Brecé

Brecé
Brecé
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Blason de Brecé
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes du Bocage Mayennais
Maire
Mandat
Paul-Edouard Marquer
2020-2026
Code postal 53120
Code commune 53042
Démographie
Population
municipale
833 hab. (2021 en évolution de +1,34 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 23′ 53″ nord, 0° 47′ 21″ ouest
Altitude Min. 116 m
Max. 211 m
Superficie 35,27 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Gorron
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gorron
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Brecé
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Brecé
Géolocalisation sur la carte : Mayenne
Voir sur la carte topographique de la Mayenne
Brecé
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
Brecé
Liens
Site web www.brece.com

Brecé est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 833 habitants[Note 1].

La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine dans le pays de Passais.

Géographie

[modifier | modifier le code]
Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

La commune est située au nord de la Mayenne. Brecé est à environ 40 kilomètres au nord de Laval et à environ 35 kilomètres à l'est de Fougères.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

La commune est limitrophe de sept communes :

Communes limitrophes de Brecé
Gorron Couesmes-Vaucé Le Pas
Colombiers-du-Plessis Brecé Saint-Mars-sur-Colmont
Saint-Denis-de-Gastines Châtillon-sur-Colmont

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 885 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Fraimbault à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 850,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Brecé est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gorron, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,3 %), terres arables (42,2 %), zones agricoles hétérogènes (8 %), forêts (1,5 %), zones urbanisées (1,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom Brecé dériverait de Bricciacus qui l'on retrouve sous la forme BRICCIACO sur une monnaie du VIe siècle[13] On retrouve aussi le nom "in Bructiago" en 616 [14], ou encore "Brecio" au XIe siècle[15].

Préhistoire

[modifier | modifier le code]

Néolithique

[modifier | modifier le code]

Présence d'une allée couverte au lieu-dit du Petit Vieux-Sou.

La voie romaine de Jublains à Avranches traversait les territoires des actuelles communes de Brécé et de Gorron. En 1977, à proximité de cette voie, au lieu-dit Rangevin 48° 23′ 36″ N, 0° 46′ 31″ O, a été retrouvé un habitat rural gallo-romain constitué de trois bâtiments de pierre d'assez bonne qualité datant du IIIe siècle [16] [17]. Deux stèles gauloises ont également été découvertes sur le chemin à l'entrée de la ferme de la Mottrais[15]. Des fouilles menées en 1988 ont mis en évidences des fossés et bassins vraisemblablement liés à une activité artisanale de poterie à l'époque gallo-romaine. L'église actuelle a probablement été construite sur d'anciennes structures gallo-romaines[15].

Haut Moyen Âge

[modifier | modifier le code]

Au VIe siècle existait probablement un atelier monétaire à cette emplacement[13].

Découverte de sarcophages d'époque mérovingienne à l'angle sud-est de l'église[18].

En 616, saint Bertrand, évêque du Mans, acquiert à Brécé, un domaine sur lequel il fait bâtir des maisons et y place des serfs[19].

Vers 965, le pays est sous dépendance de la Bretagne au moins jusqu'en 972[15].

Vers l'an 1000, les conflits réguliers entre Maine, Normandie et Bretagne, favorisent la construction des châteaux forts de Favières, du Parc et de l'Ecluse[15].

Période du duché de Normandie

[modifier | modifier le code]

Entre 1106 et 1137, Ruellon de Gorron (ou de Gorrham) fait don de l'église et dîmes associées, aux moines du prieuré Saint-Martin de Mayenne, dépendant de l'Abbaye de Marmoutier (Tours)[20][21].

Période de l'Empire Plantagenêt

[modifier | modifier le code]

En 1158, Geoffroi de Brécé accompagne en croisade Geoffroi IV de Mayenne[22]. Y participent également Amelin de l'Ecluse et Lambert de l'Ecluse. Une dalle funéraire commémorant la mémoire de ces chevaliers morts aux croisades est déposée près de l'Eglise[15].

Période de l'intégration au domaine royal

[modifier | modifier le code]

A partir du XIIIe siècle, la famille de l'Écluse occupe un château disposant aussi d'une chapelle, au lieu dit de l'Ecluse[23].

En 1339, Etienne Brune est seigneur de Brécé[24].

Vers 1341 est construit le château du Châtaignier[15].

