La création et le développement des métropoles répondent à l'objectif d'assurer aux territoires français les plus dynamiques économiquement une structure politique et administrative qui leur permette de répondre aux enjeux spécifiques qu'ils rencontrent. L'architecture institutionnelle métropolitaine doit permettre aux principales aires urbaines françaises d'atteindre une « taille critique » leur donnant les moyens de conduire des politiques publiques adaptées à leur taille réelle et à leurs ambitions, bénéficiant à terme à l'ensemble du pays. Dans cet objectif, l’État a mis en place une quinzaine de « pactes métropolitains » afin d'apporter des financements aux investissements de ces nouveaux groupements[3]. Les métropoles sont représentées au niveau national par deux associations : France urbaine et l'Assemblée des Communautés de France.
La CUB avait elle-même été créée le 1er janvier 1968, en exécution de la loi no 66-1069 du 31 décembre 1966 relative aux communautés urbaines, et instituant les communautés urbaines de Strasbourg, Lille, Lyon et Bordeaux. Martignas-sur-Jalle rejoint la communauté urbaine le 1er juillet 2013.
Bordeaux Métropole est située au centre de la Gironde, au cœur de la région Nouvelle-Aquitaine. Elle représente à peu près la moitié de la population départementale. Elle regroupe 28 communes et présente une superficie de 578,3 km2[4], étendue entre le Médoc, les Landes girondines, les Graves, l'Entre-deux-Mers et le bec d'Ambès.
Bordeaux Métropole représente sept sites d'intérêt métropolitain (SIM), 790 ha de zone franche urbaine, 14 891 entreprises de commerce, une zone de chalandise de 3,8 millions de personnes, 3 985 entreprises créées en 2003, 48 000 établissements, 340 000 emplois salariés et 1 563 000 m2 de bureaux récents.[réf. souhaitée]
La population de ce qui était encore la CUB s'élevait en 2012 à 737 492 habitants et ne cesse d'augmenter. Par conséquent, d'ici à l'année 2030, la population de la Métropole pourrait approcher le million d'habitants[8]. La population de Bordeaux représente un tiers de la population de l'agglomération. Depuis 2000, la métropole compte environ 12 000 naissances par an, tandis qu'un habitant sur trois a moins de 25 ans.
Sur les 10 dernières années, la croissance démographique de la capitale de la Nouvelle-Aquitaine a été de 6,2 %, soit environ le double de la moyenne nationale. En ce qui concerne les populations nouvelles qui viennent s'installer dans la métropole, 40 % d'entre elles ont entre 24 et 40 ans[9][réf. nécessaire].
Évolution démographique
1968
1975
1982
1990
1999
2010
2015
2021
554 930
586 900
592 473
630 018
665 572
721 436
773 542
831 534
Les données présentées sont établies à périmètre géographique identique, dans la géographie en vigueur au . (Sources : Insee[10])
Après les élections municipales de 2020 en Gironde[13], le conseil métropolitain renouvelé comprend 58 hommes (56 %) et 46 femmes (44 % ), 21 maires hommes et 7 maires femmes, et compte 62 nouveaux élus par rapport à l'ancien de 2014, soit un taux de renouvellement de près de 60%[14].
Au moment de l'élection de 2020, ils se répartissaient en groupes politiques de la manière suivante[15] :
Ce conseil métropolitain a élu le son nouveau président, Alain Anziani, maire de Mérignac, ainsi que ses 20 vice-présidents[16].
