Arsy

Arsy
Arsy
Église Saint-Médard
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC de la Plaine d'Estrées
Maire
Mandat
Joël Thibault
2020-2026
Code postal 60190
Code commune 60024
Démographie
Gentilé Arsiens, Arsiennes
Population
municipale
801 hab. (2021 en évolution de +3,49 % par rapport à 2015)
Densité 110 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 24′ 06″ nord, 2° 40′ 58″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 106 m
Superficie 7,27 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 5e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Arsy
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Arsy
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Arsy
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Arsy
Liens
Site web https://arsy.fr/

Arsy est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Description

[modifier | modifier le code]
Ambiance du village : la rue d'En Bas, le pont de l'autoroute.

La commune, traversée par l'autoroute A1, dispose de la sorte no 10[1] qui la connecte à la route nationale 31 qui dessert le village. Elle est également traversée par la LGV Nord

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes d’Arsy
Remy
Moyvillers Arsy Jonquières
Grandfresnoy Canly

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[2],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Arsy[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 672 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Arsy est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44 %), forêts (28,2 %), zones agricoles hétérogènes (10,4 %), zones urbanisées (7,5 %), prairies (5,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,6 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 354, alors qu'il était de 339 en 2013 et de 319 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 94,3 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 4,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,6 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Arsy en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,4 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,3 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Arsy en 2018.
Typologie Arsy[I 2] Oise[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 94,3 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,4 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 4,2 7,1 8,2

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 659, 6301, 6324 et 6343 du réseau interurbain de l'Oise[13].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Harsi (1186) ; Arsiz (1190) ; Petrus de arciaco (vers 1200) ; Arsiacum (1230) ; Arsis (1231) ; Arziz (1231) ; in territorio de Harsi (1239) ; de Arsyaco (1306) ; Arsi (1420) ; Arcyacum in campania (1466) ; Arcy en la campagne (vers 1500) ; Arcy en la compaigne (1536) ; Arsy en la campagne (1540) ; Arsy en campagne (1598) ; Arsy en Champagne (XVIe) ; ecclesia sancti Medardi de Arsi (XVIe) ; Arcy (1667) ; Arcy en Campagne (1720) ; Arsy (1840)[14].

Le château d'Arsy, construit au milieu du XVIIe siècle près de l'église au lieu-dit « Le Parc », a été démoli à la Révolution française en 1802. il était entouré de jardins anglais et d'un magnifique parc dessiné par l'architecte Chalyrin[15].

Au XIXe siècle, le village compte deux moulins à vent, des cendrières et des tuileries. Le Moulin Coutellier, bâti au XIXe siècle en bois, est reconstruit en briques en 1854 avant de cesser de fonctionner en 1894[15].

La gare d'Arsy - Moyvillers, qui a fonctionné de 1882 à 1939, se trouvait sur l'ancienne ligne d'Ormoy-Villers à Boves.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton d'Estrées-Saint-Denis[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton d'Estrées-Saint-Denis

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Arsy est membre de la communauté de communes de la Plaine d'Estrées, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Bernard Vervel DVG  
mars 2008 2012[17] Michel Epinay   Démissionnaire
2012 mai 2020[18] Robert Duvignon   Cadre retraité
mai 2020[19] En cours
(au 2 décembre 2020)
Joël Thibault    

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Eau et déchets

[modifier | modifier le code]

L'adduction d'eau est améliorée en 2019, lorsqu'est réalisée une canalisation permettant d'utiliser le captage implanté à Grandfresnoy, et qui permet d'assurer un débit permettant d'assurer la défense incendie du village[20].

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Moyvillers dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) , qui s'est doté en 2020 d'un bâtiment périscolaire à Moyvillers[21].

