Belloy-en-France

Belloy-en-France
Belloy-en-France
La mairie.
Blason de Belloy-en-France
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Sarcelles
Intercommunalité CC Carnelle Pays-de-France
Maire
Mandat
Raphaël Barbarossa
2020-2026
Code postal 95270
Code commune 95056
Démographie
Gentilé Belloisiens
Population
municipale
2 228 hab. (2021 en évolution de +2,91 % par rapport à 2015)
Densité 235 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 05′ 25″ nord, 2° 22′ 19″ est
Altitude Min. 92 m
Max. 165 m
Superficie 9,49 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Belloy-en-France
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fosses
Législatives 2e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Belloy-en-France
Liens
Site web https://belloy-en-france.fr/

Belloy-en-France Écouter est une commune du Val-d'Oise située en plaine de France, et à environ 25 km au nord de Paris.

Ses habitants sont appelés les Belloisiens.

Géographie

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Localisation

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La commune est limitrophe de Luzarches, Épinay-Champlâtreux, Villiers-le-Sec, Villaines-sous-Bois et Saint-Martin-du-Tertre, Viarmes.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Belloy-en-France[1]
Viarmes Luzarches
Saint-Martin-du-Tertre Belloy-en-France[1] Épinay-Champlâtreux
Villiers-le-Sec Villaines-sous-Bois

Belloy comporte deux lieux-dits : le Beau-Jay à côté de Villaines-sous-Bois, les Briqueteries où est située la gare de Belloy sur la RD 909. Le Clos de la Fontaine, le Clos de l'Épine, et le Clos Saint-Romain sont les noms des quartiers résidentiels autour du bourg ancien.

Le sol de Belloy comprend du gypse et de la marne[2].

Voies de communication et transports

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Gare de Belloy - Saint-Martin.

Les liaisons routières sont assurées par deux routes départementales. La RD 909 est un axe nord-sud reliant Viarmes à la Croix Verte (au sud-ouest de Belloy) en passant par les Briqueteries et le Beau-Jay. La RD 85 est un axe est-ouest reliant la RD 909 à la Francilienne, en traversant le centre du village. Des voies communales permettent de relier Villaines-sous-Bois au sud et Viarmes au nord. En outre, des chemins ruraux mènent vers Luzarches et Épinay-Champlâtreux.

Belloy-en-France est desservie par la gare de Belloy - Saint-Martin, sur le réseau Transilien Paris-Nord, branche Paris-Nord — Luzarches. La gare est desservie à raison d'un train omnibus par heure en heures creuses et par un train semi-direct à la 1/2 heure (direct de Sarcelles - Saint-Brice à Montsoult-Maffliers et omnibus ensuite) en pointe. Il faut de 36 à 38 minutes de trajet à partir de la gare du Nord. La ligne de bus no 2 exploité par Keolis Val-d'Oise assure la liaison entre la gare de Montsoult - Maffliers et Beaumont-sur-Oise en passant par Viarmes, du lundi au vendredi uniquement[3]. S'y ajoutent des lignes régulières à vocation scolaire.

Le sentier de grande randonnée GR1 fait une incursion sur le territoire de la commune, au nord-est, venant de Luzarches et repartant vers la frontière entre Luzarches et Épinay-Champlâtreux.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 708 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bonneuil-en-France à 14 km à vol d'oiseau[6], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 616,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Belloy-en-France est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Belloy-en-France[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire regroupe 1 929 communes[13],[14].

Bedolitum en 832, Beloyum en 1343, Belletum in Francia, Ballolium, Balay, Baalay en 1223, Belloy en Parisis, Belloy-en-France depuis 1949[15].

Le nom de Belloy-en-France provient du latin bidolidum, composé de betula, bouleau et du suffixe etum, ensemble de végétaux.

Le village est mentionné pour la première fois dès 775 sous le règne de Charlemagne dans une charte de donation signée à Luzarches. Le village appartient très tôt à l'abbaye de Saint-Denis.
Entre le IXe siècle et la fin du règne de Philippe Auguste on ignore tout des autres propriétaires du territoire. Entre 1160 et 1325, Belloy est intégré au domaine de la famille de Montmorency.
Le remembrement du XIVe siècle favorise la vocation céréalière du village, dont la terre est presque entièrement labourable.
Au milieu du XIIIe siècle apparaît pour la première fois l'appellation « chevalier » de Belloy, premier seigneur d'une longue lignée qui posséda la terre jusqu'à la fin du XVIIe siècle. Hercule de Belloy vendit alors la terre aux chanoines de Paris le 12 juin 1694.
Avant la Révolution, la paroisse dépend de l'élection et du diocèse de Paris et est rattachée au doyenné de Montmorency.
La passementerie s'y implante à la Restauration (voire plus tôt).

