Couvrant une superficie de 2 044 hectares, le territoire communal est constitué de paysages variés, faisant la transition entre le Plateau Picard et la vallée du Thérain. Au nord, il empiète sur le vaste plateau calcaire, dont les terrains sont propices aux grandes cultures en openfield. Sur le plateau, l'altitude s'élève doucement pour atteindre une centaine de mètres aux limites nord de la commune (un projet d'implantation d'un parc éolien est envisagé sur ce secteur).
La butte du Quesnoy à l'ouest (106 mètres), le Mont César (138 mètres) au sud et le massif forestier de Hez-Froidmont à l'est et au sud-est (le Mont Volant culmine à 151 mètres), encadrent le bourg et une zone de marais, caractéristique de la vallée du Thérain.
Le bourg lui-même est bâti sur une surface presque plane, l'altitude variant entre 51 et 66 mètres. Les espaces publics du centre bourg ont été rénovés en 2018/2019[1]
La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Trye, le canal des Cressonières[2], le canal du Marais Dhuy[3], le cours d'eau 01 de la commune de Bresles[4], le cours d'eau 02 de la commune de Bresles[5] et le cours d'eau 04 de la commune de Bresles[6],[7],[Carte 1].
Le sud de la commune est traversé par la Trye, ruisseau alimenté par plusieurs drains traversant les marais, et qui finit sa course en se jetant dans le Thérain en amont de Hermes.
Les zones marécageuses, dont certaines sont aujourd'hui asséchées ou en étangs, représentent une part importante du territoire communal : le marais des Cent Mines (anciennes gravières), le marais de Marissel, le marais d'Hynu, le Grand et le Petit Marais. La nature du terrain a permis l'exploitation de cressonnières, bassins d'eau courante où l'on cultive le cresson de fontaine. Bresles revendique la qualification de capitale oisienne du cresson, où, autrefois, une dizaine d'exploitations vivaient de cette culture qui est toujours, en 2020, exercée par trois cressiculteurs[8].
Les marais de Bresles.
Réseau hydrographique de Bresles.
Trois plans d'eau complètent le réseau hydrographique : le plan d'eau 1 du le marais des Cent Mines (1,4 ha), le plan d'eau 3 du le marais des Cent Mines, d'une superficie totale de 0,9 ha (0,5 ha sur la commune) et le plan d'eau du Mont de Sable (12,1 ha)[Carte 1],[9].
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 219 km2 de superficie, délimité par le bassin versant du Thérain. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit est, en 2024, en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat intercommunal de la Vallée du Thérain (SIVT)[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 632 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Tillé à 12 km à vol d'oiseau[13], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 655,5 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].
La commune compte deux zones d'intérêt écologique faunistique et floristique (Z.N.I.E.F.F.) : le marais et le bois du Quesnoy.
Le Marais de Bresles est un marais tourbeux alcalin en partie asséché mais abritant encore des habitats remarquables (fossés à potamot coloré, bas-marais alcalins, prairies paratourbeuses) et des espèces rares et menacées, notamment le Potamot coloré (Potamogeton coloratus), le mouron délicat (Lysimachia tenella), la laîche à fruits écailleux (Carex lepidocarpa) pour la flore, et le miroir (Heteropterus morpheus), le criquet palustre (Chortippus montanus) ou encore Phalène sagittée (Gagitodes sagittata) pour la faune. Le site est aujourd'hui en partie géré par le Conservatoire d'Espaces Naturels des Hauts de France[17].
Sentier pédagogique de la Trye - marais de Bresles
Au , Bresles est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18].
Elle appartient à l'unité urbaine de Bresles[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[19],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (68,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (59,6 %), forêts (20,7 %), zones urbanisées (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,8 %), prairies (2,5 %), zones humides intérieures (1,2 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[22]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bresles en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,2 %) inférieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 60,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (60 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].
En 2021, la municipalité souhaite que la commune atteigne à terme 5 000 habitants et favorise la construction d'une trentaine de logements rue du Petit-Chantilly. puis quattorze, rue Grault et une trentaine, rue de la Trye.
Par ailleurs, elle a lancé des appels à projets, dont la réfection du colombier situé à proximité du pôle santé ainsi que la restauration de l'ancienne trésorerie, et prévoit l'alénagement de pistes cyclables[23].
