Chaumes-en-Brie

Chaumes-en-Brie
Chaumes-en-Brie
Chaumes-en-Brie vue du sud-est.
Blason de Chaumes-en-Brie
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Melun
Intercommunalité Communauté de communes Brie des rivières et châteaux
Maire
Mandat
François Venanzuola
2020-2026
Code postal 77390
Code commune 77107
Démographie
Gentilé Calmétiens
Population
municipale
3 401 hab. (2021 en évolution de +9,08 % par rapport à 2015)
Densité 169 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 40′ 07″ nord, 2° 50′ 38″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 116 m
Superficie 20,07 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Chaumes-en-Brie
(ville isolée)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fontenay-Trésigny
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Chaumes-en-Brie
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Chaumes-en-Brie
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Voir sur la carte topographique de Seine-et-Marne
Chaumes-en-Brie
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Chaumes-en-Brie
Liens
Site web chaumesenbrie.fr

Chaumes-en-Brie est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

La commune est à 50 km à l'est de Paris, distante de 20 km de Melun, 15 km de Tournan-en-Brie, 10 km de Rozay-en-Brie, 5 km de Fontenay-Trésigny, 3 km de Beauvoir et de Verneuil-l'Étang[Carte 1].

Localisation de la commune de Chaumes-en-Brie dans le département de Seine-et-Marne.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes de Chaumes-en-Brie
Châtres Fontenay-Trésigny Bernay-Vilbert
Ozouer-le-Voulgis
Yèbles
Chaumes-en-Brie Courtomer
Guignes Verneuil-l'Étang
Beauvoir
Argentières

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Chaumes-en-Brie domine la vallée de l'Yerres et de celle d'un de ses affluents, le Bréon. L'altitude de la commune varie de 67 mètres à 116 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 94 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Chaumes-en-Brie.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de neuf cours d'eau référencés :

  • La rivière l'Yerres, longue de 98,23 km[3], affluent en rive droite de la Seine ;
    • le fossé du Miroir, 2,19 km[4], et ;
    • Le ru de Bréon, long de 22,13 km[5], affluents de l’Yerres, ainsi que :
      • un bras de 0,28 km[6] ;
      • un bras de 0,51 km[7] ;
        • le ru de Frégy, 5,02 km[8], qui conflue avec le bras du Bréon ;
          • le fossé 02 des Vieux Prés, 2,23 km[9], affluent du ru de Frégy ;
      • un bras de 0,61 km[10] ;
  • le ru de Chevry, cours d'eau naturel et canal de 6,09 km[11], affluent de la Marsange.

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 17,74 km[12].

Gestion des cours d'eau

[modifier | modifier le code]

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[13].

La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[14]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[15].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[16]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[17].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 734 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Grandpuits-Bailly-Carrois à 13 km à vol d'oiseau[18], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 704,0 mm[19],[20]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000

[modifier | modifier le code]
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[23] :

  • « L'Yerres de sa source a Chaumes-en-Brie », d'une superficie de 18 ha, un tronçon de 40 km de l'Yerres qui héberge une faune piscicole et une végétation aquatique devenues rares en Ile-de-France[24],[25].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

[modifier | modifier le code]
Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Chaumes-en-Brie comprend un ZNIEFF de type 2[Note 1],[26], la « Basse vallée du Bréon » (275,8 ha), couvrant 2 communes du département[27].

Au , Chaumes-en-Brie est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[28]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chaumes-en-Brie[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[29],[30]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[30]. Cette aire regroupe 1 929 communes[31],[32].

Lieux-dits et écarts

[modifier | modifier le code]

La commune compte 119 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[33] dont Maurevert, Forest, Arcy (source : le fichier Fantoir).

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (69,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53 %), forêts (24,8 %), zones urbanisées (8,3 %), prairies (7 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %), eaux continentales[Note 5] (0,5 %)[34].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[35],[36],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

Planification

[modifier | modifier le code]

La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[37].

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 1 504 (dont 68 % de maisons et 30,4 % d’appartements).

Parmi ces logements, 84,3 % étaient des résidences principales, 4,4 % des résidences secondaires et 11,3 % des logements vacants.

La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 71,6 % contre 23 % de locataires[38], dont 3,3 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 6] et 5,4 % logés gratuitement.

