Bouilh-Péreuilh

Bouilh-Péreuilh
Bouilh-Péreuilh
Vue de Bouilh.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes des Coteaux du Val d'Arros
Maire
Mandat
Michel Iriarte
2020-2026
Code postal 65350
Code commune 65103
Démographie
Gentilé Bolhois
Population
municipale
115 hab. (2021 en évolution de +32,18 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 18′ 28″ nord, 0° 11′ 18″ est
Altitude Min. 219 m
Max. 351 m
Superficie 7,85 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Tarbes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Coteaux
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Bouilh-Péreuilh
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Bouilh-Péreuilh
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Voir sur la carte topographique des Hautes-Pyrénées
Bouilh-Péreuilh
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Bouilh-Péreuilh

Bouilh-Péreuilh est une commune française située dans le nord du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Estéous, le Lanénos et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Bouilh-Péreuilh est une commune rurale qui compte 115 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 329 habitants en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes..

Ses habitants sont appelés les Bolhois.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Carte

La commune de Bouilh-Péreuilh se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 13 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à 15 km de Trie-sur-Baïse[2], bureau centralisateur du canton des Coteaux dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Tarbes[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Marseillan (2,3 km), Soréac (2,4 km), Castelvieilh (2,5 km), Jacque (2,6 km), Louit (2,6 km), Peyrun (2,7 km), Collongues (3,0 km), Chelle-Debat (3,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Bouilh-Péreuilh fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[4].

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Bouilh-Péreuilh est limitrophe de neuf autres communes dont Pouyastruc au sud-ouest par un simple quadripoint.

Communes limitrophes de Bouilh-Péreuilh[5]
Castéra-Lou Peyrun Jacque
Soréac,
Louit
Bouilh-Péreuilh Marseillan
Collongues,
Pouyastruc
(par un quadripoint)
Castelvieilh

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Le ruisseau de Lanénos (affluent gauche de l'Arros) traverse la commune du sud au nord et forme la limite est avec la commune de Jacque.
Le ruisseau de Pépis (affluent gauche de Lanénos) traverse le territoire de la commune d'ouest en est et forme la limite nord avec la commune de Peyrun.
Le ruisseau de l'Estéous (affluent droit de l'Adour) traverse la commune du sud au nord et forme la limite ouest avec les communes des Castéra-Lou, Soréac, Louit, Collongues.
Le ruisseau de Barrastana (affluent gauche de Lanénos) qui prend sa source sur la commune, traverse le territoire de la commune d'ouest en est et forme la limite sud-est avec la commune de Marseillan.
Le ruisseau des Graves et le ruisseau du Pied du Bois (tous affluent gauche de Lanénos) traversent le territoire de la commune d'ouest en est.
Le ruisseau de la Fontaine Douce (affluent droit de l'Estéous) prend sa source sur la commune.

Le climat est tempéré de type océanique, en raison de l'influence proche de l'océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

Données climatiques à Bouilh-Péreuilh.
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
Précipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4
Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[6].


Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]
Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 2] est recensée sur la commune[7] : les « coteaux de Haget à Lhez » (4 261 ha), couvrant 32 communes dont quatre dans le Gers et 28 dans les Hautes-Pyrénées[8].

Au , Bouilh-Péreuilh est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,1 %), terres arables (23,3 %), prairies (21,9 %), zones agricoles hétérogènes (9,7 %)[9].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Vue de Péreuilh.

En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 56[I 5].
Parmi ces logements, 83,5 % sont des résidences principales, 7,6 % des résidences secondaires et 8,9 % des logements vacants.

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Cette commune est desservie par les routes départementales D 2, D 89 et D 289.

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Bouilh-Péreuilh est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[10]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[11].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Estéous et le Lanénos. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[12]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[13],[10].

Bouilh-Péreuilh est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[14]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bouilh-Péreuilh.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[15].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 60 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 60 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[10].

Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Bouilh-Péreuilh au sud-ouest de Saint-Sever-de-Rustan.