Le principal axe desservant la commune est la route nationale 31, aujourd'hui déviée en voie rapide par le nord, qui relie Rouen à Reims (91 km de Rouen). La ville est traversée également par l'ancien tracé de cette route. Elle est desservie par la RD 34 au nord (provenant de Fouquerolles) et par la RD 125 vers le sud (en direction d'Hermes et de Bailleul-sur-Thérain).
La commune est desservie, en 2023, par la ligne 521, des lignes scolaires et par le service de transport à la demande Corolis à la demande - Zone Est du réseau Corolis. Elle est également desservie par les lignes 606, 623 et 6111 du réseau interurbain de l'Oise[24].
Le nom de la commune est attesté sous les formes : « in villa episcopi quoe dicitur Braella » (1015) ; Bragella (XIe) ; major de Braelloe (1136) ; de Braelle (1136) ; Braele (1136) ; Brella (1140) ; Radulfi de Braiella (1157) ; actum Bragelle (1168) ; Bragelle (1166) ; actum Braielle (1167) ; Braiella (1167) ; Brayella (1170) ; « inter marescum ex parte Braele… » (XIIe) ; Garneri de Bragella (1183) ; Braella (1201) ; apud Bragellum (1204) ; Henrici de Braicello (1195) ; apud Braelam (1217) ; versus portam Bragelle (1238) ; apud Bragellam (1231) ; apud Braielliam (1252) ; apud Braele (XIIIe) ; Breele (1337) ; Breelle (1348) ; la porte de Braelle (1348) ; Braille (vers 1360) ; Brayelle (vers 1380) ; Braelle (1454) ; « la porte que on dit Braelle » (XVe) ; Braesle (XVIe) ; Bresle (1667) ; Bresles (1840)[25].
Bresle est issu de brixia mot vraisemblablement d'origine gauloise et de la même famille que bracu ou braco qui a donné brixia, bray et bresse, cette dernière forme désignant au XIe siècle le marécage. Ce toponyme provient de l'agglutination du gaulois braca et du suffixe ella qui signifie : « (l')endroit humide ». Autre forme bricia, braye, brai en vieux français qui veut dire « boue ».
À la suite du blocus continental sous le Premier Empire et à la mise au point de la méthode d'extraction du sucre à partir de la betterave par Benjamin Delessert (inventée par Jean-Baptiste Quéruel), une sucrerie est fondée à Bresles en 1836 au lieu-dit Le Calvaire. Deux ans plus tard, le ,la Société anonyme de la fabrique de sucre de Bresles est créée, dont le premier directeur est Stanislas Delacour. Cette société devient en 1854,Hette et Cie puis Mercier et Cie en 1867, et utilise la pulpe de betteraves rapée dans trois usines satellites situées à Fouquerolles, Bols-Saint-Martin et Froissy[27]
En 1887 est créée une raffinerie permettant de produire du sucre blanc consommable. La sucrerie traitait 9 000 tonnes de betteraves par jour en période betteravière, d'octobre à décembre, provenant des trois râperies initiales auxquelles s'ajoute, au début du XXe siècle, celle d'Abbeville-Saint-Lucien. L'entreprise mise en liquidation judiciaire en 1905, est reprise en 1913 sous le nom de SA des Sucreries et raffineries de Bresles[27]
La sucrerie est complétée en 1933 par une distillerie d'alcool. L'entreprise dépendait de la Générale Sucrière, puis au groupe Saint Louis Sucre, et employait 36 personnes en 1851, 263 ouvriers en septembre 1939, 308 ouvriers en octobre 1940 et plus de 300 dalariés en 1985 : elle a été pendant de très longues années le premier employeur de la commune, et sa production atteignait 300 tonnes/jour.
En 1971 s'est installée un atelier de déshydratation des pulpes de betteraves. Le raffinage a cessé en 1973 et la raffinerie est devenue un atelier de conditionnement. En janvier 1997, la sucrerie a fermé et son activité s'est terminée en mai. Les bâtiments ont été démolis en juin 1998[28],[29].
La commune a été desservie par la gare de Bresle, sur la ligne de Rochy-Condé à Soissons, dont l'activité voyageurs a cessé en 1939 sur ce tronçon, mais où le trafic fret se poursuit.
