Dans le nord du département de la Dordogne, en limite du Périgord central et du Ribéracois, la commune de Bourdeilles est traversée par la Dronne, principal affluent de l'Isle.
Arrosé par la Dronne et traversé par les routes départementales (RD) 78 et 106, le bourg de Bourdeilles est situé, en distances orthodromiques, sept kilomètres au sud-ouest de Brantôme (commune de Brantôme en Périgord) et dix-huit kilomètres au nord-nord-ouest du centre-ville de Périgueux.
La commune est également desservie par les RD 106E1 et 106E3.
À l'extrême sud-est, entre les territoires des communes de Biras et de Bussac, un petit tronçon commun aux GR 36 et GR 361 longe le territoire communal sur 400 mètres, près du lieu-dit la Veyssonie. Anciennement, le tracé du GR 36 passait par le bourg.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Bourdeilles est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2b, date du Turonien inférieur à moyen, composée de calcaire graveleux, puis calcaires crayeux bioclastiques à rudistes passant latéralement à des calcarénites. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 734 - Nontron » et « no 758 - Périgueux (ouest) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 82 m et 192 m[6],[7].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 21,85 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 22,71 km2[3].
La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Bussière-Galant et se jette en rive droite de l'Isle — dont elle est le principal affluent — à Coutras en Gironde, au lieu-dit la Fourchée, face à la commune de Sablons[16],[17]. Elle arrose la commune de l'est au sud-ouest sur neuf kilomètres et demi, lui servant de limite naturelle sur six kilomètres et demi, en deux endroits séparés, face à Brantôme en Périgord (territoire de l'ancienne commune de Valeuil) et à Creyssac.
La Donzelle, d'une longueur totale de 10,29 km, prend sa source dans la commune de La Chapelle-Gonaguet et se jette dans la Dronne en rive gauche à Lisle[18]. Elle marque brièvement la limite communale sur 350 mètres au sud, entre Bourdeilles et Lisle.
Son affluent de rive droite la Valade baigne le sud du territoire communal sur trois kilomètres et demi.
Le Boulou, d'une longueur totale de 23,94 km, prend sa source dans la commune de Sceau-Saint-Angel et se jette dans la Dronne en rive droite en limite de Bourdeilles et de Creyssac[19],[20]. Il sert de limite naturelle sur plus d'un kilomètre et demi à l'ouest, face à Paussac-et-Saint-Vivien et Creyssac.
La Dronne en aval du pont de Bourdeilles.
La Dronne au Gué de l'Éperon en limite de Creyssac et Bourdeilles.
Le Boulou, à 100 mètres de son confluent avec la Dronne,à côté du Moulin de Fontas, marque la limite entre Creyssac (à gauche) et Bourdeilles.
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[21]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [22].
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[23].
En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[24].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 903 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[25]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-de-Fressengeas à 10 km à vol d'oiseau[26], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 050,4 mm[27],[28]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[29].
Au , Bourdeilles est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[30].
Elle est située hors unité urbaine[31] et hors attraction des villes[32],[33].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (59,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (37,6 %), zones agricoles hétérogènes (29,3 %), terres arables (21,8 %), prairies (7,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %), zones urbanisées (1,4 %)[34]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dronne, le Boulou, l'Euche et la Donzelle. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1988, 1993 et 1999[38],[36]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dronne », couvrant 19 communes et approuvé le , pour les crues de la Dronne[39],[40].
Bourdeilles est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[41]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[42],[43].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[44]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[45]. 32,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[46].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1992, 1997, 2005 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[36].
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, on trouve encore la graphie Bourdeille[47]. Ce n'est qu'à partir de 1801 que le nom actuel devient officiel[6].
En occitan, la commune porte le nom de Bordelha[48].
Plusieurs sites préhistoriques classés MH se trouvent sur la commune :
le site du Pont d'Ambon[49],[50] (Magdalénien / Azilien[51],[52], os gravés de style Azilien / Laborien[53]) ;
la grotte ornée des Bernoux[54] (vestiges archéologiques du Moustérien à l'Aurignacien, représentations animales gravées (mammouth, rhinocéros) du Gravettien au Solutréen — dont une gravure interprétée comme une tête d'ours de profil[55] qui s'est avérée être une tête de félin —, rhinocéros, et tête de cheval aurignacienne[56]) ;
la grotte du Trou de la Chèvre[Note 7] ou grotte de la Chèvre[57] (Moustérien, Périgordien ancien - Châtelperronien - et supérieur - Gravettien - Aurignacien[58]), le Fourneau-du-Diable.
