Blancafort (Cher)

Blancafort
Blancafort (Cher)
L'église de Blancafort.
Blason de Blancafort
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Vierzon
Intercommunalité Communauté de communes Sauldre et Sologne
Maire
Mandat
Pascal Margerin
2020-2026
Code postal 18410
Code commune 18030
Démographie
Gentilé Blancafortais[1]
Population
municipale
1 005 hab. (2021 en évolution de −5,55 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 32′ 00″ nord, 2° 31′ 53″ est
Altitude Min. 162 m
Max. 261 m
Superficie 64,35 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Aubigny-sur-Nère
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aubigny-sur-Nère
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Blancafort
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Blancafort
Géolocalisation sur la carte : Cher
Voir sur la carte topographique du Cher
Blancafort
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Blancafort

Blancafort est une commune française située dans le département du Cher, en région Centre-Val de Loire.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Blancafort est située à la limite du Berry et de la Sologne, dans ce que l'on appelle le Pays-Fort, sur la Sauldre.

La commune faisait partie du canton d'Argent-sur-Sauldre ; depuis 2015, à la suite du redécoupage des cantons du département, elle fait partie du canton d'Aubigny-sur-Nère[2].

Localisation

[modifier | modifier le code]
Rose des vents Argent-sur-Sauldre Coullons
(Loiret)
Autry-le-Châtel
(Loiret)
Rose des vents
N Cernoy-en-Berry
(Loiret)
O    Blancafort    E
S
Aubigny-sur-Nère Oizon
Concressault
Barlieu

Lieux-dits et écarts

[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 770 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aubigny-sur-Nère à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 789,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Blancafort est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aubigny-sur-Nère, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55 %), prairies (19,2 %), forêts (15,7 %), zones agricoles hétérogènes (9 %), zones urbanisées (1,1 %)[14].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Blancafort est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Blancafort.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 95,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 653 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 639 sont en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2006, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

La commune dépendait jadis de l'abbaye de Saint-Satur et de celle de La Charité.

Les Templiers et les Hospitaliers

[modifier | modifier le code]

La commanderie du Fresne, de l'ordre du Temple y est créée au XIIe siècle. Avec la dévolution des biens de l'ordre du Temple elle revient aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

Le canal de la Sauldre

[modifier | modifier le code]
Petit canal de la Sauldre à Blancafort.

L'idée de construire un canal a été évoquée dès le début du XVIe siècle par Léonard de Vinci. Alors qu'il résidait au Clos-Lucé d'Amboise, il avait imaginé un canal à travers la Sologne, et jeté sur le papier quelques esquisses à ce sujet. Mais cette réalisation dépassait les possibilités techniques de l'époque.

En 1786, Autroche proposa lui aussi la construction d'un canal pour vivifier la Sologne centrale tout comme Lavoisier qui en 1787 émit cette idée : « L'insalubrité de la Sologne tient à l'imperméabilité de son sol. Pour résoudre ce problème, il faut construire un canal qui traverserait cette région, et ainsi, permettre un écoulement de l'eau ».

Mais le vrai père du canal de la Sauldre est l'ingénieur et mathématicien Adhémar Barré de Saint-Venant. Lors d'un voyage d'étude en Sologne (1826), il fit une découverte : le marnage. Celui-ci permet l'enrichissement des sols en calcaires puisque la Sologne en est dépourvue. Le canal de la Sauldre pouvait avoir les fonctions suivantes : drainage, irrigation, marnage, transport. Entre et , les crédits alloués permettent de creuser 13 km. Ceux-ci seront malheureusement abandonnés.

Deux mois après la visite du prince-président Louis-Napoléon Bonaparte, le , les travaux reprennent, avec pour seul but le transport de la marne de Blancafort à Lamotte-Beuvron. Au total, il mesure près de 47 km de longueur ; sa largeur est de 9,50 m et sa profondeur moyenne de 1,30 m. Il comporte 22 écluses.

En , le canal est désaffecté. Par un décret-loi du Drainage agricole , il est décidé de supprimer tout crédit d'entretien. Cependant, jusqu'en 1941, un petit trafic persista (bois, cailloux, marne…).

Dès sa naissance, le canal de la Sauldre semblait condamné, concurrencé tout de suite par la voie ferrée Orléans-Bourges, inaugurée en 1847, puis par les routes agricoles établies sous le Second Empire. Le chaulage et l'emploi des engrais chimiques, plus avantageux et moins coûteux, donnèrent sans doute le coup de grâce.

Les marnières

[modifier | modifier le code]

En 1869, l'état acquiert les marnières de Launay, qui se situent à Blancafort, et les concède à des exploitants. Après l'extraction de la marne, celle-ci est vendue aux communes de Sologne pour enrichir leurs sols en calcaire.

Sur une période de 16 ans (de 1869 à 1885), les marnières de Launay ont fourni 200 000 m3 de marnes. De 1885 à 1900, époque au cours de laquelle le canal a été prolongé de Launay à l’Hospital, Albert Fernault et son frère ont exploité de nouvelles carrières qu'ils ont acquises, tirant en moyenne 30 000 m3 de marnes par an.

9 bateaux, contenant chacun 50 m3, assurent le transport de la marne. Celle-ci est vendue 1,25 F le m3.

En 1900, les marnières occupent 40 à 50 ouvriers, rémunérés 0,30 F de l'heure. Les bateliers perçoivent 130 à 160 F par mois.

Le moulin du Crot

[modifier | modifier le code]

Les archives de la cure de Blancafort (1605) mentionnent le Moulin du Crot. Ce toponyme apparaît sous la forme « Le grand Croc » sur la carte de Cassini.