En 1406, Guillaume de Favières est seigneur du fief de Favières[22].

Temps modernes

[modifier | modifier le code]

En 1758, la seigneurie de Brécé devient la propriété de Jacques-François Le Frère de Maisons, écuyer, juge général civil et criminel des ville et duché de Mayenne, et maire de cette ville[25].

En 1758, Armand-Mathurin, est marquis de Vassé, et seigneur de Favières.

En 1777, Monsieur de Maisons est seigneur de la paroisse de Brécė. La population s'élève alors à environ 1800 habitants de plus de 12 ans. L'activité agricole dépend principalement de la production de seigle, de froment, d'avoine et de sarrasin. La cure procure un revenu de 3000 livres[22].

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]

Le chemin de fer

[modifier | modifier le code]

Le bourg est desservi, de 1901 à 1947, par la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique des chemins de fer départementaux de la Mayenne (CFDM) reliant Landivy à Mayenne. La ligne de Mayenne à Landivy est ouverte sur la section comprise entre Landivy et Mayenne-Saint-Baudelle via Brecé le 22 août 1901. La section entre Mayenne-Saint-Baudelle et Mayenne-Échange n'est ouverte que le 1er avril 1903. La section Landivy - Gorron ferme avant la Seconde Guerre mondiale. La section comprise entre Gorron et Mayenne desservant Brecé ferme en 1947.

En 1902, la gare de Brecé a accueilli 3 906 voyageurs et la halte de La Déteurbe, située sur le territoire de la commune, 2 402 voyageurs[26].

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Brecé Blason
D’azur, à une fasce fuselée d’or, accompagnée de six fleurdelys d’argent, 3 en chef et 3 en pointe.
Détails
L’azur et la fasce proviennent des armes de Favières, seigneur de Brecé. La reprise intégrale du blason de seigneur étant interdite, il suffit d’en emprunter un ou plusieurs éléments.

Les six fleurdelys sont la reprise partielle du blason de la famille Chappedelaine également seigneur de Brecé. La remarque concernant le blason de famille est valable ici aussi. Les ornements sont deux deux gerbes de blé d’or, mises en sautoir par la pointe et liées de sable afin d’honorer l’activité agricole.

Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
décembre 1919[27] ? Guyot    
         
ca. 1970 1971
(décès)
Joseph Pautonnier    
? ? Pierre Ledauphin    
mars 1983 mars 2001 Constant Gesland
(1926-2021)
  Agriculteur retraité, maire honoraire
mars 2001[28] mai 2020 Robert Goussin[29] SE Agriculteur retraité
mai 2020 En cours Paul-Édouard Marquer SE Commerçant

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 833 habitants[Note 3], en évolution de +1,34 % par rapport à 2015 (Mayenne : −0,65 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 1102 1502 4902 1392 2972 2682 2142 1832 247
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2802 2952 1912 0502 0101 9471 9031 9161 868
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8171 7931 7501 5911 5661 5011 4611 4281 361
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 2271 1251 050971865830817834829
2014 2019 2021 - - - - - -
823844833------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]

Activité et manifestations

[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption, inscrite au titre des monuments historiques en 1989[34] ;
  • Chapelle Saint-Jacques et Sainte-Anne de l'Écluse, inscrite au titre des monuments historiques en 2019[35] [36], autrefois intégrée au château de l'Écluse aujourd'hui détruit et a proximité de deux buttes qui sont probablement d'anciennes mottes féodales;
  • La chapelle seigneuriale de Favières, inscrite au titre des monuments historiques en 1991[37] (propriété privée, fermée au public), autrefois intégrée au château de Favières aujourd'hui détruit ;
  • Parc d'Avaugour : ancienne chapelle, autrefois intégrée au château du même nom aujourd'hui détruit ;
  • Chapelle de l'Isle, ainsi que le château du même nom aujourd'hui disparus.

Patrimoine culturel

[modifier | modifier le code]

Jusqu'au début du XXe siècle, dans l'église, on présentait à la statue de l'évêque saint Félix, fêté le 18 mai, de petits enfants malades pour en obtenir la guérison. Chaque dimanche, un chef de famille avait coutume d'offrir un pain bénit, alors qu'une épouse du village versait une "quenouillée » (à l'origine, une grosse bobine de fil enroulée sur un bâton), correspondant à 5 francs de l'époque, pour l'entretien du culte paroissial[40].

