien Delgue
2020-2026
Code postal 64640
Code commune 64046
Démographie
Gentilé Armendariztar
Population
municipale
386 hab. (2021 en évolution de −6,08 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 18′ 09″ nord, 1° 10′ 20″ ouest
Altitude Min. 99 m
Max. 403 m
Superficie 17,27 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Armendarits
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Armendarits
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Armendarits
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Armendarits

Armendarits [aʁmɛ̃daʁits] est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Armendarits se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 104 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 46 km de Bayonne[3], sous-préfecture, et à 16 km de Saint-Palais[4], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Iholdy (2,3 km), Méharin (4,2 km), Saint-Esteben (5,0 km), Saint-Martin-d'Arberoue (5,2 km), Hélette (5,8 km), Irissarry (6,9 km), Lantabat (7,0 km), Isturits (7,6 km).

Sur le plan historique et culturel, Armendarits fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[6]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[7]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[8],[9]. La commune est dans le pays d’Arberoue (Arberoa), au nord-ouest de ce territoire.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Beyrie-sur-Joyeuse, Hélette, Iholdy, Lantabat, Méharin, Saint-Esteben et Saint-Martin-d'Arberoue.

Communes limitrophes d’Armendarits[10]
Saint-Martin-d'Arberoue Méharin
Saint-Esteben Armendarits Beyrie-sur-Joyeuse
(sur 150 m)
Hélette
(sur 100 m)
Iholdy Lantabat

Hydrographie

[modifier | modifier le code]
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Armendarits.

La commune est drainée par la Joyeuse, le Lihoury, Azkongaratéko erreka, intharteko erreka, osinako erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 24 km de longueur totale[11],[Carte 1].

La Joyeuse, d'une longueur totale de 26,7 km, prend sa source dans la commune d'Iholdy et s'écoule vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Bidouze à Amendeuix-Oneix, après avoir traversé 7 communes[12].

Le Lihoury, d'une longueur totale de 45,7 km, prend sa source dans la commune d'Iholdy et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Bidouze à Came, après avoir traversé 8 communes[13].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 359 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast à 13 km à vol d'oiseau[17], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 219,1 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000

[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[22], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[23],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Deux ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[24],[Carte 3] :

  • les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du département[25] ;
  • le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » (2 867,4 ha), couvrant 30 communes dont 1 dans les Landes et 29 dans les Pyrénées-Atlantiques[26].

Au , Armendarits est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[27]. Elle est située hors unité urbaine[1] et hors attraction des villes[28],[29].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (81,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (65,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,1 %), prairies (8,4 %), forêts (3,6 %), terres arables (0,7 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Lieux-dits et hameaux

[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Armendarits est accessible à partir de la route départementale D245.

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Armendarits est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[36]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[37].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Joyeuse et le Lihoury. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2009 et 2014[38],[36].

Armendarits est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[39]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[40],[41].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Armendarits.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[42]. 93 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[43].

Attestations anciennes

[modifier | modifier le code]

Le toponyme Armendarits apparaît sous les formes Armandarys (1249[44],[45], Armendariz et Sancta Maria de Armendarids (1256[31],[44] pour les deux formes, cartulaire de Bayonne, feuillet 38[46]), Armendaridz (1256[44],[45]), armendariz (1264[45]), armendarriz (1292[45]), Armendaritz (1366[44],[45] et 1413[45]), Armendaritz (1428[31],[44], collection Duchesne volume CXIV, feuillet 169[47]), Arbendaritz (1529[31],[44], chapitre de Bayonne[48]) et Armendaritz (1650[31]).

Autres toponymes

[modifier | modifier le code]

Aguerréa est un ancien fief vassal du royaume de Navarre que le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque mentionne sous la graphie Aguerre[31].

Curutzétako Borda (du basque gurutze, provenant du latin médiéval cruce, la « croix ») pourrait être le lieu de pèlerinage mentionné par le même dictionnaire sous le vocable la croix Boria[31].

Ce même dictionnaire indique en 1863[31] qu’Etchebarne était un lieu de pèlerinage.

Paul Raymond mentionne, en 1863[31], le fief d'Élissetche, vassal du royaume de Navarre.

Graphie basque

[modifier | modifier le code]

Son nom basque actuel est Armendaritze[49].

Paul Raymond[31] note qu'Armendarits est une ancienne baronnie, vassale du royaume de Navarre.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1793   Laurent Elissagaray    
    Pierre Sainte-Marie    
  1816 Laurent Etcheverry    
1816 1833 Laurent Durruty    
1833 1835 Laurent Elissagaray    
1835 1848 Bertrand Boubée    
1848 1865 Saint-Martin Mendiboure    
1865 1888 Laurent Garat    
1888   Jean-Baptiste Othéguy    
  1929 Isidore Garat    
1929 1964 Bertrand Ilharreborde    
1964 1986 Juliette Richard    
1986 1989 Laurent Garat    
1989 En cours Lucien Delgue LR Président de la communauté de communes

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Armendarits appartient à six structures intercommunales[50] :

La commune est le siège du syndicat intercommunal de transport scolaire du regroupement pédagogique de Méharin et Armendarits[51].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Le nom des habitants est Armendariztar[52],[49].