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[18] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

Étymologie : Selon Ernest Nègre, le nom est issu du latin bovillum qui signifie domaine à bœufs[19]. Du latin Bovile (« étable à bœuf »)[20] et par extension la métairie[21].

Nom occitan : Bolh Darrèr.

Dénominations historiques :

  • A. G. de Peruilhs, (1285, Montre Bigorre) ;
  • De Peyruls, (1313, Debita regi Navarre) ;
  • Perulhs, (1429, censier Bigorre) ;
  • Peruilh, (1737, registres paroissiaux) ;
  • Péreuilh, (1789, cahier de doléances Bigorre) ;
  • Peruilh, (1790, Département 2) ;
  • Pereuil, (fin XVIIIe siècle carte de Cassini).

Étymologie : du gascon perulh, « poirier sauvage ».

Nom occitan : Perulh.

Cadastre napoléonien de Bouilh-Péreuilh

[modifier | modifier le code]

Le plan cadastral napoléonien de Bouilh-Péreuilh est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[22].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
La mairie en 2017.
Le foyer rural en 2017.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1995 mars 2001 Jean Villemur    
mars 2001 mars 2014 Guillaume Lapeze    
mars 2014 2018 Yves Caréac    
juin 2018 en cours Michel Iriarte    

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Historique administratif

[modifier | modifier le code]

Bouilh-Darré et Péreuilh appartiennent au pays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de Tarbes et de Rabastens, baronnie de Castelvieilh, canton de Saint-Sever puis d'Aubarède (1790), chef-lieu transféré à Pouyastruc (1803)[23].

Bouilh-Darré et Péreuilh sont réunies en 1831 sous le nom de Bouilh-Péreuilh.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Bouilh-Péreuilh appartient à la communauté de communes des Coteaux du Val d'Arros créée en et qui réunit 54 communes.

Services publics

[modifier | modifier le code]

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26]. En 2021, la commune comptait 115 habitants[Note 4], en évolution de +32,18 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
146107131178329315306320327
1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
325315322280271263223215192
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
20017915015813712910611188
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
8484939088899110290
2019 2021 - - - - - - -
109115-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique
L’ancienne école en 2017.
L'église Saint-Martin en 2017.

Enseignement

[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[29].

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]
Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 6,5 % 8,5 % 8,7 %
Département[I 7] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 64 personnes, parmi lesquelles on compte 79,7 % d'actifs (71 % ayant un emploi et 8,7 % de chômeurs) et 20,3 % d'inactifs[Note 5],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Tarbes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 8 emplois en 2018, contre 10 en 2013 et 10 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 48, soit un indicateur de concentration d'emploi de 17,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,1 %[I 10].

Sur ces 48 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 8 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 84,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 13,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]
L'église Saint-Martin en 2017.
Le lavoir.

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Le monument aux morts municipal.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Commune sans blason officiel.

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]
  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Bouilh-Péreuilh ».
  2. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tarbes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. Insee : Rapport statistique communal pour la ville de Bouilh-Péreuilh
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Bouilh-Péreuilh » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Bouilh-Péreuilh » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. Stephan Georg, « Distance entre Bouilh-Péreuilh et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Bouilh-Péreuilh et Trie-sur-Baïse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Bouilh-Péreuilh », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
  7. « Liste des ZNIEFF de la commune de Bouilh-Péreuilh », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  8. « ZNIEFF les « coteaux de Haget à Lhez » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  10. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Bouilh-Péreuilh », sur Géorisques (consulté le ).
  11. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  12. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  14. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bouilh-Péreuilh », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  18. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
  19. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Tome 3, page 1859 Lire en ligne
  20. Ernest Nègre,Toponymie générale de la France, Tome 3, page 1859
  21. Stéphane Gendron, Animaux et noms de lieux, Éditions Errance, , p. 144.
  22. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Bouilh-Péreuilh en 1809
  23. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
  24. « Liste des juridictions compétentes pour Bouilh-Péreuilh », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).