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[31], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté d'agglomération du Beauvaisis et de la communauté de communes rurales du Beauvaisis, de manière à créer un nouvel EPCI rassemblant 44 communes pour 93 341 habitants[32]. Malgré les réticences du président de la CCRB[33], le schéma est entériné[34],[35].
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[45].
En 2021, la commune comptait 3 993 habitants[Note 3], en évolution de −4,11 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 948 hommes pour 2 103 femmes, soit un taux de 51,91 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
1,8
5,8
75-89 ans
9,7
16,7
60-74 ans
17,6
21,3
45-59 ans
19,6
17,7
30-44 ans
17,4
18,5
15-29 ans
17,4
19,4
0-14 ans
16,6
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[48]
En 2021, les écoles élémentaires de la rue Jean-de-la-Fontaine et de la Jean-Racine, qui scolarisent 239 élèves, sont réunies, formant un groupe scolaire unifiée et rénové dénommé groupe scolaire Simone-Veil. La rue qui les séparait est désormais fermée à la circulation automobile et un préau y a été construit[49],[50].
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La la médiathèque Madeleine-Odent, comprenant plusieurs salles modulables, est inaugurée en 2021. Elle est édifiée dans le groupe scolaire Simone Veil et comprend un espace de 400 m2 avec 350 m2 consacrés à l'accueil du public[51],[50].
La municipalité a décidé la création d'une maison de santé, dénommée Albertine Plissonneau, d'une surface de 400 m2 et de 8 cellules médicales et paramédicales situé au rez-de-chaussée d'une nouvelle résidence de 16 logements construite par la SA HLM du Beauvaisis et dont la première pierre a été posée au printemps 2019[52].
Elle dispose d'une maison de retraite, l'EPHADLa Mare brulée.
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Une zone d'activité a été aménagée sur le site de l'ancienne sucrerie, fermée en 1977[56]. Le transporteur suisse Kuehne+Nagel a abandonné en 2015 un vaste entrepôt logistique de 35 000 m2, également le long de la RN 31 et ou travaillaient 65 salariés[57]. Le site est repris en 2020 par Noz, une entreprise de déstockage qui y stockera ses marchandises et en assurera la distribution dans ses magasins[58].
Un marché forain a lieu dans la commune le jeudi matin[59]. La création d'une halle de métal et verre, place du Linciau, pour abriter le marché est intervenue à l'automne 2017[55], et accueille, une fois par mois, le marché des saveurs[60],[61].
Château de Bresles[62] (inscrit monument historique par arrêté du 25 juin 1986[63]) : le premier château fort datant de 1212 a été détruit. Le château actuel date du début du XVIIIe siècle et fut la résidence d'été des évêques de Beauvais. Il abrite désormais l'hôtel de ville[64].
La chapelle dédiée à saint Pierre et saint Paul a été fondée en 1312 par Simon de Clermont-Nesles, évêque de Beauvais.
Il faut remarquer la tour-porche de l'hôtel de ville, qui fut celle du palais épiscopal, restaurée en 2016, dont la base la base défensive date du XVle siècle, l'étage avait une fonction de plaisance et date du XVIIe siècle et servit de salle de classe au XXe siècle et la toiture en pavillon est d'inspiration médiévale et date du XlXe siècle[55].
Église Saint-Gervais-et-Saint-Prothais (classée monument historique par arrêté du 13 octobre 1988[65]) : sa nef du XIe siècle compte parmi les plus anciennes du Beauvaisis, et est bâtie avec de petits moellons cubiques récupérés d'édifices gallo-romains détruits. Sur le pignon de la façade, se profile un crucifix en bas-relief. Toutes les baies et portes d'origine ont été bouchées, et des fenêtres néo-gothiques ont été percées vers 1840. L'intérieur se caractérise aujourd'hui par un décor néo-gothique vétuste.
Les parties orientales du milieu du XVIe siècle contrastent avantageusement avec cette nef. Elles sont d'un style gothique flamboyant tardif, qui intègre déjà des motifs de la Renaissance sur les culs-de-lampe et les clés de voûte. Mais le bel effet de l'ensemble vient surtout des arcs-doubleaux soigneusement moulurés et des voûtes d'ogives complexes à liernes et tiercerons. Particulièrement remarquable est le plan, qui comporte un vaisseau central de trois travées droites terminé par une abside à pans coupés, et deux collatéraux. Doubles de part et d'autre de la première travée, ils deviennent ensuite simples par la dilatation du vaisseau central.