Alain Anziani ayant démissionné pour raisons de santé, le conseil métropolitain réuni le a élu sa successeure, Christine Bost, maire socialiste d’Eysines, première femme présidente de l'intercommunalité et sixième à exercer la présidence d'une métropole[17]. Le conseil a également élu ses vice-présidents, qui sont[18] :
Pierre Hurmic, maire de Bordeaux, chargé de la transition des territoires ;
Véronique Ferreira, maire de Blanquefort, chargée des finances ;
Clément Rossignol-Puech, maire de Bègles, chargé de la stratégie des mobilités et mobilités alternatives / prospective 2030-2050 (SDODM Mobilités douces et actives) ;
Stéphane Delpeyrat-Vincent, maire de Saint-Médard-en-Jalles, chargé du développement économique et emploi, de l'enseignement supérieur et recherche ;
Patrick Labesse, maire de Carbon-Blanc, chargé de la collecte, du tri, de la valorisation des déchets et de la politique zéro déchet ;
Brigitte Terraza, maire de Bruges, chargée de la proximité et déconcentration de l’action métropolitaine (CODEV, mutualisation, suivi des conférences territoriales, relations à l’usager) ;
Alain Garnier, maire d'Artigues-près-Bordeaux, chargé de l'économie sociale et solidaire, économie de la proximité (commerce, artisanat) ;
Jean Touzeau, maire de Lormont, chargé de la valorisation du fleuve, franchissements et rééquilibrage rive droite ;
Marie-Claude Noël, conseillère municipale déléguée de Bordeaux, chargée des stratégies urbaines : PLU, EPF ;
Jean-François Egron, maire de Cenon, chargé des ressources humaines et administration générale ;
Sylvie Cassou-Schotte, adjointe au maire de Mérignac, chargée de l'eau et de l'assainissement ;
Béatrice de François, maire de Parempuyre, chargée des transports en commun et stationnement (gestion DSP, réseaux tram et bus, stationnement et parkings) ;
Claudine Bichet, maire-adjointe de Bordeaux, chargée du climat, transition énergétique, santé ;
Jean-Jacques Puyobrau, maire de Floirac, chargé du logement - habitat - politique de la ville ;
Claude Mellier, conseillère municipale de Mérignac, chargée des grandes infrastructures de transport routières et ferroviaires ;
Brigitte Bloch, conseillère municipale de Bordeaux, chargée du tourisme, évènements et équipements métropolitains ;
Andrea Kiss, maire du Haillan, chargée de l'aménagement urbain et naturel ainsi que du foncier opérationnel ;
Céline Papin, adjointe au maire de Bordeaux, chargée des équilibres des territoires, relations internationales et dialogue citoyen ;
Marie Recalde, chargée de la voirie - espaces publics – FIC ;
Patrick Papadato, adjoint au maire de Bordeaux, chargé de la stratégie nature, de la biodiversité et de la résilience alimentaire.
Le président de la communauté urbaine puis de la métropole[19] est élu par le conseil pour six ans, dans le mois qui suit les élections municipales et communautaires.
Premier ministre (1995 → 1997) Maire de Bordeaux (1995 → 2004 et 2006 → 2019) Député de la Gironde (2e circ.) (1997 → 2004) Premier président de Bordeaux Métropole Démissionnaire après sa nomination au Conseil constitutionnel.
La CUB, puis Bordeaux Métropole, exerce les compétences qui leur sont transférées par les communes membres, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales[38] :
Les missions de la CUB correspondaient aux 12 compétences attribuées aux communautés urbaines par la loi du , à savoir : le développement économique, l'urbanisme, l'habitat, l'environnement, l'eau et l'assainissement, les transports urbains (TBC, devenu TBM depuis 2016), la voirie, le stationnement, les cimetières, l'enseignement, les abattoirs et le Marché d'Intérêt National (MIN).
La CUB a été la première agglomération française où a été testé et implanté à la fin des années 1970 le système informatisé de gestion des feux tricolores, Gertrude.
Le 31 octobre 2014, la CUB renouvelle le contrat de Kéolis pour l'exploitation du réseau de transport de la métropole bordelaise et prévoit ainsi le remplacement de 90 salariés par des barrières automatiques[39],[40].
protection et de mise en valeur de l'environnement et de politique du cadre de vie ;
fourrière automobile ;
archéologie préventive ;
promotion d'une programmation culturelle des territoires de la métropole ;
réseaux non urbains de chaleur ou de froid urbains.
L'État, la Région et le Département peuvent déléguer à la métropole la gestion de certaines de leurs compétences[42].
Bordeaux Métropole appartient au périmètre du schéma de cohérence territoriale (SCoT) de l'aire métropolitaine bordelaise. Le SYSDAU, syndicat mixte, est l'organisme chargé de sa mise en œuvre. Il regroupe sept autres communautés de communes limitrophes[43]. L'ensemble représente près de 950 000 habitants.