Au Xe siècle, mise en place et fondation des quatre baronnies du Périgord : Bourdeilles, Biron, Beynac et Mareuil[réf. nécessaire].
Mais ce n'est qu'au XIIe siècle qu'est attestée l'existence du village alors appelé Burgus ou villa.
Du XIe au XIIe siècle, on constate une expansion démographique.
Vers 1259, les guerres fratricides des Bourdeille contribueront à la démolition du premier château. En août 1263, le vicomte de LimogesGuy VI le Preux meurt à Brantôme après son échec au siège du château de Bourdeilles[59].
À partir de 1273, année au cours de laquelle Édouard Ier d'Angleterre investit le château de Bourdeilles[60], l'abbé de Brantôme revendique la suzeraineté sur la seigneurie de Bourdeilles. En 1280, le château devient la possession de l'abbé Bernard de Maulmont. Il favorise alors son frère Géraud en lui donnant en fief la châtellenie de Bourdeilles en 1283. Imposé comme coseigneur, Géraud de Maulmont fait construire, à partir de 1283, le château fort dit "château neuf"[61].
Néanmoins, le vieux lignage des barons de Bourdeilles entre à nouveau en possession de la baronnie. Un château de style Renaissance est construit à la fin du XVIe siècle selon les plans de Jacquette de Montbron, épouse d'André de Bourdeilles[61], dont la famille conserve les lieux jusqu'en 1672. À la fin du XVIIe siècle et jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, la baronnie de Bourdeilles appartient à plusieurs familles : Chapelle de Jumilhac, puis Bertin. Jean Bertin, maître de forges, enrichi par le système de Law, en fait l'acquisition en 1720, puis son fils Henri, ministre de Louis XV, se titre marquis de Bourdeilles.
Extrait d'un témoignage de mai 1852[62] :
"On voit à Bourdeille deux châteaux bien conservés ; une forteresse du XIVe siècle et une villa italienne des derniers temps de la renaissance. La forteresse, de forme très originale, se compose principalement d'un grand corps de logis long de 33 mètres et large de 9 m à l'intérieur. Deux salles se partageaient chaque étage. Il n'y avait donc en tout que 4 pièces, dont les quatre immenses cheminées, les fenêtres et les bancs de pierre existent encore. Les murs de refend et les planchers ont disparu. Une toiture passablement entretenue protège l'édifice contre les intempéries, mais elle n'est pas d'origine. Au sud et à l'ouest, du côté de la rivière et du bourg ce corps de logis affleure le bord d'un rocher qui se creuse à sa base de la manière la plus pittoresque. À l'ouest, seul point où il fut possible d'aborder de plain-pied l'emplacement du château, une grosse tour à 8 pans fortifiait l'angle le plus exposé et protégeait la porte d'entrée. C'est un véritable donjon bien conservé...[source insuffisante]
Liste des barons de Bourdeilles du XIVe siècle à 1947
La commune de Bourdeilles a été rattachée, dès 1790, au canton de Brantôme qui dépendait du district de Perigueux jusqu'en 1795, date à laquelle les districts sont supprimés. En 1801, le canton de Brantôme est rattaché à l'arrondissement de Périgueux[6].
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[65],[66].
Les habitants de Bourdeilles se nomment les Bourdeillais[70].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[71]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[72].
En 2021, la commune comptait 780 habitants[Note 8], en évolution de +5,55 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2015[74], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 283 personnes, soit 38,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trente-cinq) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,4 %.
Au , la commune compte 78 établissements[75], dont 41 au niveau des commerces, transports ou services, seize relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, dix dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept dans l'industrie, et quatre dans la construction[76].
Falaise de la Forge du Boulou, haute d'une trentaine de mètres, site d'escalade en rive gauche du Boulou, accessible par le bas uniquement à partir de la commune de Paussac-et-Saint-Vivien.
Dans toute sa traversée de la commune, du nord-est au sud-ouest, la vallée de la Dronne[101] est classée comme zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), alliant l'humidité à une variété de sites qui alternent, au fil des méandres successifs, des endroits ombragés puis lumineux ainsi que des zones escarpées puis planes.
Bordant le territoire communal à l'ouest sur environ un kilomètre et demi, le Boulou ainsi que sa vallée et ses coteaux forment une autre ZNIEFF de type I « Réseau hydrographique et coteaux du Boulou aval », présentant une importante variété faunistique sur Bourdeilles et six autres communes ou anciennes communes[102],[103].
