Castelnau-Picampeau

Castelnau-Picampeau
Castelnau-Picampeau
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Muret
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Garonne
Maire
Mandat
Christian Cazalot
2020-2026
Code postal 31430
Code commune 31119
Démographie
Gentilé Picampallois
Population
municipale
217 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 18′ 26″ nord, 1° 01′ 09″ est
Altitude Min. 252 m
Max. 381 m
Superficie 11,3 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cazères
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Castelnau-Picampeau
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Castelnau-Picampeau
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Voir sur la carte topographique de la Haute-Garonne
Castelnau-Picampeau
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Castelnau-Picampeau
Liens
Site web Site officiel

Castelnau-Picampeau est une commune française située dans le centre du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de Peyrane, Les Marticots, le ruisseau de Gélas, le ruisseau de Lonné, le ruisseau du Bras et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Castelnau-Picampeau est une commune rurale qui compte 217 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 571 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Picampallois ou Picampalloises.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

La commune de Castelnau-Picampeau se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 48 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 30 km de Muret[2], sous-préfecture, et à 12 km de Cazères[3], bureau centralisateur du canton de Cazères dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Cazères[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Casties-Labrande (2,6 km), Fustignac (3,0 km), Montoussin (3,5 km), Montégut-Bourjac (3,6 km), Pouy-de-Touges (4,2 km), Le Fousseret (4,7 km), Polastron (5,3 km), Sénarens (5,8 km).

Sur le plan historique et culturel, Castelnau-Picampeau fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5].

Communes limitrophes[6]

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Casties-Labrande, Le Fousseret, Fustignac, Lussan-Adeilhac, Montoussin et Pouy-de-Touges.

Rose des vents Casties-Labrande Pouy-de-Touges Rose des vents
Lussan-Adeilhac
(sur 50 m)
N Le Fousseret
O    Castelnau-Picampeau    E
S
Fustignac Montoussin

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 1 130 hectares ; son altitude varie de 252 à 381 mètres[7].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Castelnau-Picampeau.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par le ruisseau de Peyrane, Les Marticots, le ruisseau de Gélas, le ruisseau de Lonné, le ruisseau du Bras, Riou Tort, le ruisseau de cardayré, le ruisseau de Taillefer, le ruisseau du Baraillon et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[9],[Carte 1].

Le ruisseau de Peyrane, d'une longueur totale de 10,9 km, prend sa source dans la commune et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans la Louge à Gratens, après avoir traversé 4 communes[10].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 829 mm, avec 9,4 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Palaminy à 12 km à vol d'oiseau[13], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 715,2 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]
Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[17] : les « bois et prairies de la Garenne de Launard » (99 ha)[18] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[17] : l'« ensemble de bois et bosquets de Castelnau-Picampeau » (469 ha), couvrant 3 communes du département[19].

Au , Castelnau-Picampeau est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3],[I 4].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (36,5 %), terres arables (26,6 %), zones agricoles hétérogènes (26,1 %), forêts (10,8 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

[modifier | modifier le code]

La commune comprend un habitat dispersé.

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Accès par les routes départementales D6 et D83.

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Castelnau-Picampeau est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Castelnau-Picampeau.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 120 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 120 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993, 1994, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

À partir du Moyen Âge jusqu'à sa disparition en 1790 pendant la Révolution française, Castelnau-Picampeau faisait partie du diocèse de Rieux.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Mairie

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[25],[26].

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cœur de Garonne et du canton de Cazères (avant le redécoupage départemental de 2014, Castelnau-Picampeau faisait partie de l'ex-canton du Fousseret et avant le , elle faisait partie de la communauté de communes de la Louge et du Touch).

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Daniel Esclassan    
mars 2008 En cours Christian Cazalot PS Retraité

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28]. En 2021, la commune comptait 217 habitants[Note 5], en stagnation par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
391403378461519534505571569
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
568537510450481459450401401
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
371381358292306276248244219
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
207184170179171165178180211
2017 2021 - - - - - - -
215217-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[31] 1975[31] 1982[31] 1990[31] 1999[31] 2006[32] 2009[33] 2013[34]
Rang de la commune dans le département 337 342 338 369 368 397 395 378
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Castelnau-Picampeau fait partie de l'académie de Toulouse.

L'éducation est assurée par un regroupement pédagogique intercommunal, commune de Lussan-Adeilhac (Cours préparatoire, CE1, CE2), Sénarens (école marternelle) et sur la commune (CE2, CM1, CM2).

Activités sportives et culturelles

[modifier | modifier le code]

Chasse, pétanque, randonnée pédestre,

Écologie et recyclage

[modifier | modifier le code]

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes de la Louge et du Touch[35].

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 91 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 214 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 130 [I 5] (23 140  dans le département[I 6]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 6,1 % 8,1 % 10,4 %
Département[I 8] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 130 personnes, parmi lesquelles on compte 74,6 % d'actifs (64,2 % ayant un emploi et 10,4 % de chômeurs) et 25,4 % d'inactifs[Note 7],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 20 emplois en 2018, contre 31 en 2013 et 23 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 86, soit un indicateur de concentration d'emploi de 22,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,2 %[I 11].

Sur ces 86 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 14 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 85,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,5 % les transports en commun, 1,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture

[modifier | modifier le code]

11 établissements[Note 8] sont implantés à Castelnau-Picampeau au [I 14]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 45,5 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 11 entreprises implantées à Castelnau-Picampeau), contre 19,8 % au niveau départemental[I 15].

Agriculture

[modifier | modifier le code]
1988 2000 2010 2020
Exploitations 24 17 7 5
SAU[Note 9] (ha) 515 385 nd 79

La commune est dans les « Coteaux de Gascogne », une petite région agricole occupant une partie ouest du département de la Haute-Garonne, constitué d'un relief de cuestas et de vallées peu profondes, creusés par les rivières issues du massif pyrénéen, avec une activité de polyculture et d’élevage[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (24 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 79 ha[38],[Carte 6],[Carte 7].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Église Notre-Dame de Castelnau-Picampeau.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Castelnau-Picampeau » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]
  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Castelnau-Picampeau ».
  2. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulouse », sur insee.fr (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Castelnau-Picampeau » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Castelnau-Picampeau » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Castelnau-Picampeau » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Castelnau-Picampeau » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. Stephan Georg, « Distance entre Castelnau-Picampeau et Toulouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Castelnau-Picampeau et Muret », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Castelnau-Picampeau et Cazères », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Castelnau-Picampeau », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  8. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Fiche communale de Castelnau-Picampeau », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  10. Sandre, « le ruisseau de Peyrane »
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. « Orthodromie entre Castelnau-Picampeau et Palaminy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Palaminy » (commune de Palaminy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Palaminy » (commune de Palaminy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Castelnau-Picampeau », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF les « bois et prairies de la Garenne de Launard » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « ZNIEFF l'« ensemble de bois et bosquets de Castelnau-Picampeau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Castelnau-Picampeau », sur Géorisques (consulté le ).
  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Castelnau-Picampeau », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  25. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  26. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
  32. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  33. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  34. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  35. http://www.cclt31.fr/fr/index.html
  36. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  37. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  38. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Castelnau-Picampeau - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).