Charlotte-Arrisoa Rafenomanjato est une femme de lettresmalgache, née en à Antananarivo. C'est un auteur bilingue franco-malgache, une romancière, poète, essayiste, traductrice mais également femme de théâtre. Elle meurt en [1],[2].
Charlotte-Arrisoa Rafenomanjato est née en 1936 à Antananarivo d'un père médecin[3],[1],[2] et d'une mère pianiste. Cette dernière meurt alors que sa fille est encore jeune. Charlotte-Arrisoa Rafenomanjato a été mariée à un diplomate ; ils ont eu trois enfants[4]. Elle est morte à la clinique des religieuses d'Ankadifotsy des suites de complications pulmonaires[4].
Elle est sage-femme et puéricultrice de formation[2]. Ayant épousé un diplomate[2], elle vit pendant de nombreuses années à l'étranger. Elle se consacre à l'écriture après son retour à Madagascar en 1982[3],[1], et devient l'auteure de contes, nouvelles, pièces de théâtre et romans, dont certains en langue française[1],[2]. Elle est membre fondatrice et Présidente d'honneur de la Société des Écrivains de l'Océan Indien (SEROI)[réf. nécessaire]. Elle adhère par ailleurs au parti Rassemblement des forces nationales (RFN)[réf. nécessaire]
Le Prix de la paix, a reçu le prix Radio France Internationale en 1986, adapté au cinéma et présenté au Festival des films africains de Montréal en 1988
La Pêcheresse, a reçu le prix Radio France International en 1987
Le Prince de l'étang, traduit en italien et présenté au Festival de théâtre africain en Italie, également présenté au Festival francophone de Limoges en 1988
L'Oiseau de proie, présenté à la Littérature franco-malgache d'Antananarivo en 1991
Le Troupeau, traduit en anglais et présenté au Festival of Contemporary Theatre de New York
Omeo zanako. Publiée dans le quotidien malgache L’Express en 2000, ensuite dans Chroniques de Madagascar, présentées par Dominique Ranaivoson en France : Sépia, 2005