Bamali (Ndop)
Pour les articles homonymes, voir Bamali.
.svg){kind=icon}
Cet article est une ébauche concernant une localité camerounaise.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
| Bamali | ||||
| Administration | ||||
|---|---|---|---|---|
| Pays |  Cameroun
|
|||
| Région | Nord-Ouest | |||
| Département | Ngo-Ketunjia | |||
| Démographie | ||||
| Population | 11 101 hab. (2012 [1]) | |||
| Géographie | ||||
| Coordonnées | 5° 58′ 14″ nord, 10° 27′ 55″ est | |||
| Altitude | 1 138 m |
|||
| Localisation | ||||
| Géolocalisation sur la carte : Cameroun
Géolocalisation sur la carte : Cameroun
Géolocalisation sur la carte : région du Nord-Ouest
| ||||
modifier  |
||||
Bamali est une localité du Cameroun située dans l’arrondissement (commune) de Ndop (Ndop Council), dans le département de Ngo-Ketunjia et dans la Région du Nord-Ouest. C'est aussi le siège d'une chefferie traditionnelle de 2e degré[2].
Localisation
[modifier | modifier le code]Le village de Bamali est situé à environ 33 km de Bamenda, le chef-lieu de la Région du Nord-Ouest et à environ 261 km de distance de Yaoundé, la capitale du Cameroun.
Histoire
[modifier | modifier le code]Les habitants de Bamali sont les descendants d'un groupe de 7 personnes ayant migré d'un endroit appelé Ndoupah situé dans la région de l'Ouest[1].
Population
[modifier | modifier le code]Lors du recensement national de 2005, Bamali comptait 7 690 habitants[3].
En 2012, le village comptait 11 101 habitants dont 5 124 hommes et 5 977 femmes[1]. Au 24 septembre 2023, il compte 23101 habitants.[réf. nécessaire]
Éducation
[modifier | modifier le code]Bamali a quatre écoles publiques et quatre écoles privées[1].
Politique et société
[modifier | modifier le code]En , le chef du village Idriss Nopu Ndouafoua II a été destitué après avoir été reconnu coupable de corruption et de violation de la culture et des traditions Bamali[4], mais il reste le chef légal aux yeux de l'administration, car le nouveau chef n'a pas été reconnu par l'État camerounais.
Le , il y a eu des affrontements armés entre les villageois et les militaires[5].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Plan de développement communal de Ndop mars 2012 [1]
- « Chefferie Bamali », in Annuaire des chefferies traditionnelles, Ministère de l'Administration territoriale et de la Décentralisation, 2012, consulté le 30 juin 2018
- Répertoire actualisé des villages du Cameroun. Troisième recensement général de la population et de l'habitat du Cameroun, Bureau central des recensements et des études de population, vol. 4, tome 7, 2005, p. 322 [2]
- article du Cameroon postline 'Bamali Fon Deposed' - 10 décembre 2009 [3]
- The Eye Newspaper 'Bamali Chieftaincy Crisis - 6 janvier 2015 [4]
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Olivier P. Gosselain, Poteries du Cameroun méridional : styles techniques et rapports à l'identité, CNRS Editions, Paris, 2002, 254 p. (ISBN 2-271-06034-6)
- Louis Perrois et Jean-Paul Notué, Rois et sculpteurs de l'ouest Cameroun : la panthère et la mygale, Karthala, ORSTOM, Paris, 1997, 389 p. (ISBN 2-86537-744-X), [lire en ligne]
Liens externes
[modifier | modifier le code]- (en) Ndop, sur le site Communes et villes unies du Cameroun (CVUC)
- (en) Council Development Plan. Ndop Council, PNDP, March 2012, 201 p.