Belloy a eu deux châteaux. Un château féodal détruit pendant les guerres de Religion. Il était situé dans le Marsouiller à côté de l'église. Un autre détruit sous l'Empire se trouvait rue des Carreaux. À la suite de la construction de pavillon, les derniers vestiges ont été détruits.

La réalisation du chemin de fer Montsoult-Luzarches et d'une gare située entre Belloy et Saint-Martin-du-Tertre en 1880 entraîne le développement du village, suivi environ un siècle plus tard en 1974 de la construction de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle qui provoque une importante expansion démographique (doublement de la population) par l'édification d'un lotissement pavillonnaire à la périphérie du village.

Le village se nommait à l'origine Belloy mais été rebaptisé Belloy-en-France en 1949. Belloy faisait partie de la Seine-et-Oise.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[16], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Sarcelles, après un transfert administratif effectif au .

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la deuxième circonscription du Val-d'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Luzarches du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle est rattachée en 1967 au canton de Viarmes[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Fosses.

Belloy-en-France fait partie de la juridiction d’instance de Gonesse (depuis la suppression du tribunal d'instance d'Écouen en février 2008[18]), et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[19],[20].

Intercommunalité

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La commune faisait partie de la communauté de communes Carnelle - Pays de France créée en 2005.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), le schéma départemental de coopération intercommunale du Val-d’Oise prévoit la fusion des deux communautés de communes Pays de France et Carnelle Pays de France, soit près de 31 500 habitants répartis sur 19 communes[21]. Cette fusion est effective le (hormis pour la commune de Noisy-sur-Oise qui rejoint la communauté de communes du Haut Val-d'Oise).

Une nouvelle communauté de communes Carnelle Pays-de-France, dont la commune fait désormais partie, est ainsi créée par un arrêté préfectoral du qui prend effet le [22],[23],[Note 4].

Liste des maires

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Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1872 1878 M. Fredault    
1878 1898 Baptiste Sainte-Beuve    
1898 1904 M. Vadbled    
1904 1932 Alphonse Sainte-Beuve    
1932 1935 Germain Compagnon    
1935 1953 Pierre Sainte-Beuve    
mai 1953 mars 1983 André Nivière    
mars 1983 juin 1995 André Fremont[25]   Agriculteur[26]
juin 1995 En cours
(au 29 avril 2021)
Raphaël Barbarossa DVD Médecin
Président de la CC Carnelle - Pays de France (? → 2016)
Réélu pour le mandat 2020-2026[27],[28],[29]

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

En 2021, la commune comptait 2 228 habitants[Note 5], en évolution de +2,91 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
800815787687737757751782767
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
722685666750900858842825758
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
711698719754798869813818972
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 0411 0651 7101 6451 5401 5361 7841 8192 098
2017 2021 - - - - - - -
2 1892 228-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune de Belloy-en-France est essentiellement constituée de terres agricoles mais elle est également dotée d'une clinique de courts séjours, de serres et d'une passementerie.

Les briqueteries et la distillerie ne sont plus en activité.

Belloy est équipée du WiMax.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Portail de l'église de Belloy-en-France.
Cheminée de la distillerie.

Monument historique

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Belloy-en-France ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire.

  • Église Saint-Georges (classée monument historique par liste de 1846[33]) : elle fut bâtie au XIIIe siècle à l'emplacement d'un sanctuaire primitif, très tôt lieu de pèlerinage.
La façade est de style Renaissance ; le portail, parfois attribué à Jean Bullant, est composé d'un tympan portant sur des colonnes cannelées à chapiteaux corinthiens, le tout encadré d'un entablement à l'antique très décoré, surmonté aux extrémités de deux lanternons. La salamandre et l'initiale du roi François Ier figurent sur les écoinçons. La base du clocher et la chapelle de la Vierge constituent les parties les plus anciennes de l'édifice. Le chœur est voûté d'ogives en étoile, voûtes renforcées par des liernes et tiercerons dans la nef et les bas-côtés. Les fonts baptismaux de pierre décorés de bas-reliefs représentant des motifs végétaux datent de 1524.
L'édifice possède une dalle tumulaire à double effigie de Guillaume de Belloy, une chaire et des boiseries du XVIIIe siècle et en face, un banc d'œuvre du XVIIe siècle surmonté d'un fronton[34],[35].

