Le déterminant locatif, -au-Plain, fait référence à un petit territoire des environs de Sainte-Mère-Église qui avait autrefois formé le doyenné du Plain. Cette appellation est issue de l'ancien français plain « pleine campagne, plaine ». Voir également Angoville-au-Plain et Neuville-au-Plain.
Le conseil municipal était composé de sept membres dont le maire et un adjoint. Ces conseillers intègrent au complet le conseil municipal de Sainte-Mère-Église le jusqu'en 2020 et Olivier Osmont devient maire délégué. Il est remplacé à cette date par Philippe Nekrassoff.
En 2019, la commune comptait 47 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2005, 2010, 2015, etc. pour Beuzeville-au-Plain[12]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 2].
Beuzeville-au-Plain a compté jusqu'à 120 habitants en 1836.
Ferme-manoir d'Artilly des XVIe – XVIIIe siècles, avec sa cheminée et des tours d'angle. En 1944, Américains et Géorgiens de l'armée allemande se sont battus à l'arme blanche… sans reddition[10].
Thomas Meehan III (1921-1944), officier américain, commandant de la Easy Company. Son avion s'est écrasé à proximité de la commune lors du parachutage de la 101e division aéroportée. Un monument commémoratif a été érigé dans le village.
↑Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.
↑« S'approprier la presqu'île : encadrement, contrôle territorial et développement des lieux de pouvoir », dans Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende, Julien Deshayes, Bénédicte Guillot, et la collaboration de Gaël Léon, ArchéoCotentin, t. 2 : Les origines antiques et médiévales du Cotentin à 1500, Bayeux, Éditions OREP, , 127 p. (ISBN978-2-8151-0790-7), p. 15.
↑Éric Barré, « Une extension de la baronnie d'Argences : la baronnie du Petit-Fécamp en Cotentin, au Moyen Âge », Revue de la Manche, t. 37, no 148, , p. 8 (ISBN979-1-0937-0115-8).
[Aubry et de Oliveira 2014] Martine Aubry et Matthieu de Oliveira, « Une base de données sur les monuments aux morts : histoire concrète et valorisation numérique », In Situ : revue des patrimoines, no 25 « Le patrimoine de la Grande Guerre », , p. 1re partie (« Monuments commémoratifs »), art. no 2 (DOI10.4000/insitu.11551, résumé, lire en ligne, consulté le ).
Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN978-2-9159-0709-4), p. 29.
René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN978-2-35458-036-0), p. 89.