Bertrand Petit | |
Fonctions | |
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Député français | |
– (1 an, 4 mois et 10 jours) |
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Élection | 29 janvier 2023 (partielle) |
Circonscription | 8e du Pas-de-Calais |
Législature | XVIe (Cinquième République) |
Groupe politique | SOC |
Prédécesseur | Lui-même |
Successeur | Auguste Évrard |
– (5 mois et 10 jours) |
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Élection | 19 juin 2022 |
Circonscription | 8e du Pas-de-Calais |
Législature | XVIe (Cinquième République) |
Groupe politique | SOC |
Prédécesseur | Benoît Potterie |
Successeur | Lui-même |
Maire de Saint-Martin-lez-Tatinghem | |
– (8 ans, 10 mois et 17 jours) |
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Réélection | 15 mars 2020 |
Prédécesseur | commune nouvelle |
Successeur | Patrick Tillier |
Conseiller général puis départemental du Pas-de-Calais | |
En fonction depuis (16 ans) |
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Réélection | 22 mars 2015 27 juin 2021 |
Circonscription | Canton de Saint-Omer-Nord (2008-2015) Canton de Saint-Omer (depuis 2015) |
Groupe politique | Socialiste, Républicain et Citoyen |
Prédécesseur | Jean-Jacques Delvaux |
Maire de Saint-Martin-au-Laërt | |
– (14 ans, 9 mois et 14 jours) |
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Prédécesseur | Raymond Lamare |
Successeur | commune fusionnée |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Saint-Omer (France) |
Nationalité | française |
Parti politique | Parti socialiste |
Députés du Pas-de-Calais | |
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Bertrand Petit, né le à Saint-Omer, est un homme politique français.
Bertrand Petit naît le dans la ville de Saint-Omer, dans le Pas-de-Calais.
En 2001, il est élu maire de la commune de Saint-Martin-au-Laërt. En 2016, celle-ci fusionne avec celle de Tatinghem pour devenir Saint-Martin-lez-Tatinghem, dont il devient le maire.
Le 19 juin 2022, il est élu député de la 8e circonscription du Pas-de-Calais sous l'étiquette divers gauche[1]. Il est membre du groupe socialistes et apparentés, lui-même membre de l’intergroupe NUPES.
Son élection est invalidée par le Conseil constitutionnel dans une décision du , en raison d'une irrégularité concernant son suppléant, René Hocq, déjà remplaçant d'un sénateur[2]. Il est investi par la NUPES pour l'élection partielle des 22 et 29 janvier 2023[3]. Il est largement réelu à la suite des élections législatives partielles du contre le candidat RN Auguste Évrard (66,49% des suffrages exprimés), après être arrivé largement en tête au premier tour (46,14% des suffrages exprimés)[4].
Le 9 juin 2024, son mandat est écourté en raison de la dissolution de l'Assemblée nationale par le président de la République[5]. Lors des législatives anticipées, il arrive en deuxième position derrière Auguste Évrard du Rassemblement national. Il est devancé de quelques milliers de voix par ce dernier au second tour, et n'est donc pas reconduit[6].