Ce plan est en partie imputable au positionnement de l'ancien clocherroman au-dessus de la première travée du vaisseau central. Son effondrement sur la nef, le jour de Pâques de l'année 1581, fait trente-sept morts, dont le curé. Le clocher est reconstruit au même emplacement, mais remplacé en 1853 par un clocher-porchenéo-roman au nord[55].
L'église Saint-Gervais-et-Saint-Prothais est également intéressante pour son mobilier très complet[66].
M. Daillet, « Bresles pendant la Révolution », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, t. XXI, , p. 433-492 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica].
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Juliette Duclos, « Après un an de travaux, le centre-ville de Bresles affiche un nouveau visage : Commencées en août 2018, les opérations d'aménagement et de réfection des places du centre-ville sont bientôt terminées », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Laurent Lalo, « La commune de Bresles choisie comme « petite ville de demain » : La ville (4 200 habitants) fait partie des 13 sélectionnées dans l'Oise pour devenir une « petite ville de demain », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 91.
↑ a et b« Le mot du maire : Bresles témoigne d'une histoire riche : « La ville de Bresles a toujours su évoluer et s'adapter au gré de son histoire », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3614, , p. 18.
↑ a et b« La sucrerie, ancien fleuron industriel : Vestige d'un passé industriel aujourd'hui évanoui, la sucrerie fait pleinement partie du patrimoine du village. Retour sur l'histoire d'un lieu qui était la fierté de la commune », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3614, , p. 19.
↑« La belle histoire de la sucrerie : Construite en 1836, la sucrerie de Bresles a cessé sa production et fermé ses portes en 1997 et ses bâtiments ont été démolis en 1998 », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3540, , p. 21.
↑Patrick Caffin, « Bresles : le film sur la sucrerie ravive les souvenirs : Émotion et curiosité pour les Breslois lors de la projection d'un film sur la sucrerie qui a fermé ses portes en 1997 », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Communauté de communes rurales du Beauvaisis : vers un mariage forcé ? : Le préfet et la commission départementale ont choisi de rattacher la CCRB à la Communauté d'Agglomération du Beauvaisis », L'Observateur de Beauvais, no 926, , p. 14« A priori, le préfet et la commission départementale ont choisi de la rattacher à la Communauté d'Agglomération du Beauvaisis. Ce qui n'est pas forcément du goût de Jean-François Dufour, son président (PS), furieux de perdre son indépendance pour si peu. Peu pressé, semble-til, d'effectuer ce mariage forcé, il a cependant pris quelques contacts, notamment avec la communauté voisine du Clermontois, à la surprise de quelques élus de la CCRB qui pensent que le bassin de vie breslois se tourne plus naturellement vers le Beauvaisis. «J'ai eu la surprise d'apprendre que le Clermontois réfléchissait à un rapprochement avec… la Communauté d'Agglomération du Beauvaisis» a-t-il déclaré ».
↑Patrick Caffin, « Beauvaisis : une fusion qui manque de dynamisme mais qui se prépare », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne)« C'est dommage que le préfet n'ait pas été plus dynamique pour mettre la pression afin que davantage de communes fusionnent. Il y en a 8 autour de Crèvecœur-le-Grand qui sont candidates pour nous rejoindre. Nous estimons que pour exister et résister en termes de projets dans la nouvelle grande région, il faut atteindre au minimum 100 000 habitants. Avec ces communes, nous les aurions. Avec la CCRB, nous y sommes presque (NDLR : 93 000 habitants). » Mais ce ne sera que partie remise puisqu'après 2017, les communes pourront faire acte de candidature pour rallier l'entité qu'elles souhaiteront ».
↑Almanach de Beauvais et du département de l'Oise : administratif, scientifique, littéraire, historique, Beauvais, Librairie Victor Pineau, , 136 p. (lire en ligne), p. 45.
↑Mathias Schweisguth, « Le maire Jacques Baize est décédé », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3280, , p. 10 (lire en ligne, consulté le ).
