Par décret du , le nombre de cantons du département est divisé par deux, avec mise en application aux élections départementales de mars 2015. Le canton de Jarville-la-Malgrange est conservé et s'agrandit. Il passe de 4 à 12 communes[2].
À l'issue du 1er tour des élections départementales de 2015, trois binômes sont en ballottage : Luc Binsinger et Sabine Lemaire-Assfeld (Union de la Droite, 37,02 %), Jean-Claude Pissenem et Jocelyne Resclause (PS, 34,09 %) et Julien Delbarre et Huguette Vançon (FN, 28,89 %). Le taux de participation est de 49,81 % (13 122 votants sur 26 344 inscrits)[5] contre 48,16 % au niveau départemental[6] et 50,17 % au niveau national[7].
Au second tour, Luc Binsinger et Sabine Lemaire-Assfeld (Union de la Droite) sont élus avec 40,82 % des suffrages exprimés et un taux de participation de 50,57 % (5 271 voix pour 13 322 votants et 26 346 inscrits)[8].
Le premier tour des élections départementales de 2021 est marqué par un très faible taux de participation (33,26 % au niveau national)[9]. Dans le canton de Jarville-la-Malgrange, ce taux de participation est de 31,83 % (8 180 votants sur 25 700 inscrits)[10] contre 29,74 % au niveau départemental[11]. À l'issue de ce premier tour, deux binômes sont en ballottage : Luc Binsinger et Sabine Lemaire-Assfeld (Union au centre et à droite, 44,7 %) et Philippe Kowalski et Stéphanie Miroult (Union à gauche avec des écologistes, 29,88 %)[10].
Le second tour des élections est marqué une nouvelle fois par une abstention massive équivalente au premier tour. Les taux de participation sont de 34,36 % au niveau national[12], 30,76 % dans le département[11] et 32,57 % dans le canton de Jarville-la-Malgrange[10]. Luc Binsinger et Sabine Lemaire-Assfeld (Union au centre et à droite) sont élus avec 61,39 % des suffrages exprimés (4 785 voix pour 8 371 votants et 25 705 inscrits)[10],[13],[14].
En 2022, le canton comptait 34 351 habitants[Note 2], en évolution de −2,34 % par rapport à 2016 (Meurthe-et-Moselle : −0,13 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
↑Pour éviter une trop forte concentration des scrutins, la loi du 22 février 2021 a reporté les élections régionales et départementales de juin 2027 à mars 2028[4].
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Loi du 22 février 2021 portant report, de mars à juin 2021, du renouvellement général des conseils départementaux, des conseils régionaux et des assemblées de Corse, de Guyane et de Martinique.