Arvillers

Arvillers
Arvillers
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité CC Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Yves Cottard
2020-2026
Code postal 80910
Code commune 80031
Démographie
Gentilé Arvillois
Population
municipale
769 hab. (2021 en évolution de −3,03 % par rapport à 2015)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 44′ 44″ nord, 2° 38′ 52″ est
Altitude Min. 49 m
Max. 108 m
Superficie 12,68 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Arvillers
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Arvillers
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Arvillers
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Arvillers
Liens
Site web http://arvillers.fr/

Arvillers est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Arvillers est un bourg rural picard du Santerre est situé à proximité de l'ancienne voie romaine dite Chaussée Brunehault, constituant l'ancienne route nationale 334 (actuelle RD 934). La commune est à 30 km au sud-est d'Amiens et 11 km de Roye.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes d’Arvillers
Le Quesnel Folies Bouchoir
Hangest-en-Santerre Arvillers Erches
Davenescourt Becquigny Warsy

Nature du sol et du sous-sol

[modifier | modifier le code]

Le sous-sol de la commune est majoritairement formé de craie recouverte par le limon des plateaux (lœss.

Relief, paysage, végétation

[modifier | modifier le code]

Le relief de la commune est celui d'un plateau, le plateau du Santerre. Au sud, se trouve la vallée de l'Avre.

Sur ses limites ouest et sud, on note la présence d'espaces boisés.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Avre[Carte 1].

L'Avre, d'une longueur de 66 km, prend sa source dans la commune de Amy, à 81 m d'altitude, et se jette dans la Somme à Longueau, à 24 m d'altitude, après avoir traversé 31 communes[1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Arvillers[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[2].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 705 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records ROUVROY-EN-SANTERRE (80) - alt : 95m, lat : 49°45'54"N, lon : 2°41'53"E
Records établis sur la période du 01-09-1993 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,4 1,7 3,1 4,4 8 10,6 12,3 12,3 9,8 7,5 4,1 2 6,4
Température moyenne (°C) 3,8 4,6 7,2 9,8 13,3 16,2 18,3 18,4 15,1 11,5 7,1 4,4 10,8
Température maximale moyenne (°C) 6,2 7,5 11,2 15,2 18,5 21,8 24,3 24,4 20,5 15,6 10,1 6,7 15,2
Record de froid (°C)
date du record
−17,5
07.01.09
−11,6
12.02.12
−12,5
13.03.13
−4,8
08.04.03
−2,3
05.05.1996
2,2
05.06.12
2,8
03.07.11
3,7
02.08.15
−0,9
25.09.03
−6,1
24.10.03
−9,2
24.11.1998
−14,4
18.12.10
−17,5
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
14,9
09.01.15
18
24.02.21
24,4
31.03.21
27,2
15.04.07
30,2
27.05.05
35,3
18.06.22
41,6
25.07.19
39,1
12.08.03
34,2
09.09.23
28,1
01.10.11
19,9
06.11.18
16,2
07.12.00
41,6
2019
Précipitations (mm) 45,6 43 44,1 39,4 61,3 55,3 63,8 62,4 45,1 58,1 52,4 65,3 635,8
Source : « Fiche 80682001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Au , Arvillers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,4 %), forêts (7,8 %), zones urbanisées (5,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

En 2019, la commune est desservie par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 40, Roye - Hangest-en-Santerre - Amiens ; ligne no 45, Moreuil - Montdidier)[14].

La commune est traversée d'ouest en est par la route départementale 54 qui relie Moreuil à Roye. Elle est limitée au nord par la route départementale 934 qui relie Amiens à Roye, axe majeur du département de la Somme. Le sud de la commune est traversé par la route départementale 160 qui relie Trois-Rivières à Andechy.

Les anciennes formes du nom du village sont : Argovillaris (844)[15], Arviler (1167) , Harviller (1184), Ursivillarensis, Ursivilla, Arvileir, Arviller (1223), Arcovillaris (1257), Arcovillaris (1267)[16], Arviler, Arviler en Santers (1394), Arvillier, Arvillers en 1673, Erviller, Arviver et Harvillers.

