Bégole

Bégole
Bégole
Paysage dans les environs du village de Bégole
Blason de Bégole
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes des Coteaux du Val d'Arros
Maire
Mandat
Gérard Daries
2020-2026
Code postal 65190
Code commune 65079
Démographie
Gentilé Bégolais
Population
municipale
193 hab. (2021 en évolution de −11,06 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 09′ 27″ nord, 0° 19′ 46″ est
Altitude Min. 337 m
Max. 583 m
Superficie 10,24 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Lannemezan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Arros et des Baïses
Législatives Première circonscription
Localisation
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Bégole
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Bégole
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Bégole

Bégole est une commune française située dans l'est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne.

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Baïse, le canal du Bouès, le Lène, la Bégole et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Bégole est une commune rurale qui compte 193 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 620 habitants en 1861. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan. Ses habitants sont appelés les Bégolais ou Bégolaises.

Géographie

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Localisation

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Carte

La commune de Bégole se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 22 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à 7 km de Tournay[2], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Arros et des Baïses dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lannemezan[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Caharet (1,6 km), Houeydets (2,0 km), Péré (2,7 km), Lutilhous (3,0 km), Castelbajac (3,6 km), Burg (3,6 km), Lagrange (3,7 km), Castéra-Lanusse (3,8 km).

Sur le plan historique et culturel, Bégole fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[4].

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes
Communes limitrophes de Bégole[5]
Castéra-Lanusse Burg Castelbajac
Lanespède Bégole Houeydets
Péré Caharet Lutilhous

Hydrographie

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Le petit lac.

La rivière de la Baïse traverse la commune du sud au nord et forme une partie de la limite est avec les communes de Castelbajac, Houeydets.
Le canal du Bouès traverse la commune du sud au nord en son centre.
La rivière de la Lène traverse la commune du sud au nord et forme une partie de la limite ouest avec la commune de Péré.
Le ruisseau de Bégole prend sa source sur la commune et forme la limite nord-ouest avec la commune de Burg.
Le ruisseau de Lénet prend sa source sur la commune et forme la limite nord-ouest avec les communes de Lanespède et Castéra-Lanusse.

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[7].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

  • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,6 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,6 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 036 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Campistrous », sur la commune de Campistrous, mise en service en 1989[11] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 1 103,2 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 29 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[15], à 12,6 °C pour 1981-2010[16], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[17].

Milieux naturels et biodiversité

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[18] : les « vallons de la Bégole, de la Baïse amont, et de leurs affluents » (57 ha), couvrant 3 communes du département[19] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[18] : les « coteaux de Capvern à Betplan » (10 246 ha), couvrant 46 communes dont huit dans le Gers et 38 dans les Hautes-Pyrénées[20].

Au , Bégole est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (51,9 %), forêts (43,9 %), prairies (4,2 %)[21].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Le lavoir en 2019.

En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 110[I 5].
Parmi ces logements, 74,5 % sont des résidences principales, 17,3 % des résidences secondaires et 8,2 % des logements vacants.

Voies de communication et transports

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Cette commune est desservie par les routes départementales D 11 et D 41.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Bégole est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Baïse, le Lène. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[24]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[25],[22].

Bégole est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[26]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bégole.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 113 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 113 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

Risque technologique

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Bégole est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[31].

Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Bégole à l'ouest de Lannemezan

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[32] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

  • Petrus de Begola, latin et gascon (1283, procès Bigorre) ;
  • en P. de Begole, (ibid.) ;
  • de Begola, latin (1300, enquête Bigorre ; 1313, Debita regi Navarre) ;
  • Beguole, (1429, censier de Bigorre) ;
  • Bégole, (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).

Nom occitan : Begòla.

Monographie

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Cadastre napoléonien de Bégole

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Le plan cadastral napoléonien de Bégole est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[34].

Politique et administration

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La mairie en 2019.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 mars 2008 Éric Barbazan    
mars 2008 mars 2020 Sylvie Mathelin    
mars 2020 en cours Gérard Daries    

Rattachements administratifs et électoraux

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Historique administratif

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Pays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de Tarbes, baronnie de Barbazan-Dessus, canton de Tarbes puis de Bernac-Debat (1790), Tournay (depuis 1801)[35].

Intercommunalité

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Bégole appartient à la communauté de communes des Coteaux du Val d'Arros créée en janvier 2017 et qui réunit 54 communes.

Services publics

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].

En 2021, la commune comptait 193 habitants[Note 8], en évolution de −11,06 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
384320400420590590555546570
1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
591620613588615610614602605
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
504436365346356334289244207
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
187172149170176171170214203
2021 - - - - - - - -
193--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[41].

En 2018, la commune compte 80 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 198 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 500 [I 6] (20 420  dans le département[I 7]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 8] 5,5 % 11,2 % 5,1 %
Département[I 9] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 116 personnes, parmi lesquelles on compte 75,4 % d'actifs (70,3 % ayant un emploi et 5,1 % de chômeurs) et 24,6 % d'inactifs[Note 10],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lannemezan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 11]. Elle compte 21 emplois en 2018, contre 16 en 2013 et 21 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 82, soit un indicateur de concentration d'emploi de 25,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53 %[I 12].

Sur ces 82 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 13 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 89,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Culture locale et patrimoine

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L'église Saint-Martin en 2019.
L'église.
Le cimetière.

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason Blasonnement :
D'azur aux trois étoiles de six rais d'argent.
Le monument aux morts municipal (commun avec Caharet).

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Bégole ».
  2. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lannemezan », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. Insee : Rapport statistique communal pour la ville de Bégole
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Bégole » (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Bégole » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Bégole » (consulté le ).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Stephan Georg, « Distance entre Bégole et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Bégole et Tournay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Bégole », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le ).
  11. « Station Météo-France Campistrous - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Bégole et Campistrous », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France Campistrous - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Orthodromie entre Bégole et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  16. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
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  18. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Bégole », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  20. « ZNIEFF les « coteaux de Capvern à Betplan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Bégole », sur Géorisques (consulté le ).
  23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
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