Afin de financer l'exercice de ses compétences, l'intercommunalité perçoit la fiscalité professionnelle unique[7] (FPU) – qui a succédé à la taxe professionnelle unique (TPU) – et assure une péréquation de ressources entre les communes résidentielles et celles dotées de zones d'activité.
Elle perçoit également une Taxe d'enlèvement des ordures ménagères[7] (TEOM), qui finance le fonctionnement de ce service public. Le budget de Bordeaux Métropole en 2016 s'élevait à 1 261 352 968 €[1].
Le conseil de développement de Bordeaux Métropole ou C2D est une instance consultative de Bordeaux Métropole.
Le C2D a été créé en 2000, par la CUB (Communauté urbaine de Bordeaux), puis refondé en 2008. Le conseil, appelé « conseil de développement durable », est présidé de 2015 à 2020 par Denis Mollat[44].
Le C2D est composé de 105 membres (autant que de conseillers communautaires), paritaires, désignés par les 28 communes de la métropole ou choisis par la métropole. Pour chaque commune, un premier citoyen est choisi parmi les cadres dans la direction des entreprises ou associations locales, un deuxième est tiré au sort parmi les résidents.
Le C2D s’exprime sur saisine de la Métropole ou par auto-saisine des membres du Conseil de développement lui-même.
Les saisines impulsées par les élus de la Métropole portent sur des thèmes d’actualité ou relèvent de la prospective territoriale.
Les auto saisines relèvent de champs de compétences choisis par les membres du conseil.
Dans les deux cas, les membres s’inscrivent ensuite dans des groupes, sous forme d’ateliers, pour travailler sur une problématique précise.
Le C2D contribue au développement de certains projets relevant de la Métropole, et du transfert de questions et de données vers une instance supérieure telle que la métropole en elle-même.
Principaux travaux à la demande de Bordeaux métropole : #BM2050, Charte environnement (2003), Métropole et services pour la population, Quelle attractivité pour l'agglomération bordelaise ? (2004), Quelles réponses aux difficultés de logement sur la Cub ? (2005), Enseignement supérieur et recherche (2006), Responsabilité sociale des entreprises (2006), Quel mode de scrutin pour l'intercommunalité ? (2009), Identité d'agglomération ou agglomération d'identités ? (2010), A haute voix (2011), Grenelle des mobilités (2011), 24 propositions pour mieux gérer les déchets (2012), Mettre les données publiques entre les mains des acteurs de la citoyenneté (2015)
Travaux à l'initiative du C2D : Gouvernance et territoires (2006), Jeunesse et esprit d'entreprendre (2010), Environnement et modes de vie (2010), Culture et développement urbain (2011), Habiter (2012), Renouvellement de la classe politique (2013), Ville HQÉ - Haute Qualité Égalitaire (2014), Tous précaires : entretiens croisés sur l'expérience de la précarité (2014).
Rencontres et autres travaux : Assises de la participation, 15 ans du C2D (2014), Les Cafés de la controverse, Midi-idées : un rendez-vous pour les agents de la Cub, Les Agitateurs de Métropole #TesterDemain...
Le passage de l’agglomération bordelaise du statut de Communauté Urbaine à celui de Métropole s’accompagne de transferts de compétences dont la gestion d’équipements culturels et sportifs[45].
Reconduction du contrat portant sur l'eau et l'assainissement aujourd'hui géré par Lyonnaise des Eaux[47] (filiale de Suez Environnement)[48].
Reconstruction de la station d'épuration Louis Fargue, d'une capacité de 447 000 équivalent-habitant, représentant un investissement de 96,1 millions d'euros[49], pour 54 mois de chantier, de 2009 à 2013[50].
Après avoir enregistré 125,9 millions de voyages en 2014, le réseau en a totalisé 130,7 millions en 2015, dont 79,6 millions en tramway, 50,9 millions en bus et 240 000 en Bat3[53]. La croissance s'est accélérée en 2016 pour atteindre 141 millions de voyages[54].