Son étymologie est incertaine, compte tenu des variations du nom. Elle signifierait « Repaire de l'ours » ou « Ville fortifiée »[17]. Cette hypothèse est peu vraisemblable.

Le nom de la commune est, selon toute vraisemblance, de formation germano-romane comme la plupart des toponymes se terminant par « villers » issu du latin villa, domaine ou partie d'un domaine. Le préfixe « Ar » dériverait du nom d'un propriétaire d'origine germanique[18].

Arvillers se dit Arvili en picard.

On a découvert dans la commune une hache-marteau en roche dure perforée[réf. nécessaire], ainsi que, au hameau de Prunierval, des sarcophages et une pièce de monnaie à l'effigie de Jules César[19]. Les traces de deux villas gallo-romaines ont été découvertes à côté du cimetière militaire[20]. Le lieu était proche de la via Agrippa, voie romaine reliant Lugdunum (Lyon) à Portus Itius (Boulogne-sur-Mer) par Augusta Suessionum (Soissons) et Samarobriva (Amiens) (dite localement Chaussée Brunehaut).

Pendant la guerre de Cent Ans, en 1417, le château fut occupé par les Anglais qui ravagèrent le voisinage. Jean de Luxembourg les cerna et les força à se rendre[19].

La seigneurie a appartenu à partir de 1556 aux ducs de Montmorency et de Bourbon[19].

Le village et l'église ont été incendiés par les Espagnols en 1653 sous les ordres de Condé, durant la Fronde[19].

Le village se dota d'une école en 1824[19].

Lors de la guerre franco-allemande de 1870, les Allemands, marchant sur Amiens, occupèrent Arvillers[19].

Le village se trouvait dans la zone des combats de la Première Guerre mondiale et a subi des destructions de guerre[21],[22],[23]. Il a été décoré de la croix de guerre 1914-1918 le [24].

L'ancienne commune de Saulchoy-sur-Davenescourt a été rattachée à Arvillers en 1965[25].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle fait partie depuis 1801 du canton de Moreuil[25], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du canton de Moreuil, créée par un arrêté préfectoral du 4 décembre 1992 et renommée communauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM) par arrêté préfectoral du 6 mai 1996.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du Département.

Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d'Avre, Luce et Moreuil[26], la préfète dévoile en octobre 2015 son projet qui prévoit la « des communautés de communes d'Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[27],[28]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[29] et de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[30] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du 22 décembre 2016[31], qui prend effet le .

La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[32]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Francis Soilleux    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours
(au 17 juillet 2020)
Yves Cottard   Vice-président de la CC Avre Luce Moreuil (2005[33] → 2016)
Vice-président de la CC Avre Luce Noye (2017 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[34],[35],[36]

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].

En 2021, la commune comptait 769 habitants[Note 3], en évolution de −3,03 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0189281 0401 1351 1401 1051 1211 1651 212
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2661 2591 3681 3391 3331 3641 3081 1851 056
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 048989897625720651692637646
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
678634559568634652719738784
2018 2021 - - - - - - -
770769-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

En 2020, la commune accueille une école publique de quatre classes qui accueille un peu plus de cent élèves de la maternelle au CM2[35].

Les deux médecins généralistes qui y avaient leur cabinet ont quitté la commune en 2015. Une ostéopathe a rouvert le cabinet médical en 2017[40].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Chapelle Notre-Dame de la Délivrance. Reconstruite en 1829[45].
  • Chapelle Sainte-Margareth à Saulchoy-sous-Davenescourt, datée de 1840[45].
  • Le monument aux morts, financé par une souscription publique vers 1923. Il s'agit d'un modèle-type de l'époque, le numéro 2139 du catalogue Gourdon, nommé soldat au drapeau[46],[47].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Madeleine Riffaud (née en 1924 à Arvillers), héroïne de la résistance, poétesse, journaliste et correspondante de guerre française[48],[49].