Patrimoine naturel

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Brecé Blason
D’azur, à une fasce fuselée d’or, accompagnée de six fleurdelys d’argent, 3 en chef et 3 en pointe.
Détails
L’azur et la fasce proviennent des armes de Favières, seigneur de Brecé. La reprise intégrale du blason de seigneur étant interdite, il suffit d’en emprunter un ou plusieurs éléments.

Les six fleurdelys sont la reprise partielle du blason de la famille Chappedelaine également seigneur de Brecé. La remarque concernant le blason de famille est valable ici aussi. Les ornements sont deux deux gerbes de blé d’or, mises en sautoir par la pointe et liées de sable afin d’honorer l’activité agricole.

Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Gérard Aubin, GALLIA 0016-4119_1981_num_39_2_1840, t. 39 fascicule 2, , 30 p. (lire en ligne), « Circonscription des Pays de la Loire », p. 333-362. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • F.Lambert, Bulletin de la Société d'archéologie, sciences, arts et belles lettres de la Mayenne, , 151 p., « Recherches de voies romaines autour de Jublains-Voie de Jublains à Avranches », p. 117-151. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Revue historique et archéologique du Maine, t. IV, , p. 352,370
  • Revue historique et archéologique du Maine, t. XII, , p. 124-125
  • Sébastien Legros, Prieurés bénédictins, aristocratie et seigneuries, , 812 p., p. 425,428,LXXVII
  • Jean Pierre Seguin, Saints guérisseurs, saints imaginaires, dévotions populaires, , p. 230
  • Association normande-Annuaire des cinq départements de Normandie, , p. 249
  • Alain Valais, Les églises rurales du premier Moyen Âge (Ve/XIe siècle) dans l’ancien diocèse du Mans et à ses confins, Paris, Université de Nanterre-Paris X, , 313 p. (présentation en ligne)
  • Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne, t. 3, , 375 p., p. 123,125,130
  • Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne-Serie 2, t. 28, , 418 p., p. 134
  • Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne-Serie 2, t. 29, , 516 p., p. 501

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Population municipale 2021.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 1, , p. 524
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Brecé et Saint-Fraimbault », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Fraimbault », sur la commune de Saint-Fraimbault - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Fraimbault », sur la commune de Saint-Fraimbault - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Brecé ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gorron », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b Revue historique et archéologique du Maine T12 1882, p. 124-125.
  14. Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne Serie2 T29 1913, p. 134.
  15. a b c d e f et g Brécé A TRAVERS LES ÂGES 2024.
  16. GALLIA-Circonscription des Pays de la Loire 1981, p. 333.
  17. Bulletin de la Société d'archéologie de la Mayenne 1865, p. 124.
  18. Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne T3 1882, p. 123,125,130.
  19. Revue historique et archéologique du Maine T12 1882, p. 125.
  20. Sébastien Legros 2007, p. 425,428,LXXVII.
  21. André René Le Paige 1777, p. 387.
  22. a b et c André René Le Paige 1777, p. 129.
  23. Revue historique et archéologique du Maine T4 1878, p. 352,370.
  24. Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne Serie2 T28 1912, p. 134.
  25. Association normande-Annuaire des cinq départements de Normandie 1900, p. 249.
  26. Un demi-siècle de petits trains en Mayenne, Pierre-Alain Menant, Éditions du Petit Pavé.
  27. Les élections des maires : arrondissement de Rennes, L'Ouest-Éclair du 11 décembre 1919, no 7269 (lire en ligne).
  28. « Le maire Robert Goussin se représente », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  29. Réélection 2014 : « Robert Goussin a été réélu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Église Notre-Dame-de-l'Assomption », notice no PA00109629, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  35. Alain Valais 2021.
  36. « Chapelle Saint-Jacques et Sainte-Anne de l'Ecluse », notice no PA53000040, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  37. « Chapelle seigneuriale de Favière », notice no PA00109648, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  38. « Sépulture mégalithique du Petit-Vieux-Sou », notice no PA00109475, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. A. Ledru, Répertoire des monuments et objets anciens, préhistoriques, gallo-romains, mérovingiens et carolingiens, existant ou trouvés dans les départements de la Sarthe et de la Mayenne, Le Mans, 1911, p. 45.
  40. Jean Pierre Seguin 1927, p. 230.