Il est exprimé préférentiellement à la surface des lymphocyte T auxiliaires de type 2 (Th2)[5], essentiellement au niveau de la peau[6]. Ses ligands sont le CCL17 et le CCL22[7].
Il est exprimé à la surface des cellules lymphocytaires situés dans les infiltrats de plusieurs cancers, dont le glioblastomes[7], le cancer du sein[8]. Il semble être un indicateur de mauvais pronostic sur ce dernier[9]. Il est exprimé également dans les cellules du cancer de l'estomac, constituant un marqueur pronostic[10].
↑(en) Youn H Kim, Martine Bagot, Lauren Pinter-Brown et Alain H Rook, « Mogamulizumab versus vorinostat in previously treated cutaneous T-cell lymphoma (MAVORIC): an international, open-label, randomised, controlled phase 3 trial », The Lancet Oncology, vol. 19, no 9, , p. 1192–1204 (DOI10.1016/S1470-2045(18)30379-6, lire en ligne, consulté le )