Caumont | |||||
Église Saint-Barthélémy. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Ariège | ||||
Arrondissement | Saint-Girons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Couserans-Pyrénées | ||||
Maire Mandat |
Jean-Jacques Méric 2020-2026 |
||||
Code postal | 09160 | ||||
Code commune | 09086 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Caumontais | ||||
Population municipale |
336 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 36 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 01′ 53″ nord, 1° 05′ 11″ est | ||||
Altitude | Min. 338 m Max. 528 m |
||||
Superficie | 9,22 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Saint-Girons (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton des Portes du Couserans | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ariège
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
| |||||
modifier |
Caumont est une commune française, située dans le nord-ouest du département de l'Ariège en région Occitanie. Elle est traversée par la rivière Salat. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Salat, le Marcazeau, le ruisseau du Gélan et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Caumont est une commune rurale qui compte 336 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons. Ses habitants sont appelés les Caumontois ou Caumontoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Barthélemy, inscrite en 1978.
La commune de Caumont se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 43 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, à 7 km de Saint-Girons[2], sous-préfecture, et à 5 km de Saint-Lizier[3], bureau centralisateur du canton des Portes du Couserans dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Girons[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Taurignan-Castet (1,1 km), Mercenac (1,3 km), Taurignan-Vieux (2,3 km), Gajan (3,4 km), Montgauch (3,5 km), Lorp-Sentaraille (3,7 km), Cazavet (4,7 km), Saint-Lizier (5,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Caumont fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne), que rien ne prédisposait à rejoindre les anciennes dépendances du comté de Foix[5]. Les communes limitrophes sont Cazavet, Mercenac, Montgauch, Prat-Bonrepaux, Saint-Lizier, Lorp-Sentaraille, Taurignan-Castet et Taurignan-Vieux.
Commune des Pyrénées située dans l'aire d'attraction de Saint-Girons. Elle fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises.
La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes, certaines parties étant recouvertes par des formations superficielles. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années, et pour d'autres du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans les feuilles « n°1055 - Saint-Gaudens » et « n°1056 - Le Mas d'Azil » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[7],[8] et leurs notices associées[9],[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 9,22 km2[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 9,34 km2[8]. L'altitude du territoire varie entre 338 m et 528 m[14].
La superficie de la commune est de 922 hectares ; son altitude varie de 338 à 528 mètres[15].
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par le Salat, le Marcazeau, le ruisseau du Gélan, Goutte de Laure, la gauère, le Niart, le ruisseau de Marterat, le ruisseau de Mercenac, le ruisseau de Rieutort, le ruisseau des Bufaux, le ruisseau de Taurignan Castet et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[17],[18].
Le Salat, d'une longueur totale de 74,1 km, prend sa source dans la commune de Couflens et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Boussens, après avoir traversé 27 communes[19].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[20]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées centrales, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 200 mm[21].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 935 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[20]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lorp-Sentaraille à 4 km à vol d'oiseau[22], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 973,2 mm[23],[24]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[25].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[26],[27].
La commune fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, créé en 2009 et d'une superficie de 245 973 ha, qui s'étend sur 138 communes du département. Ce territoire unit les plus hauts sommets aux frontières de l’Andorre et de l’Espagne (la Pique d'Estats, le mont Valier, etc) et les plus hautes vallées des avants-monts, jusqu’aux plissements du Plantaurel[28].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[30], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs, avec des zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[31].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[32] : « le Salat et le Lens » (712 ha), couvrant 32 communes dont 21 dans l'Ariège et 11 dans la Haute-Garonne[33] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[32] : le « massif d'Arbas » (27 233 ha), couvrant 90 communes dont 48 dans l'Ariège et 42 dans la Haute-Garonne[34].