L'école d'Arsy, dont le bâtiment date de 2019 et dénommée école Séraphine-Louis compte trois classes en 2020-2021[22],[21].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 801 habitants[Note 3], en évolution de +3,49 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6311 026714702799789741740753
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
741725654643662625581543531
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
517486478474459443460470467
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
411453506650871898811798783
2017 2021 - - - - - - -
770801-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 384 hommes pour 379 femmes, soit un taux de 50,33 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,3 
7,1 
75-89 ans
7,3 
23,3 
60-74 ans
25,9 
21,7 
45-59 ans
21,6 
15,1 
30-44 ans
16,8 
15,4 
15-29 ans
12,7 
17,1 
0-14 ans
15,6 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Église Saint-Médard - Cloche de l'église à 11h30 :
Fernêtre ornée, près de l'église.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Louis de Gouy d'Arsy (1717-1790), marquis d'Arsy, filleul de Louis XV, lieutenant général du Vexin français et seigneur de Ressons-sur-Matz[15]..
  • Louis-Marthe de Gouy d'Arsy (1753-1794), marquis d'Arsy, son fils, colonel des dragons de la Reine, député de Saint-Domingue aux Etats Généraux, grand bailly d'Epée et maire de Moret-sur-Loing, guillotiné à la suite de la « Conspiration des prisons » en thermidor.
  • Suzanne Françoise Marquant, née à Arsy le 13 septembre 1761, fille de jardinier au château d'Arsy, est la seconde épouse du peintre Philibert-Louis Debucourt.
  • Alexandre-Gabriel Decamps, peintre qui joua un rôle déterminant dans l'émergence du réalisme, continuateur de Géricault et précurseur de Millet, a passé trois années de son enfance à Arsy qui lui ont donné le goût des sujets de la vie populaire à la campagne.
  • Séraphine de Senlis, (de son vrai nom Séraphine Louis), née à Arsy en 1864, était une artiste-peintre de Senlis. Son œuvre, rattachée à l'art naïf[15]. inspirera Jean Dubuffet et Gaston Chaissac[réf. nécessaire]. L'école de la commune porte son nom.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Arsy Blason
D'or aux trois maillet de sinople à la barre de gueules brochant sur le tout.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique d'Arsy » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Arsy » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Arsy - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Arsy - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. Stéphanie Forestier, « Péage d'Arsy : bientôt la fin des travaux et de la galère pour les automobilistes : D'importants travaux ont été entrepris à la sortie 10 de l'A1 depuis octobre. Ils se termineront le jeudi 31 mai et auront coûté 2,4 M€. », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. « Fiche communale d'Arsy », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Arsy et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Transports en commun à Arsy », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 16.
  15. a b c d et e Mireille Dumuret, « Faits marquants », Découvrir Arsy, sur arsy.fr (consulté le ).
  16. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. « Election du maire d'Arsy en septembre prochain »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Centre de Gestion de l'Oise de la Fonction Publique Territoriale, (consulté le ) « M. Michel Epinay, désormais ancien maire d'Arsy, a déposé sa démission devant M. le Préfet de l'Oise il y a quelques mois. Cette dernière a été acceptée par le représentant de l'Etat le 22 juin dernie ».
  18. « Arsy. Le maire sortant Robert Duvignon ne sera pas candidat aux municipales l'an prochain », [Oise Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il s'était engagé sous le mandat de son prédécesseur Michel Epinay. Comme conseiller municipal d'abord, avant d'être élu maire adjoint lors de son deuxième mandat. Robert Duvignon avait été élu dans le fauteuil de maire après la démission de Michel Epinay. Un poste pris en cours de mandat avant les élections de 2014, qui verront la réélection de Robert Duvignon ».
  19. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  20. « Un chantier pour augmenter le débit de l‘eau à Arsy », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le coût estimé des travaux est de 800 000 euros financés à 40 % par l'agence de l'eau , 71 250 euros par le conseil départemental et le reste par la commune ».
  21. a et b Frédéric Ameele, « Un nouveau bâtiment périscolaire à Moyvillers », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Ce bâtiment, précise l'élue, a coûté 1 000 000 euros TTC financé par l'État à hauteur de 167 500 euros dans le cadre du contrat ruralité et par le Département pour 310 000 euros, le reste étant financé par les communes d'Arsy et Moyvillers qui ont respectivement trois classes d'élèves chacune pour 150 enfants au total. Environ 78 enfants sont d'ores et déjà inscrits, pour moitié provenant d'Arsy et l'autre de Moyvillers ».
  22. « Avec un an de retard, les travaux de l'école élémentaire d'Arsy sont enfin terminés : Les nouveaux locaux du regroupement Arsy-Moyvillers pourront être utilisés à partir septembre 2019 par les 70 élèves de l'école. Trois nouvelles classes, un dortoir, une salle informatique et une autre de motricité offriront des conditions de travail optimales aux écoliers et aux enseignants », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le coût de cette école est de 1,5 million d'euros. La commune a bénéficié de subventions : 450 000 € de la part du conseil départemental, et 90 968 € de l'État, via la Dotation d'équipement aux territoires ruraux (DETR) ».
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Arsy (60024) », (consulté le ).
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  28. Fanny Dolle, « À vélo, les élus traquent les défauts de la coulée verte entre Estrées-Saint-Denis et Rivecourt : Quel avenir pour la coulée verte ? La création de cette piste cyclable de 18 kilomètres, reliant Estrées-Saint-Denis à Rivecourt, remonte à 2005. Une réflexion est menée pour rendre cet axe encore plus accessible », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]