Le recensement de 1791[53] dénombre 715 habitants à Armendarits.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[55].

En 2021, la commune comptait 386 habitants[Note 7], en évolution de −6,08 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
706764799805840792809840818
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
812784751746715705681632638
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
631623600562510506559512420
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
446420396386372357376381396
2018 2021 - - - - - - -
402386-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[56] puis Insee à partir de 2006[57].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école élémentaire publique[58].

L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'Ossau-Iraty.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Maison de Basse-Navarre datant de 1775.
Linteau sculpté.
Linteau sculpté.

Patrimoine civil

[modifier | modifier le code]

Un gaztelu zahar est présent au lieu-dit Elhina.

Les fermes[59] Sorogaraia[33], Uhaldea[34], Urrutia[35] datent du XVIIe siècle.

Le manoir Jauregia[32] date du XVIIe siècle.

Linteau sculpté.
Moëllon sculpté.
Maison de Basse-Navarre.

Patrimoine religieux

[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre[60] date des XXIIe et XVIIIe siècles[Quoi ?].

Son cimetière contient des stèles discoïdales remarquables.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason Blasonnement :
Écartelé aux 1 et 4 d'azur à un château d'argent, ouvert et ajouré de sable ; aux 2 et 3 d'or à deux vaches passantes de gueules accornées aux 2 et 3 d'or à deux vaches passantes de gueules accornées[63].
Commentaires : Ces armes, adoptées par la commune en 2002, sont celles des seigneurs d'Armendarits[64].

Blasonnement des quartiers 2 et 3 des armoiries du village d'Armendarits : d'or à deux vaches de gueules passantes accornées, onglées, colletées et clarinées d'argent posées en pal. D'après : Armorial des communes du Pays basque.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Armendarits » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Armendarits », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Armendarits », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. Stephan Georg, « Distance entre Armendarits et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Armendarits et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Armendarits et Saint-Palais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches d'Armendarits », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  8. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  9. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  10. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq ar as at au av aw ax ay az ba bb bc bd be bf bg bh bi bj bk bl bm bn bo bp bq br bs bt bu bv bw bx by bz ca cb cc cd ce cf cg ch ci cj ck cl cm cn co cp cq et cr Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  11. « Fiche communale d'Armendarits », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  12. Sandre, « la Joyeuse ».
  13. Sandre, « le Lihoury ».
  14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  17. « Orthodromie entre Armendarits et Aïcirits-Camou-Suhast », sur fr.distance.to (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Aicirits » (commune d'Aïcirits-Camou-Suhast) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Station Météo-France « Aicirits » (commune d'Aïcirits-Camou-Suhast) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  21. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Armendarits », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « site Natura 2000 FR7200789 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Armendarits », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  25. « ZNIEFF les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  26. « ZNIEFF le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  27. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  28. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  31. a b c d e f g h i j k et l Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  32. a et b « Le manoir Jauregia », notice no IA64000771, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. a et b « La ferme Sorogaraia », notice no IA64000768, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. a et b « La ferme Uhaldea », notice no IA64000769, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. a et b « La ferme Urrutia », notice no IA6400077, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Armendarits », sur Géorisques (consulté le ).
  37. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  38. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  39. « Plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr, (consulté le ).
  40. « Réglementation-usages du feu à l’air libre - obligations légales de débroussaillement - département 64 », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr date=16 septembre 2022 (consulté le ).
  41. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  42. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  43. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  44. a b c d e et f « Présentation de la commune », notice no IA64000792, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. a b c d e et f Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », , 246 p. (ISBN 978-2-86781-396-2 et 9782867813962, BNF 40190262).
  46. Cartulaire de Bayonne ou Livre d'Or - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  47. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
  48. Chapitre de Bayonne - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  49. a et b - Académie de la langue basque
  50. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » [archive du ] (consulté le ).
  51. « Fiche détaillée des compétences du syndicat intercommunal de transport scolaire du [[regroupement pédagogique]] de Méharin et Armendarits »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  52. Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9, BNF 42089597).
  53. Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, Q 496 - Recensement cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 283.
  54. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  55. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  56. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  57. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  58. {{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Armendarits%20%2864%29}}.
  59. « Les fermes d'Armendarits », notice no IA64000819, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  60. « L'église Saint-Pierre », notice no A64000818, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  61. Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 255.
  62. Jean Peter : Une stratégie de la terreur sous Louis XIV : les galiotes à bombes
  63. Guy Ascarat
  64. Armorial de France