Bardou (Dordogne)

Bardou
Bardou (Dordogne)
L'église de Bardou.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Portes Sud Périgord
Maire
Mandat
Jean-Paul Roussely
2020-2026
Code postal 24560
Code commune 24024
Démographie
Gentilé Bardoviens
Population
municipale
45 hab. (2021 en évolution de +4,65 % par rapport à 2015)
Densité 9,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 44′ 17″ nord, 0° 41′ 07″ est
Altitude Min. 124 m
Max. 181 m
Superficie 4,76 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Bergeracois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Bardou
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Bardou
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Bardou
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Bardou

Bardou est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Généralités

[modifier | modifier le code]

Dans l'extrême sud du département de la Dordogne, la commune de Bardou est située en Bergeracois, dans l'aire d'attraction de Bergerac,

À l'écart des routes principales, le petit bourg se situe, en distances orthodromiques, douze kilomètres au sud-sud-ouest de Lalinde et vingt kilomètres au sud-est du centre-ville de Bergerac.

À un kilomètre au nord du bourg, le territoire communal est traversé par la route départementale 25, entre Issigeac et Naussannes.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Bardou est limitrophe de cinq autres communes.


Communes limitrophes de Bardou
Monsac
Montaut Bardou Naussannes
Boisse Saint-Léon-d'Issigeac

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Bardou est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée g1-Cc, est la formation du calcaire de Castillon, un calcaire lacustre micritique dur azoïque à nodules d'argiles vertes (plusieurs mètres d'épaisseur), avec un faciès de meuliérisation localement (Rupélien basal continental). La formation la plus récente, notée g1-Cmo, est du calcaire de Monbazillac, un calcaire lacustre et marno-calcaire localement meuliérisé et des argiles carbonatées à nodules calcaires (Rupélien continental). Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 830 - Eymet » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

Carte géologique de Bardou.

Relief et paysages

[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 124 m et 181 m[5],[6].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[9],[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 4,76 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 4,84 km2[3].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]

La commune est située pour partie dans le bassin de la Dordogne et pour partie dans le bassin de la Garonne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Banège, le Couzeau et par trois petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[15],[Carte 1].

La Banège, d'une longueur totale de 17,6 km, prend sa source près de la limite sud-ouest de la commune et se jette dans le Dropt en rive droite à Plaisance, face à Cahuzac[16],[17]. Elle arrose l'ouest de la commune sur un kilomètre dont 400 mètres en limite de Boisse.

Le Couzeau, d'une longueur totale de 13,76 km, prend sa source dans le nord de la commune et se jette dans la Dordogne à Varennes, face à Baneuil[18],[19]. Il baigne le nord de la commune sur un kilomètre dont 140 mètres servent de limite naturelle face à Naussannes.

Gestion et qualité des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique » et « Dropt ». Le SAGE « Dordogne Atlantique », dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Le SAGE « Dropt », dont le territoire correspond au bassin versant du Dropt, d'une superficie de 1 522 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte EPIDROPT[21]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [22].

Le territoire communal est partagé à environ 55 % pour le SAGE Dordogne Atlantique au nord et à l'est, et à 45 % pour le SAGE Dropt, à l'ouest et au sud.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[23]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[24].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 879 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[25]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bergerac à 20 km à vol d'oiseau[26], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 792,9 mm[27],[28]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[29].

Au , Bardou est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[30]. Elle est située hors unité urbaine[31]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[31]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[32],[33].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,1 %), zones agricoles hétérogènes (24 %), forêts (4,9 %)[34]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages, hameaux et lieux-dits

[modifier | modifier le code]

Outre le bourg de Bardou proprement dit, le territoire se compose de quelques autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[35] :

  • les Auquettes
  • les Barthes
  • la Borde
  • la Borie Basse
  • les Bouyjoux
  • le Charlat
  • la Croix
  • Entraygues
  • la Fonfine
  • Grand Eyral
  • la Mouthe
  • Peyreprat
  • le Suquet.

Prévention des risques

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Bardou est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[36]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[37].

Bardou est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[38]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[39],[40].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bardou.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[41]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[42]. 66,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[43].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999, par la sécheresse en 1989 et 1997 et par des mouvements de terrain en 1999[36].

Le nom de la localité est attesté sous la forme Bardo en 1286[44].

Le nom de la commune se référerait, soit à un nom de personnage d'origine germanique Bardulf ou Bardonem, soit à l'occitan bart, correspondant à une terre argileuse[44],[45].

En occitan, la commune porte le nom de Bardon[45].