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

En venant de Paris on peut y accéder soit par la route nationale 4, soit par la route nationale 19. La route départementale D 402 traverse la commune qui est située à égale distance de ces deux nationales.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Culmae[39] et Abbas Culmensis en 1114[39] ; Abbatia de Caumis en 1156[40] ; De Calmis en 1166[41] ; Abbas Chalmensis en 1188[42] ; De Chaumis en 1201[43] ; De Chalmis en 1225[44] ; De Calmis en 1322[45] ; Chausmes en 1400[46] ; Chaumes en Brye en 1492[47] ; Chaulmes en Brye en 1524[48] ; Chaulme en 1668[49] ; Chaumes-en-Brie (Décret du 7 septembre 1905)[50].

Chaume : issu du bas latin calma, pluriel de l'oïl chaume « Terre inculte, lande, hauteur ou plateau en friche »[51].

Cette antique bourgade romaine s'appelait Calma ce qui signifie hauteur, la commune étant localisée sur un plateau.

La ville était fortifiée au Moyen Âge et dotée d'une longue muraille dont il reste des vestiges[52].

Appelée à l'origine Chaumes, elle deviendra par arrêté du 7 septembre 1905, Chaumes-en-Brie[53].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Melun du département de Seine-et-Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la neuvième circonscription de Seine-et-Marne.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Tournan-en-Brie[53]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Fontenay-Trésigny.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes de l'Yerres à l'Ancœur, créée fin 2005.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), le préfet de Seine-et-Marne a rendu public le 23 décembre 2016 un nouveau projet de schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prend en compte le redécoupage de la plupart des intercommunalités, prévoyant notamment le regroupement de la communauté de communes Vallées et Châteaux avec des communes voisines des communautés de communes de la Brie centrale, du Pays de Seine et des Gués de l’Yerres.

C'est ainsi que la commune intègre la nouvelle communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux, créée le , dont elle est désormais membre[54].

Politique locale

[modifier | modifier le code]

À la suite de la démission de plus d'un tiers du conseil municipal en janvier 2018, motivé, selon les protestataires, par une gestion autocratique du maire, des élections municipales sont organisées en mars 2018[55],[56],[57], amenant l'élection de la liste d'opposition menée par François Venanzuola (SE), qui recueille 457 voix (51,81 % des suffrages exprimés) et 18 sièges au conseil municipal et trois à la communauté de communes Brie des rivières et châteaux (CCBRC) contre celle menée par l'ancien maire-adjoint Mathieu Arlandis (SE), avec 425 voix (48,19 %) et cinq au conseil municipal et 1 siège à l'intercommunalité[58]. Le nouveau conseil a élu le 23 mars 2018 son nouveau maire, François Venanzuola[59].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
La mairie.
Liste des maires successifs[60]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1944 1947 André Decreps    
1947 1963 René Michel    
1963 mars 1977 Jehan Michel    
mars 1977 mars 1989 André Carer    
mars 1989 juin 1995 Nicole Sellier    
juin 1995 mars 2001 José Chevreau    
mars 2001 janvier 2004
(démission)
Pierre Porchez   Expert-comptable
2004 avril 2014 Jean-Claude Simon SE[61]  
avril 2014[62],[63] mars 2018 Jean-Paul Guyonnaud SE[56] Chef d'entreprise retraité
mars 2018[59] En cours
(au 28 mars 2018)
François Venanzuola SE Économiste de la construction

Équipements et services

[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement

[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [64],[65].

Assainissement des eaux usées

[modifier | modifier le code]

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Chaumes-en-Brie est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [66],[67],[68].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[69]. La communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[66],[70].

Eau potable

[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [66],[71].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[72]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[73].

En 2021, la commune comptait 3 401 habitants[Note 7], en évolution de +9,08 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6271 7551 7931 6111 7051 6581 6851 7301 730
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8331 8131 8381 7171 7931 8581 8962 2922 003
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9922 0211 9661 7551 8401 9561 9351 8031 803
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 6651 7921 8232 1392 5002 7432 9583 0072 976
2018 2021 - - - - - - -
3 3043 401-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[74].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]
  • Marché de Noël
  • Marché des fleurs
  • Fête champêtre
  • Bourses aux vêtements d'hiver et d'été
  • Bourses aux jouets
  • Concours de pêche
  • Fête de la pêche

Revenus de la population et fiscalité

[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 1 287 (dont 64 % imposés), représentant 3 178 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 910 euros[75], le 1er décile[Note 8] étant de 14 890 euros avec un rapport interdécile de 2,7[Note 9].