Autres éléments du patrimoine

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Équipements culturels

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La médiathèque.

Belloy est dotée d'une médiathèque au sein de l'ancien presbytère, d'une maison pour tous, de deux terrains de foot, d'un terrain de cross, d'un terrain de pétanque et d'un terrain de paintball.

Belloy-en-France sur écran

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En 1983 y est tourné Le Retour des bidasses en folie avec Les Charlots. On y voit notamment le presbytère, la mairie[36]

En octobre 2019, la rue de Verdun est le lieu de tournage d'une scène de la série La garçonne[37].

Personnalités liées à la commune

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  • Raoul Delfosse (1924-2009), acteur français, décédé à Belloy-en-France.

Héraldique

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Blason de Belloy-en-France Blason
Parti : au premier coupé au I de gueules à sept losanges d'or ordonnés 3, 3 et 1 et au II d'or à saint Georges sur un cheval terrassant de sa lance un dragon le tout contourné de sable, le cheval portant sur son flanc un écu d'argent à la croix de gueules, au second d'azur semé de fleurs de lys d'or ; l’écu surmonté d’une couronne murale[38].
Détails
Le premier quartier représente le blason des Morangle, le second quartier en dessous fait référence à l'église dédiée à saint Georges . La deuxième partie fait référence à la région du Pays de France.
Officiel

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Bibliographie

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  • Collectif d’historiens, Le Patrimoine des Communes du Val-d'Oise - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1054 p. (ISBN 2-84234-056-6), « Belloy-en-France », p. 942–945

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Belloy-en-France comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. La dénomination officielle de l'intercommunalité créée en 2005 comprend un tiret entre Carnelle et Pays de France. Par contre, il n'y a pas de tiret dans le nom de l'intercommunalité créée en 2017.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. « Communes limitrophes de Belloy-en-France » sur Géoportail..
  2. [PDF] « Tableau communal des risques naturels », sur DDT du Val-d'Oise, .
  3. « Horaire de la ligne 2 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Keolis Val-d'Oise, (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Belloy-en-France et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Le Bourget » (commune de Bonneuil-en-France) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Le Bourget » (commune de Bonneuil-en-France) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Belloy-en-France », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Belloy-en-France ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  16. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Décret du 15 février 2008 publié au Journal Officiel du 17 février 2008
  19. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
  20. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
  21. « Carnelle Pays de France : une nouvelle communauté de communes au  », sur carnelle-pays-de-france.fr (consulté le ).
  22. « Arrêté préfectoral du 20 décembre 2016 portant fusion des communautés de communes « Carnelle - Pays de France » et du « Pays de France » au  », Recueil des actes administratifs de l'État dans le Val-d'Oise, no 55,‎ , p. 18-25 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  23. « CC Carnelle Pays-de-France (N° SIREN : 200073013) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur - DGCL, (consulté le ).
  24. « Les premiers magistrats de Belloy-en-France depuis 1872 », Histoire de Belloy-en-France, sur belloy-en-france.fr (consulté le ).
  25. Jean-Marie Bontemps, « André FremonT, un belloysien qui se souvient... », sur belloy-en-france.fr (consulté le ).
  26. Blandine Seigle, « « Un élevage ici, c'est quasiment impossible » », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Réélu pour le mandat 2008-20140 : Site officiel de la préfecture du Val d‘Oise-liste des maires, 3 août 2009 [PDF])
  28. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, (consulté le ).
  29. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Compte-rendu du conseil municipal du 23 mai 2020 » [PDF], Le Conseil municipal, sur belloy-en-france.fr (consulté le ), p. 5-12.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Église Saint-Georges », notice no PA00080003, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. a et b Pierre Autin, Daniel Baduel, Yves Breton et M. Johnson, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Belloy-en-France », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II,‎ , p. 942-945 (ISBN 2-84234-056-6).
  35. Dominique Foussard, « Belloy-en-France - Saint-Georges », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France,‎ , p. 58-61 (ISBN 9782953155402).
  36. [PDF] Comité du tourisme et des loisirs du Val-d'Oise, Val-d'Oise - terre de tournages, 120 p. (lire en ligne), p. 22.
  37. Le bulletin municipal de Belloy-en-France de décembre 2019.
  38. http://www.belloy-en-france.fr/content/la-symbolique-des-armoiries-de-belloy-en-france