Au , Caumont est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[35]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 70 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[36],[37].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36,5 %), zones agricoles hétérogènes (30,1 %), terres arables (17,7 %), prairies (11,1 %), zones urbanisées (3,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %)[38]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 177, alors qu'il était de 174 en 2013 et de 157 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 83,1 % étaient des résidences principales, 1,1 % des résidences secondaires et 15,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 7,8 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Caumont en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,1 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 76,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (69 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | Caumont[I 2] | Ariège[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 83,1 | 65,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,1 | 24,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 15,8 | 9,7 | 8,2 |
Accès avec la route départementale D 117 ancienne route nationale 117, et par les cars SNCF de la ligne de Boussens à Saint-Girons (prolongée en période hivernale et à certains horaires jusqu'à Guzet-Neige). Des cars régionaux directs de Toulouse à Saint-Girons desservent également la commune.
Le territoire de la commune de Caumont est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[39],[40].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, le Salat, ou ruissellement d'un versant. L’épisode de crue le plus marquant dans le département reste sans doute celui de 1875. Parmi les inondations marquantes plus récentes concernant le Salat figurent les crues de 1937 (un mort à Salau), de 1992 et de 1993[41].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Caumont[42]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[43].
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques (PPR) inondation et mouvement de terrain approuvé le 19 octobre 2004[44].
Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[45].
Une inscription lapidaire d'époque gallo-romaine, dédiée à une divinité nommée Ande[46] a été trouvée sur le site du castrum au début du XIXe siècle[47].
Sur l'oppidum du Pleich, à environ 500 m à l'ouest du village, se trouvait un castrum datant de l'époque médiévale (XIIIe siècle) et dominant les environs. Les ruines ont été cristallisées[48].
De 1866 à 1969, la commune a bénéficié d'une gare sur la ligne de Boussens à Saint-Girons.
La commune de Caumont est membre de la communauté de communes Couserans-Pyrénées[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Lizier. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[49].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Portes du Couserans pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[50].
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[51],[52].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[54].
En 2021, la commune comptait 336 habitants[Note 7], en évolution de +5,66 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[57] | 1975[57] | 1982[57] | 1990[57] | 1999[57] | 2006[58] | 2009[59] | 2013[60] |
Rang de la commune dans le département | 61 | 82 | 104 | 91 | 92 | 97 | 101 | 104 |
Nombre de communes du département | 340 | 328 | 330 | 332 | 332 | 332 | 332 | 332 |
Caumont dispose d'une école primaire publique et fait partie de l'académie de Toulouse.
Football club caumontais, sprint intermédiaire lors de la 12e étape du Tour de France 2006, pétanque.
La déchetterie intercommunale la plus proche se trouve à Mercenac au lieudit Casséjoul. L'entreprise Saica Natur Sud (anciennement Llau) est une importante entreprise industrielle de recyclage et de valorisation ; elle est installée sur la zone industrielle du Couserans, à proximité immédiate de la commune.
En 2018, la commune compte 146 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 308 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 950 €[I 6] (19 820 € dans le département[I 7]).
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 8] | 4,7 % | 11,4 % | 4,8 % |
Département[I 9] | 8,9 % | 11,1 % | 11,2 % |
France entière[I 10] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 195 personnes, parmi lesquelles on compte 71 % d'actifs (66,2 % ayant un emploi et 4,8 % de chômeurs) et 29 % d'inactifs[Note 9],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Girons, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 11]. Elle compte 93 emplois en 2018, contre 76 en 2013 et 81 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 129, soit un indicateur de concentration d'emploi de 72,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,6 %[I 12].
Sur ces 129 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 44 travaillent dans la commune, soit 34 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 92,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
25 établissements[Note 10] sont implantés à Caumont au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 15]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 25 entreprises implantées à Caumont), contre 14,2 % au niveau départemental[I 16].
Une épicerie multiservices fonctionne au centre du village.
La zone industrielle du Couserans est installée pour une petite partie de la commune de Caumont, comprenant notamment deux entreprises agroalimentaires : les glaces Philippe Faur et la fromagerie Jean Faup, qui fabrique entre autres «le Bethmale» au lait cru et à croûte naturelle, dans la tradition des Pyrénées centrales.
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Exploitations | 18 | 9 | 5 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 369 | 266 | 305 |
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région sous-pyrénéenne »[61]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'herbivores hors bovins, caprins et porcins[62]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 13] de 2010 (douze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 305 ha[62].