En 2018, le nombre total d’emplois dans la zone était de 553, occupant 1 596 actifs résidants (dont 13 % dans la commune de résidence et 87 % dans une commune autre que la commune de résidence).

Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 71,9 % contre un taux de chômage de 6,5 %. Les 21,6 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 7,9 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,6 % de retraités ou préretraités et 9,2 % pour les autres inactifs[76].

Secteurs d'activité

[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces

[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 186 dont 10 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 41 dans la construction, 48 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 4 dans l’Information et communication, 6 dans les activités financières et d'assurance, 7 dans les activités immobilières, 32 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 11 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 27 étaient relatifs aux autres activités de services[77].

En 2020, 45 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 35 individuelles.

Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[78].

La commune héberge le premier méthaniseur de France à injecter du biométhane sur le réseau de distribution de GrDF en 2013, sur une ferme de 350 hectares[79].

Agriculture

[modifier | modifier le code]

Chaumes-en-Brie est dans la petite région agricole dénommée la « Brie boisée », une partie de la Brie autour de Tournan-en-Brie[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 10] de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage[80].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[81]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 16 en 1988 à 7 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 77 ha en 1988 à 144 ha en 2010[80]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Chaumes-en-Brie, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Chaumes-en-Brie entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[80],[Note 11]
Nombre d’exploitations (u) 16 15 7
Travail (UTA) 50 34 22
Surface agricole utilisée (ha) 1 232 1 226 1 011
Cultures[82]
Terres labourables (ha) 1 167 1 212 867
Céréales (ha) 876 669 513
dont blé tendre (ha) 534 446 347
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 308 118 104
Tournesol (ha) 48
Colza et navette (ha) 50 s 105
Élevage[80]
Cheptel (UGBTA[Note 12]) 480 764 418

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Monuments et lieux remarquables

[modifier | modifier le code]

La commune compte trois monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques (Base Mérimée)[83]. :

L'église Saint-Pierre-Saint-Paul.
C'est la seule qui reste des trois églises de Chaumes[52].
Les parties les plus anciennes, le clocher, le chœur, l'abside, les chapelles Saint-Roch et de la Vierge datent du XIIIe siècle. De nombreuses restaurations se sont succédé. Le portail a été édifié en 1755. La flèche, détruite par la foudre en 1766 et reconstruite en 1866, est à nouveau foudroyée en 1942. Elle sera restaurée en 1964.
À l'intérieur, on peut admirer une crucifixion due au peintre Philippe de Champaigne. Un reliquaire renferme des ossements de différents saints.
L'orgue : avant 2016, c'était un orgue du milieu du XVIIIe siècle qui prenait place dans l'église ce n'était donc pas l'orgue sur lequel ont joué les membres de la famille Couperin. Il a été remplacé en 2016 par un autre à l'origine du facteur allemand Franz Breil, sa reconstruction pour notre église ayant été confiée au facteur Thierry Lemercier et l'harmonie réalisée par le facteur Bernard Hurvy ;

Autres lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Édifices situés dans la ville de Chaumes

[modifier | modifier le code]
Ferme de Forest : vue d'ensemble.
L'ancienne école maternelle, château de l'Abbaye.
La tour d'Arcy, construite en 1896.
  • Vestiges de l'ancienne abbaye Saint-Pierre-de-Chaumes[88]
Abbaye royale, sa fondation remonterait au VIe siècle, sous Childebert Ier et Clotaire Ier. Incendiée et pillée, l'abbaye est reconstruire en 1181[52]. En avril 1475, par ses lettres patentes, Louis XI confirma sa protection royale[89].
L'abbaye ferme ses portes quelques années, avant la Révolution, puis tombe en ruine[52].
En 1883, un pastiche de château médiéval est bâti sur ses vestiges. Il accueille jusqu'en 2011 l'école maternelle[52]. C'est devenu aujourd'hui l'Inspection de l’Éducation Nationale de Chaumes-en-Brie[90].
  • La maison de retraite, bâtiment datant du XVIIIe siècle.
  • L'ancienne gare de Chaumes qui date de 1893.

