Bremblens | ||||
Armoiries |
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Administration | ||||
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Pays | Suisse | |||
Canton | Vaud | |||
District | Morges | |||
Communes limitrophes | Aclens, Bussigny, Échandens, Lonay, Échichens, Romanel-sur-Morges | |||
Syndic | Yves Cornu | |||
NPA | 1121 | |||
No OFS | 5622 | |||
Démographie | ||||
Population permanente |
606 hab. (31 décembre 2022) | |||
Densité | 209 hab./km2 | |||
Langue | Français | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 46° 32′ 46″ nord, 6° 30′ 58″ est | |||
Altitude | 475 m |
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Superficie | 2,9 km2 | |||
Localisation | ||||
Géolocalisation sur la carte : Suisse
Géolocalisation sur la carte : Suisse
Géolocalisation sur la carte : canton de Vaud
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Liens | ||||
Site web | www.bremblens.ch | |||
Sources | ||||
Référence population suisse[1] | ||||
Référence superficie suisse[2] | ||||
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Bremblens [bʁɑ̃blɑ̃] est une commune suisse du canton de Vaud, située dans le district de Morges.
Les habitants de la commune sont surnommés les Mangeurs-de-Tartes (lè Tâtri en patois vaudois)[3].
La commune compte 107 habitants en 1764, 187 en 1850, 158 en 1870, 188 en 1900, 183 en 1950, 170 en 1970 et 360 en 2000[4].
Bremblens est traversée par la Venoge qui marque la frontière avec Bussigny.
Temple. Cette ancienne église paroissiale citée déjà en 1228, devient filiale de l’église Saint-Germain à Bussigny. Devenue temple protestant à la Réforme, en 1536, l’église aux murs très épais, couverte d’une voûte en berceau, a été agrandie vers l’ouest en 1809 (date sur un œil-de-bœuf sur la face sud). On procède alors non seulement à la reconstruction de la façade occidentale, mais on élève aussi un clocher-porche en partie maçonné et en partie en charpente, dont la structure s’appuie à l’intérieur sur deux poteaux en bois[5]. Ce clocher de plan carré est lui-même sommé d’un clocheton polygonal, dans lequel pend une cloche fondue en 1873 par Gustave Treboux, de Vevey. En 1926-1927, agrandissement à l’est, pour la création d’un local destiné à loger la pompe à incendie. Table de communion et bancs de 1927. Restaurations en 1966-1971 (extérieur) ; 1975-1976 (intérieur) en coordination de la menuiserie Jean Christophe Martin ; 1988-1990 (clocher)[6].