Louis-Gustave Binger y entre le . Il écrit : « Le chef de la confédération de Bondoukoï [sic] est un vieillard aveugle, sans autorité ; il possède peu, de sorte qu'il n'est pas considéré : c'est Doufiné qui en est le vrai chef ; il est aimé et craint de tout le monde [...]. Bondoukoï est composé d'un groupe central de cinq villages, d'un village nommé Tanfi, situé à un kilomètre dans l'ouest, et d'un autre à 1 kil. 500 dans l'est, appelé Diampan »[3].
Louis-Gustave Binger évalue alors la population à « 2 500 à 3 000 habitants. À côté de la population Niéniégué vit une colonie de Dokhosié d'environ 150 personnes et onze familles Foulbé de même origine que celles de Kotédougou »[4].
Yézuma Coulibaly (avec la collaboration de Maxime Patry), Récits des jours anciens au Bwamu de Bondoukuy, Burkina Faso, éditions L'Harmattan, 2013, 237 p. (ISBN978-2-343-01357-2) (extrait des Cahiers Yézouma : enquêtes sur les chefs d'exploitation, 2000-2001)
Saratta Traoré, Approche ethnologique des transformations des rôles des femmes et de leurs activités en milieu rural au Burkina Faso : les Bwaba de Bondukuy, Université Paris 5, 2009, 365 p. (thèse d'ethnologie)
Note : les localités indiquées en gras sont les chefs-lieux de leur département ou commune. Sauf en cas de mention du nombre de secteurs urbains pour les villes, toutes les localités sont des villages.