Il met dix ans pour écrire son roman L'Art du jeu, vivant d'emplois précaires (assistant d'un psychothérapeute, précepteur d'une jeune cavalière, rédacteur chez McKinsey) pour pouvoir y travailler[1],[2].
L'Art du jeu, [« The Art of Fielding », 2011], trad. de Dominique Defert, Paris, Éditions JC Lattès, coll. « Littérature étrangère », 2012, 664 p. (ISBN978-2-7096-3668-1)[3],[4],[5],[6]