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique d'Arvillers » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Sandre, « l'Avre »
  2. « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Arvillers et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  15. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 976 - (ISBN 2600001336).
  16. Dans le cartulaire de l'abbaye de Corbie
  17. « Les origines du nom », Histoire, Mairie d'Arvillers (consulté le ).
  18. Charles Rostaing, Les noms de lieux. Paris P.U.F., 1969
  19. a b c d e et f « Résumé », Histoire, Mairie d'Arvillers (consulté le ).
  20. « Photo aérienne de Roger Agache : Probable villa à cour rectangulaire orientée à l'Est. Les prospections, effectuées à l'est de la villa, ont livré un peu de mobilier gallo-romain (1982) », notice no ARR22_8280399ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  21. Section photographique de l'armée, « Photo : Arvillers. L'église et ses abords », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  22. Section photographique de l'armée, « Photo : Arvillers. Un coin du village », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  23. Section photographique de l'armée, « Photo : Arvillers. Ruines autour de l'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  24. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
  25. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  27. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  28. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  29. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l'idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l'idée d'un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  30. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  31. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  32. « Les maires de Arvillers », sur francegenweb.org (consulté le ).
  33. « Extrait du registre des délibérations du conseil communautaire de la communauté de communes Avre Luce Moreuil » [PDF], (consulté le ), p. 6.
  34. Cécile Latinovic, « Le mot d'ordre moreuillois est passé : Seize communes sur les 23 que compte le secteur de Moreuil ont mis le FN en tête », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Par exemple, dimanche 18 juin, après le scrutin, le maire d'Arvillers, Yves Cottard, ne cachait pas sa satisfaction. Ses administrés ont boudé le candidat REM. Pour autant, le maire n'est pas connu comme être un sympathisant du Front national. Ce qui lui donnait cette satisfaction était davantage l'échec électoral de l'ancien président de feu la Communauté de communes du Val de Noye que l'échec du candidat La République en marche ».
  35. a et b « C'est décidé, Yves Cottard veut rester maire d'Arvillers », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À 72 ans, l'élu n'est pas un novice. Connu pour ne pas avoir sa langue dans sa poche, il fait partie du paysage de la commune de plus de 800 habitants depuis 1977, comme conseiller municipal et depuis près de vingt ans comme maire de la commune. Il est aussi vice-président de la Communauté de communes Avre Luce Noye en charge de l'environnement ».
  36. « Jour 1 du 4e et dernier mandat d'Yves Cottard à Arvillers », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. « Le cabinet d'Arvillers rouvre deux ans après : Une ostéopathe a décidé de reprendre le cabinet laissé vacant par les médecins généralistes en 2015 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. « A) Aquarelle d'Oswald Macqueron : Église d'Arvillers, d'après nature, 17 juin 1876 B) Carte postale : La grande guerre 1914-15-16 - Arvillers (Somme) - L'église après bombardement. A.R. (1916) », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  42. Section photographique de l'armée, « Photo : Arvillers. L'église : intérieur », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  43. Section photographique de l'armée, « Photo : Arvillers. L'église : le chœur », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  44. Section photographique de l'armée, « Photo : Arvillers. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  45. a et b André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 217 (ASIN B000WR15W8).
  46. « Monument aux morts de la Guerre de 1914-1918 », notice no IA80000019, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. « Monument aux morts d'Arvillers », Région Hauts-de-France - Inventaire général (consulté le ).
  48. Virginie Guennec, « Ils racontent la jeune « Rainer » : Deux réalisateurs se penchent sur la jeunesse de Madeleine Riffaud. La Résistante, surnommée « lieutenant Rainer », est une enfant du pays, dont beaucoup se souviennent dans le Santerre. », Le Courrier picard,‎ .
  49. Alain Ruscio, « Tous les combats de Madeleine Riffaud », L'Humanité,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]