Édifices situés à l'écart du bourg

[modifier | modifier le code]
  • La tour d'Arcy (ou tour saint Firmin)[91].
Édifiée en 1896 par l'acteur Léon Noël, elle est composée d'éléments très divers. Le portail d'entrée est par exemple celui de la chapelle Saint-Firmin de Paris (1257).
  • Le château d'Arcy[92].
Il est depuis 2014 un centre de réinsertion sociale et professionnelle pour personnes en difficulté géré par l'association Aurore.
  • Le château de Maurevert
Il date du XVIIIe siècle, construit sur l'emplacement d'un château médiéval.
  • Le château de Forest[93].
C'est devenu la ferme de Forest qui fut construite sur l'emplacement d'un ancien manoir médiéval. Le principal corps de bâtiment est surmonté d'un pigeonnier.

Lieux de promenades

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Berceau des Couperin (Louis, François, Charles) (musiciens français de l'époque baroque)
  • Berceau de la dynastie des Forqueray Ce lien renvoie vers une page d'homonymie (musiciens)
  • Famille Quinton, René Quinton, biologiste, Paul Quinton, médecin soignant gratuitement, Louis Quinton, chevalier de la Légion d'honneur, maire.
  • Antoine Parmentier (1757-1813), agronome.
  • Antoine Arnauld, abbé de Chaumes, janséniste et mémorialiste
  • François Cavanna (1923-2014), écrivain, journaliste et dessinateur humoristique. Ses cendres sont inhumées au cimetière de la commune où il a habité une quarantaine d'années.

Héraldique et devise

[modifier | modifier le code]
Blason de Chaumes-en-Brie Blason
D’azur aux trois gerbes de blé d’or posées 2 et 1
Ornements extérieurs
Timbre : couronne murale
Feuilles de chêne et de laurier
Détails

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Chaumes-en-Brie », p. 1428–1431