De très nombreuses autres espèces animales ou végétales y ont été recensées : cinq amphibiens, cinq reptiles, 69 oiseaux, 307 insectes ainsi que 40 plantes.
La vallée du Boulou représente « un intérêt national » par la « richesse exceptionnelle » en espèces d'insectes — notamment en Lépidoptères et en Odonates — répertoriées dans les trois ZNIEFF de ce cours d'eau[105].
La falaise (site d'escalade) de la Forge du Boulou se dresse à l'est du Boulou, qui coule au niveau du rideau d'arbres.
Le Boulou, en amont du pont de la route départementale 106, en limite de Creyssac (à gauche) et de Bourdeilles.
Le Boulou, à côté du Moulin de Fontas, en limite de Creyssac (à gauche) et de Bourdeilles. Vue prise vers l'amont.
Le Boulou, à côté du Moulin de Fontas, en limite de Bourdeilles (à gauche) et de Creyssac. Vue prise vers l'aval.
La vallée de la Dronne, depuis le bourg et en amont de celui-ci, se compose de deux sites, l'un classé en 1997[107], l'autre inscrit depuis 1973[108]. On y trouve, entre autres, le Fourneau du diable déjà cité.
Les armes de Bourdeilles se blasonnent ainsi : « D'or à deux pattes de griffon de gueules onglées d'azur l'une sur l'autre. ». Ce sont les armes des Bourdeilles, premiers barons du Périgord.
↑Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
↑Contrairement à ce qu'indique le SIGES, l'Euche, affluent de rive droite de la Dronne, n'arrose pas Bourdeilles située face à cette confluence avec la Dronne.
↑Deux lieux-dits homophones : Maison Neuve est situé deux kilomètres au nord du bourg.
↑Deux lieux-dits homophones : Maisonneuve est situé deux kilomètres et demi au sud du bourg.
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Ne pas confondre la grotte du Trou de la Chèvre avec d'autres grottes portant ce nom ou un nom similaire, comme la cave à la Chèvre qui fait partie du groupe des grottes de Saulges en Mayenne ; la grotte du même nom au pays de Galles (Goat's Hole Cave), qui a livré le squelette dit « la Dame rouge de Paviland » ; ou la grotte de la Chèvre sur Lourdes, une grotte fossile recoupant une circulation pérenne.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑[Celerier 1998] Guy Celerier, « L'abri sous roche de Pont d'Ambon à Bourdeilles (Dordogne, France). Perpectives synthétiques/The rock shelter of Pont d'Ambon at Bourdeilles (Dordogne). Synthetic perspectives », Paléo, no 10, , p. 233-264 (lire en ligne [sur persee], consulté en ).
↑[Delpech 2020] Françoise Delpech, « Biostratigraphie et datations de la fin des temps glaciaires. Nouvelles visites des faunes de quelques gisements du Grand Sud-ouest de la France », Paléo, vol. 30, no 2, , p. 92-106 (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté en ), paragr. 34, 45.
↑[Paillet, Man-Estier & Bonnet-Jacquement 2013] (en) Patrick Paillet, Elena Man-Estier et Bonnet-Jacquement, « Des œuvres d'art magdaléniennes inédites à Pont d'Ambon (Bourdeilles, Dordogne, France) », Paléo, no 24, , p. 249-255 (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté en ).
↑[Petrognani et al. 2014] Stéphane Petrognani, Éric Robert, Didier Cailhol, Elisa Boche, Claire Lucas et Émilie Lesvignes, « Au cœur des premières manifestations graphiques du Paléolithique supérieur : Nouvelles découvertes dans la grotte des Bernoux (Dordogne) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 111, no 3, , p. 413-432 (lire en ligne [sur persee]).
↑[Jude & Arambourou 1961] P. E. Jude et Robert Arambourou, « Le Périgordien ancien de Bourdeille (Dordogne) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 58, nos 11-12, , p. 773-775 (lire en ligne [sur persee]).
↑Préfecture de la Dordogne, « Arrêté no 2016-0159 du prononçant dénomination commune touristique 6 communes membres CC Dronne Belle », Recueil des actes administratifs de la Dordogne normal no 3, août 2016, p. 272-274.
↑Jean-Pierre Babelon, Christian Rémy, Les châteaux de Bourdeilles, pp. 119-142, dans Congrès archéologique de France. 156e session. Monuments en Périgord. 1999 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1999
↑Carte de la ZNIEFF 720020047, INPN, consulté le 11 février 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
↑Carte de la ZNIEFF 720020051, INPN, consulté le 11 février 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».