↑« Bresles:le maire Jacques Baize est décédé », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Jacques Baize, maire de la commune de Bresles depuis 2008, est décédé cette nuit (...) Engagé dans la vie municipale depuis 25 ans en tant que premier adjoint puis maire, Jacques Baize avait 71 ans ».
↑« Dominique cordier, premier magistrat », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3283, , p. 25.
↑« Bresles : l'équipe Cordier planche sur le futur », Le Courrier picard, édition Eégion de Beauvais, (lire en ligne, consulté le )« Aux prises avec trois autres listes, Dominique Cordier, 1er adjoint sortant, et sa liste « Ensemble pour Bresles » ont été élus dès le premier tour en totalisant 50,46 % des suffrages exprimés (...). Âgé de 60 ans, le médecin de ville et de campagne, médecin commandant des pompiers s'est installé en 1983 à Bresles. Il a été élu pour la première fois au conseil municipal en 1989 et est devenu maire adjoint chargé des finances en 1995 ».
↑Joffrey Meunier, « Bresles élections : la liste du maire sortant Dominique Cordier l'emporte », L'Observateur de Beauvais, (lire en ligne, consulté le )« Dominique Cordier l'emporte avec 57,30% des suffrages exprimés. ».
↑« Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise, .
↑« Travaux de l'école de Bresles, acte deux », Le Courrier picard, édition Environs de Beauvais, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bLaurent Lalo, « Bresles: la nouvelle médiathèque ouvre ses portes : L'équipement ultramoderne, d'une superficie de près de 400 m2, sera accessible au public ce mardi 27 avril », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Patrick Caffin, « Bresles : une médiathèque nouvelle génération à 1,7 M€ : La commune veut se doter d'un lieu de vie et d'échanges… avec des livres autour », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Le maire confirme les projets de centre ville », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3417, , p. 14« Dominique Cordier, maire de Bresles, a tenu à confirmer les projets qui vont être menés pour la revitalisation du cœur de ville, certains d'entre eux ayant été vivement décriés ! Faire de Bresles une ville d'équilibre entre Beauvais et Clermont ».
↑ abc et d« Architecture : les 3 richesses de la ville », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3614, , p. 18.
↑N. R., « Le sucre paie toujours », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le )« Depuis 1997, les entreprises ont poussé comme des champignons, Midi-Services et Picot-multidécoupes en sont les fleurons. « L'activité appelle l'activité. Nous sommes bien situés. Nous allons réinstaller 290 emplois, 200 sont déjà en place (auxquels viendront s'ajouter les 416 annoncés par Dysor) ».
↑Melanie Carnot, « Noz fait revivre l'ancienne plateforme de Kuehne Nagel, à Bresles : Cela faisait quatre ans et demi que l'immense entrepôt, situé sur le nord de la RN 31, était vide, après le départ du transporteur », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑P. C., « Bresles : la halle se prépare à accueillir son premier marché des saveurs : Le quatrième vendredi de chaque mois, un marché alimentaire avec des produits locaux sera organisé. Premier rendez-vous le 29 septembre », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
↑« À Bresles, le marché des saveurs a gagné sa place », Le Courrier picard, édition Région de Beauvais, (lire en ligne, consulté le )« Un an plus tard, le constat est positif avec une vingtaine d'exposants présents chaque mois et des chalands toujours nombreux, fidèles ou nouveaux ».
↑Patrick Caffin, « Bresles : le centre-bourg prépare sa révolution », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne)« Bresles se distingue par sa résidence d'été des évêques de l'Oise, devenue depuis hôtel de ville. C'est avec l'idée de mettre en valeur ce patrimoine historique incontournable que la municipalité a décidé de révolutionner son centre-bourg ».
↑Eugène Joseph Woillez, Archéologie des monuments religieux de l'ancien Beauvoisis pendant la métamorphose romane, Paris, Derache, , 492 p. (lire en ligne), B10-B12 ainsi que 1 planche.
↑Patrick Caffin, « Le monument aux morts de Bresles sera bien déplacé dans la cour du château : Après de longues négociations, l'architecte des Bâtiments de France a finalement donné son accord au projet de la mairie », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).