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Salaire annuel au-dessus duquel se situent 90 % des salaires .
  9. Le rapport interdécile met en relation le 1er et le 9e déciles de la distribution des niveaux de vie mensuels et se calcule comme : D9 / D1.
  10. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  12. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Localisation de Chaumes-en-Brie, » sur Géoportail (consulté le 31 mars 2020)..
  2. « Chaumes-en-Brie - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Chaumes-en-Brie » sur Géoportail. Carte IGN classique.
  2. « Plan séisme consulté le 11 novembre 2021 ».
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - L’Yerres (F4--0210) ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé du Miroir (F4745000) ».
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Bréon (F4750600) ».
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Bréon (F4755001) ».
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Bréon (F4754001) ».
  8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Frégy (F4756000) ».
  9. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 02 des Vieux Prés (F2326500) ».
  10. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras du Bréon (F4756001) ».
  11. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Chevry (F4779000) ».
  12. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 18 octobre 2019
  13. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
  14. « SAGE Yerres - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
  15. site officiel du Syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
  16. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  17. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  18. « Orthodromie entre Chaumes-en-Brie et Grandpuits-Bailly-Carrois », sur fr.distance.to (consulté le ).
  19. « Station Météo-France « Nangis » (commune de Grandpuits-Bailly-Carrois) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  20. « Station Météo-France « Nangis » (commune de Grandpuits-Bailly-Carrois) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  21. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  22. « Réseau européen Natura 2000 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
  23. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Chaumes-en-Brie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « L’Yerres de sa source à Chaumes-en Brie - ZSC - FR1100812 », sur driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  25. « site Natura 2000 FR1100812 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  26. « Liste des ZNIEFF de la commune de Chaumes-en-Brie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  27. « ZNIEFF la « Basse vallée du Bréon » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  28. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  29. « Unité urbaine 2020 de Chaumes-en-Brie », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  30. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Chaumes-en-Brie ».
  31. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  32. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  33. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
  34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  35. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur institutparisregion.fr (consulté le ).
  36. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur iau-idf.fr (consulté le ).
  37. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  38. Statistiques officielles de l'Insee.
  39. a et b Archives nationales, S 2285b, n° 13.
  40. Quantin, I, 538.
  41. Quantin, II, 185.
  42. Archives nationales, S 2285b, n° 41.
  43. Cartulaire N.-D. de Paris, I, 87.
  44. Cartulaire N.-D. de Paris, I, 866.
  45. Archives nationales, JJ 61, fol. 7.
  46. Archives nationales, P 131, fol. 66 v°.
  47. Archives nationales, S 2285b.
  48. Archives nationales, S 1987.
  49. Archives nationales, Q1 1399.
  50. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 117.
  51. Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Page 73 - (ISBN 2600028838).
  52. a b c d et e Vidéo de présentation de Chaumes en Brie Chaumes en Brie, "un village où il fait bon vivre !"
  53. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  54. [PDF]« RAA n°261 du 15 décembre 2016 - Arrêté 2016/DRCL/BCCCL/103 », sur seine-et-marne.gouv.fr (consulté en ).
  55. Marine Legrand, « Chaumes-en-Brie : des vœux sous tension après les démissions en série : Le maire doit présenter ses vœux ce 10 janvier alors que trois élus de sa majorité viennent de démissionner, dont sa première adjointe », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  56. a et b Sébastien Blondé et Marine Legrand, « Chaumes-en-Brie : l’opposition démissionne et provoque de nouvelles élections : Les élus d’opposition ont remis jeudi leurs démissions qui s’ajoutent aux trois départs récents du conseil municipal. Conséquence : les habitants devront retourner aux urnes », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  57. Marine Legrand, « Chaumes-en-Brie : François Venanzuola, premier candidat déclaré à la mairie : François Venanzuola, premier adjoint de l’ancien maire de 2004 à 2014 et élu d’opposition depuis quatre ans, prend la tête d’une liste pour les élections municipales des 18 et 25 mars », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  58. Sé.B., « Chaumes-en-Brie : la liste Venanzuola remporte les élections municipales », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  59. a et b Pierre Choisnet, « Chaumes-en-Brie : François Venanzuola élu maire jusqu’en 2020 : Vendredi soir, François Venanzuola a été élu maire de Chaumes-en-Brie par le conseil municipal. Sa liste avait remporté les élections municipales partielles du 18 mars », Le Pays Briard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Deux listes se sont affrontées : « Unis pour Chaumes », conduite par François Venanzuola (SE), et « Pour bien vivre à Chaumes », menée par Mathieu Arlandis (SE). C’est finalement l’équipe de François Venanzuola qui l’a emporté d’une courte tête avec 51,81 % des votes ».
  60. « Les maires de Chaumes-en-Brie », sur francegenweb.org (consulté le ).
  61. « A Chaumes, Guyonnaud (SE) va présenter une liste », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  62. Marine Madelmond, « Jean-Paul Guyonnaud, « Alternative Calmétienne » candidat aux élections municipales présente sa liste : Jean-Paul Guyonnaud, candidat aux municipales présente sa liste pour la ville de Chaumes-en-Brie. Ses mots d’ordre : fiscalité et gestion des finances », La République de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  63. « A Chaumes, une triangulaire Guyonnaud-Simon-Bolâtre », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  64. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  65. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
  66. a b et c « Commune de Chaumes-en-Brie - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  67. « CC Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  68. « CC Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  69. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
  70. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  71. « CC Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  72. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  73. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  74. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  75. Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2018», consultée le 11 novembre 2021.
  76. Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2018», consultée le 14 novembre 2021.
  77. Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 14 novembre 2021.
  78. Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2021», consultée le 14 novembre 2021.
  79. « Bioénergies de la Brie - Du biogaz à la ferme », sur magazine.seine-et-marne.fr (consulté le ).
  80. a b c et d « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Chaumes-en-Brie », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  81. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  82. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Chaumes-en-Brie », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
  83. « Plateforme ouverte du Patrimoine », sur Ministère de la Culture (culture.gouv.fr) (consulté le ).
  84. « L'église », notice no PA00086885, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  85. « Les objets classés de l'église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  86. Notice no IA77000190, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  87. Notice no IA77000191, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  88. L'Abbaye sur le site de Chaumes-en-Brie
  89. Lettres patentes de Louis XI, Paris, avril 1475 (lire en ligne).
  90. Site de l'Inspection de l'Éducation nationale de Chaumes-en-Brie
  91. La tour d'Arcy sur le site de Chaumes-en-Brie
  92. Le château d'Arcy sur le site de Chaumes-en-Brie
  93. Le château de Forest sur le site de Chaumes-en-Brie