La première mention écrite connue du lieu remonte à l'an 1286 sous la forme Bardo[44].

Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Bardon[46].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant inférieure à 100 habitants au recensement de 2017, sept conseillers municipaux ont été élus en 2020[47],[48].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1792 1799 Jean Villatte   Officier public
1799 1813 Joseph Lespinasse    
1813 1830 Henri de Montferrand    
1830 1832 Charles Roger    
1832 1847 Joseph Lespinasse    
1847 1849 Jean Coste    
1849 1851 Joseph de Lagineste    
1851 1852 Louis Durieu    
1852 1854 Augustin Lespinasse    
1854 1858 Joseph de Lagineste    
1858 1869 Augustin Lespinasse    
1869 1870 Gerbony Amouroux    
1870 1878 Antoine Laururie    
1878 1887 Élie Laururie    
1887 1892 Charles Roger    
1892 1900 Jean Faugère    
1900 1908 Félix Blanc    
1908 1919 Jean Eynard    
1919 1940 Albin Jean Feuille    
1940 1941 Louis Bouyna   Faisant fonction de maire
1941 1942 Charles Duchet   Maire désigné
1942 1944 Max de Lachaux   Président de la délégation spéciale
1944 1945 Ludovic Feuille   Maire délégué
1945 1955 Adolphe Groux    
1955 1971 Georges Delfieux    
1971 1983 Thierry Heuzey    
1983 1995 Bernard Godinot    
1995 2001 Alain Feuille    
mars 2001 mars 2008 Huguette Mouton    
mars 2008 mars 2017[49] Michel Castagnet SE[50] puis PS  
mars 2017[49] mai 2020 Jean-Louis Gasseau PS  
mai 2020 En cours Jean-Paul Roussely    

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Bardou relève[51] :

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Les habitants de Bardou se nomment les Bardoviens[52].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[54].

En 2021, la commune comptait 45 habitants[Note 5], en évolution de +4,65 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
191191199220196184192178174
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
164155159166170154130127111
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1271181311001031201029885
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
575458433633444244
2021 - - - - - - - -
45--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2015[56], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent quinze personnes, soit 34,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (deux) a augmenté par rapport à 2010 (zéro) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,3 %.

Établissements

[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte six établissements[57], dont trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, deux au niveau des commerces, transports ou services, et un dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[58].

Culture et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
L'église Saint-Blaise.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Bardou » sur Géoportail (consulté le 15 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Bardou » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Bardou », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 830 - Eymet de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Bardou », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Bardou », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  16. « Confluence Banège-Dropt au nord-ouest de Basset » sur Géoportail (consulté le 20 juillet 2022)..
  17. Sandre, « la Banège »
  18. « Confluence Couzeau-Dordogne au Port de Lanquais » sur Géoportail (consulté le 20 juillet 2022)..
  19. Sandre, « le Couzeau »
  20. « SAGE Dordogne Atlantique », sur gesteau.fr (consulté le ).
  21. « SAGE Dropt », sur gesteau.fr (consulté le ).
  22. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  24. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  25. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  26. « Orthodromie entre Bardou et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  27. « Station Météo-France « Bergerac-Roumanière » (commune de Bergerac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  28. « Station Météo-France « Bergerac-Roumanière » (commune de Bergerac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  29. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  30. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  31. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  32. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bergerac », sur insee.fr (consulté le ).
  33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  35. « Bardou » sur Géoportail (consulté le 21 février 2021)..
  36. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Bardou », sur Géorisques (consulté le ).
  37. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  38. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  39. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  40. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
  41. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  42. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  43. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  44. a b et c Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 42.
  45. a et b Le nom occitan des communes du Périgord - Bardon sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  46. « Bardon » sur Géoportail (consulté le 4 février 2014)..
  47. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 28 août 2020.
  48. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 22 octobre 2020.
  49. a et b Jacky Beney, « Qui est le nouveau maire de la commune », Sud Ouest édition Périgueux, 8 juin 2017, p. 23..
  50. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 10.
  51. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  52. Fiche commune Bardou, Union des maires de la Dordogne, consultée le 26 novembre 2016.
  53. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  54. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  55. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  56. Dossier complet - Commune de Bardou (24024) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 5 août 2018.
  57. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  58. Dossier complet - Commune de Bardou (24024) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 5 août 2018.
  59. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, p. 21 (ISBN 2-87901-221-X).
  60. « Château de Bardou », notice no PA00082336, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  61. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, p. 873 (ISBN 2-86577-214-4).