Le moulin du Crot est une construction datant de 1883 pour la première partie de trois étages, 1887 pour la partie habitation, et 1894 pour la partie garage surmonté d'un étage. Ces dates figurent sur les frontons des bâtiments. Une confusion a pu être faite avec le moulin de Launay qui se trouvait tout proche. Ce moulin qui était déjà en ruine à la suite d'un incendie dans les années 1800 pourrait correspondre. Le Grand Croc qui apparaît sur la carte de Cassini n'a rien à voir puisque c'est un lieu situé à quelques kilomètres à l'Est.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1901   M. Testard    
1906   M. Darchy    
21 mai 1922 15 août 1937 Léon Lasne    
    Philippe Toubeau de Maisonneuve    
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2008 Philippe Naudet    
2008 En cours
(au 15 juillet 2020)
Pascal Margerin DVG Ancien cadre
Vice-président de la CC Sauldre et Sologne (2014 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[18],[19]

Politique environnementale

[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[20].

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

En 2021, la commune comptait 1 005 habitants[Note 3], en évolution de −5,55 % par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1581 1581 3321 1631 2191 3141 2341 3141 359
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4001 4351 4981 5061 5041 6511 7161 6701 680
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7251 7351 6691 4491 4261 4461 4101 2341 122
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 0421 0079361 0709919951 0911 1151 140
2015 2020 2021 - - - - - -
1 0641 0081 005------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique
  • Fabrique de pâte feuilletée société François ;
  • Production européenne de volailles (groupe Doux) : 5 000 dindes sont abattues, désossées et conditionnées chaque jour ; maintenant, « Les volailles de Blancafort » ;
  • Blanca-Graphic : vente d'appareils de numérotation.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Le musée de la Sorcellerie, situé à 11 km à l'est d'Aubigny-sur-Nère, installé sur 1 200 m2, dans les murs d'une vieille ferme, propose la découverte, pendant une heure environ, de l'univers imaginaire et historique des sorcières. Ce musée est devenu, avec plus de 30 000 entrées par an, un des lieux les plus fréquentés du Cher. Il est fermé depuis septembre 2016, faute de repreneur[25] ;
  • Château de Blancafort, maison forte du XVe siècle, entièrement meublée et habitée. Édifiée au XVe siècle par les Boucard, sur l'emplacement d'une ancienne commanderie qui existait déjà au XIIe siècle[26], puis transformée au XVIIe siècle par la famille de Faucon, cette maison forte au bel appareillage de briques s'élève au bord de la Sauldre, dans un site enrichi par un jardin à la française. On y trouve du mobilier et des tapisseries du XVIIe et du XVIIIe siècle. L'ensemble fait l'objet d'une protection partielle au titre des Monuments Historiques, depuis une inscription à l'inventaire supplémentaire en 1926[27] ;
  • Église Saints-Étienne-et-André, cette église du XVe siècle est dotée d'un clocher-porche. De plan trapézoïdal, évasé par devant et qui s'étrécit vers le haut, il est formé de quatre bigues ou poutres. Celui-ci s'élève à une quinzaine de mètres de haut et est couvert d'ardoise. Cette configuration forme une sorte de gueule ouverte où se trouverait la porte d'entrée de l'église. L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1926[28] ;
  • Premier centre géographique de l'euro et monument de l'euro. Le , l'IGN a annoncé officiellement que le centre des 11 pays ayant choisi l'euro était situé à Blancafort aux coordonnées du point : x= 618.952 y=2282.849 représenté par une borne géodésique. Étant donné que celui-ci se situe sur les terres de la ferme La Grande Roche, un monument a été édifié sur les bords du canal de la Sauldre pour symboliser le centre de la zone Euro. Le , avec l'entrée de la Grèce dans la zone euro, c'est Montreuillon qui devint le centre géographique de la zone euro ;
  • Canal de la Sauldre ;
  • Château de l'Hospital-du-Fresne.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Blancafort Blason
Parti : au 1er d'azur aux onze besants d'or ordonnés 3, 3, 3 et 2, au 2e d'argent au cerisier de sinople fruité de gueules, au chef du même chargé d'une étoile de six rais d'or[29].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Alias du blason de Blancafort
Alias du blason de Blancafort
Parti : au 1er de gueules à une corne d'abondance au naturel, au 2e d'argent à un cerisier (ou un arbre) arraché au naturel, au chef d'azur chargé d'une étoile à six rais d'or.

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. 47° 30′ 57″ N, 2° 33′ 05″ E.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Le gentilé de la commune sur habitant.fr
  2. Décret no 2014-206 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Cher
  3. Émile de Toulgoët-Tréanna, « Les commanderies de Malte en Berry », Mémoire de la Société des Antiquaires du Centre, vol. XXXIV,‎ , p. 218-234, lire en ligne sur Gallica.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Blancafort et Aubigny-sur-Nère », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Aubigny-sur-Nere » (commune d'Aubigny-sur-Nère) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Aubigny-sur-Nere » (commune d'Aubigny-sur-Nère) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Aubigny-sur-Nère », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Blancafort », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « À Blancafort, Pascal Margerin se lance dans une dernière campagne pour les municipales : Pascal Margerin, 56 ans, retraité du médico-social et maire (divers gauche) de Blancafort depuis 2008, veut rempiler pour un troisième mandat », Le Berry républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. « Il a été élu maire à l’issue du conseil municipal d’installation : Pascal Margerin entame son troisième mandat à la tête de la commune. Il s’est entouré de quatre adjoints », Le Berry républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Pas de baguette magique pour le Musée de la Sorcellerie ?, Mag'Centre, 22 août 2016
  26. Notice no PA18000024, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  27. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA18000024
  28. Notice no PA00096651, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Blancafort », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]