Les routes se répartissent en 2 812 kilomètres de voies métropolitaines — incluant d'anciennes départementales et l'A631 — 91 kilomètres de rocades et d'autoroutes ainsi que 227 kilomètres de chemins ruraux et 3 kilomètres de routes nationales[55]. Depuis 2012, la CUB puis la métropole ont porté trois plans vélo successifs, amenant le réseau cyclable de 750 à 1 500 km, et créant en particulier un réseau express vélo nommé REVe Bordeaux de 270 km sur 14 lignes[56].
Bioparc : Un pôle de compétitivité pour accueillir les projets liés au secteur des technologies, de la santé et de l’alimentation, créé à la limite des communes de Mérignac et Pessac
Ecoparc : Site de référence pour l’économie durable, piloté par la ville de Blanquefort
↑Les densités de population sont calculées automatiquement dans un SIG en utilisant la surface géométrique de la commune, avec un niveau de précision du contour de 5 m tel qu'il ressort de l'export du découpage administratif au niveau communal (contours des communes) issu d'OpenStreetMap, et non la superficie cadastrale définie par l'Insee, qui est une donnée purement administrative. Des différences de classe peuvent ainsi éventuellement apparaître pour les communes qui se situent en limite de franchissement de seuil de classe.
↑Article 3 du décret no 2014-1599 du 23 décembre 2014 portant création de la métropole dénommée « Bordeaux Métropole ».
↑« Communauté urbaine de Bordeaux : cinq présidents en 46 ans : L'intercommunalité bordelaise fait preuve, depuis sa création en 1968, d'une remarquable stabilité. Revue d'effectif », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b« Il y a 76 ans, Chaban-Delmas devenait maire de Bordeaux pour la première fois : en images, les grandes dates de sa vie : Élu maire de Bordeaux pour la première fois le 19 octobre 1947, il occupera ce siège 48 ans, avant de laisser sa place à Alain Juppé en 1995. Cet ancien résistant, mort le 10 novembre 2000 à l’âge de 85 ans, a aussi présidé l’Assemblée nationale à trois reprises, et exercé les fonctions de Premier ministre de 1969 à 1972 », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Bordeaux : deux démissions marquent la première réunion : Le conseil de la communauté urbaine de Bordeaux a été installé lundi (voir le Monde daté du 5 décembre). M. Chaban-Delmas, qui venait d'être élu président, a dans son allocution expliqué pourquoi la ville de Bordeaux était représentée par trente-six membres au sein du conseil, qui en compte soixante-dix. alors que les vingt-sept autres communes de l'agglomération se partagent les trente-quatre autres sièges », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
↑Xavier Sota, « Gironde : Michel Sainte-Marie, l’emblématique maire de Mérignac est décédé : Ancien député socialiste et ex-président de la Communauté urbaine, Michel Sainte-Marie était une des figures politiques majeures de la Gironde, il avait 80 ans. Premières réactions », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
↑Jean-Marie Vasquez, « Alain Juppé élu à la présidence de la Communauté urbaine de Bordeaux : Après s'être installé dans le fauteuil de Jacques Chaban-Delmas à la mairie de Bordeaux, Alain Juppé a été élu hier à la majorité absolue (113 voix sur 120) à la présidence de la Communauté urbaine. Parmi les dossiers qu'il aura à régler rapidement se trouve celui du métro VAL, qui divise toujours les élus », Les Échos, (lire en ligne, consulté le )« Le Premier ministre qui disposait en théorie d'une courte majorité _ 61 élus de l'Union pour la Gironde (UPG) _ a rallié sur son nom la majorité des voix (113 sur 120). En contrepartie de ses suffrages, l'opposition de gauche a obtenu l'un des deux postes de vice-président délégué ».
↑« Alain Juppé démissionne de ses mandats de maire de Bordeaux et de président de la communauté urbaine », Maire info, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Alain Rousset (PS) élu président de la Communauté urbaine de Bordeaux », Maire info, (lire en ligne, consulté le ).
