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Axel Freudenthal étudie à l'université Alexandre où les combats entre les mouvements nationalistes fennomanes et svecomanes font rage.
En 1866, Freudenthal est nommé maître de conférences en vieux norrois est rédige sa thèse de doctorat sur le dialecte de Närpes en 1878.
De 1878 à 1904, il est professeur de suédois et de littérature.
Axel Freudenthal voit la majorité finnophone comme une menace.
Il résiste activement et préconise des mesures radicales , comme le séparatisme en contraste avec les positions plus modérées d'Axel Lille[6].
Dans les théories d'Alex Freudenthal la langue, la nationalité et la race sont liées.
Selon les parties les plus extrêmes de ces théories, il fait valoir que les suédophones sont racialement supérieurs aux finnois.
Ses positions peuvent être rapprochées des doctrines eugénistes aryennes ailleurs en Europe[7].
Les idées de Freudenthal sont représentatives d'une certaine atmosphère et même de la pensée scientifique germaniste de l'époque.
Les Fennomanes ne sont pas en faveur des doctrines raciales[8].
Ce qui est compréhensible, puisque les doctrines raciales classent les finnois et leurs parents linguistiques comme race européenne inférieure.
D'autre part, les Finlandais, à quelques exceptions près, n'ont jamais contesté l'infériorité de la race mongoloïde, mais ont plutôt cherché à se détacher de la réputation des mongoles[9].
↑(fi) Göran von Bonsdorff, Självstyrelsetanken i finlandssvensk politik åren 1917–1923, , p. 19
↑(en) McRae, Kenneth D., Conflict and compromise in multilingual societies : Finland, Université Wilfrid-Laurier, , p. 38
↑(fi) Aira Kemiläinen, Suomalaiset, outo Pohjolan kansa : Rotuteoriat ja kansallinen identiteetti, Helsinki, Suomen historiallinen seura, coll. « Historiallisia tutkimuksia 177. », , 417 p. (ISBN951-8915-82-2)
↑(fi) Pekka Isaksson et Jouko Jokisalo, Kallonmittaajia ja Skinejä" – Rasismin aatehistoria, Like, (ISBN951-578-712-2)