Titre original |
男はつらいよ 寅次郎恋歌 Otoko wa tsurai yo: Torajirō koiuta |
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Réalisation | Yōji Yamada |
Scénario |
Yōji Yamada Yoshitaka Asama Chieko Baishō |
Musique | Naozumi Yamamoto |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production | Shōchiku |
Pays de production | Japon |
Genre | comédie dramatique |
Durée | 114 minutes |
Sortie | 1971 |
Série C'est dur d'être un homme
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
C'est dur d'être un homme : Une vie simple (男はつらいよ 寅次郎恋歌, Otoko wa tsurai yo: Torajirō koiuta ) est un film japonais réalisé par Yōji Yamada et sorti en 1971. C'est le 8e film de la série C'est dur d'être un homme.
Hiroshi Suwa reçoit un télégramme de son père annonçant que sa mère est au plus mal. Hiroshi et Sakura se rendent précipitamment à Takahashi, mais arrivent trop tard. Le jour des funérailles, Sakura est embarrassée de voir Tora-san surgir pour présenter ses condoléances puis enchaîner les maladresses. De retour à Shibamata, Sakura téléphone à son beau-père, resté vivre seul dans sa maison de famille pour prendre de ses nouvelles. Elle est surprise d'entendre Tora-san lui répondre. Ce dernier a décidé de tenir compagnie au veuf et étonnamment, l'austère professeur d'université et le fantasque vendeur ambulant s'entendent plutôt bien.
Touché par un discours du professeur Suwa sur le bonheur simple d'un repas de famille, Tora-san est pris de nostalgie et retourne auprès de sa famille à Shibamata. Là, il fait la connaissance de Takako, une belle veuve qui vient d'ouvrir une cafétéria près du temple Shibamata Taishakuten et de son fils, un garçon timide et mélancolique. Il décide de les aider.
Le film est classé 8e meilleur film japonais de l'année 1971 par la revue Kinema Junpō[4],[5].