↑« A Bordeaux, le subtil numéro d'équilibriste d'Alain Rousset : Le nouveau président (PS) de la Communauté urbaine de Bordeaux, élu le 17 décembre 2004, après la démission d'Alain Juppé, dispose de trois années pour imprimer sa marque, en dépit de marges de manœuvre financières et politiques limitées », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
↑Réélu pour le mandat 2008-2014 : Adrien Pouthier, « Le socialiste Vincent Feltesse réélu président de la Communauté urbaine de Bordeaux : Le maire socialiste de Blanquefort (Gironde), seul candidat, a été réélu vendredi président de la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB) par 111 voix sur 120 », Le Moniteur, (lire en ligne, consulté le ).
↑Cathy Lafon, « Gironde : en février 2020, Vincent Feltesse quitte la vie politique : Le 22 février 2020, Vincent Feltesse annonce dans « Sud Ouest » qu’il quitte la politique. Il tourne ainsi la page de 20 ans de vie publique. Retour sur l’itinéraire d’un surdoué de la politique qui s’est cassé les dents à Bordeaux », Sud Ouest, 21/2/2020 mis à jour le 22/2/2020 (lire en ligne, consulté le ).
↑Solène Méric, « Alain Juppé et la cogestion de retour à la CUB : C'est le Maire de Bordeaux qui succède à Vincent Feltesse sur le siège de Président de la CUB. Celle-ci continuera de fonctionner selon le principe de la cogestion droite-gauche », Aqui!, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Bordeaux : Alain Juppé élu président de l'agglomération : Alain Juppé a repris vendredi la présidence de la Communauté urbaine de Bordeaux, qui a basculé à droite après la perte de six mairies par la gauche », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )« l'ancien Premier ministre, âgé de 68 ans, a recueilli 92 voix sur 93 suffrages exprimés pour un total de 105 conseillers communautaires ».
↑Mickaël Garaboeuf, « Démission d’Alain Juppé : la fin d’une ère qui a métamorphosé Bordeaux », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
↑Fanny Ohier, « Patrick Bobet élu à la tête de Bordeaux Métropole après le départ d'Alain Juppé : Patrick Bobet, élu à la présidence de Bordeaux Métropole. Il était le seul candidat, proposé par le groupe politique majoritaire Communauté d'Avenir. Il remplace Alain Juppé, parti au Conseil Constitutionnel. Trois nouveaux vice-présidents, Nicolas Florian, Emmanuel Sallaberry et Fabien Robert », France Bleu Gironde, (lire en ligne, consulté le ).
↑Bertrand Escolin, « Alain Anziani, maire de Mérignac (PS), est élu président de Bordeaux Métropole : Maire de la seconde plus grande commune de la métropole , Alain Anziani, élu PS à Mérignac depuis 2001 et maire depuis 2014, vient d’être élu vendredi 17 juillet président de Bordeaux Métropole. Pierre Hurmic, le nouveau maire écologiste de Bordeaux devient premier vice-président », Le Moniteur, (lire en ligne, consulté le )« l’accord majoritaire entre verts et socialistes a permis de trancher la question : le maire PS réélu de Mérignac, est élu président de Bordeaux métropole. Il recueille 65 voix sur les 105 élus métropolitains, soit la totalité des voix écologistes et du PS. Philippe Poutou a recueilli une voix ».
↑Adrien Vergnolle et Xavier Sota, « Alain Anziani quitte la présidence de Bordeaux Métropole : « Je ne veux pas être un président fantoche, ce ne serait pas digne » : Alain Anziani quitte ses fonctions de président de Bordeaux Métropole ce lundi 4 mars. Affaibli par plusieurs cancers, celui qui restera maire de Mérignac explique sa décision en exclusivité à « Sud Ouest » », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
↑Kevin Blondelle, « Christine Bost officiellement élue présidente de Bordeaux Métropole : Christine Bost, maire d'Eysines et jusqu'ici vice-présidente de Bordeaux Métropole devient officiellement présidente désormais. Elle a été élue ce vendredi pour succéder à Alain Anziani, qui a démissionné pour raisons de santé », France Bleu Gironde, (lire en ligne, consulté le ).