Chenevelles

Chenevelles
Chenevelles
L'église Saint-Rémi.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Châtellerault
Maire
Mandat
Cyril Cibert
2020-2026
Code postal 86450
Code commune 86072
Démographie
Gentilé Chenevellois
Population
municipale
445 hab. (2021 en évolution de −5,52 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 43′ 43″ nord, 0° 39′ 16″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 143 m
Superficie 29,30 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Châtellerault
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châtellerault-3
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Chenevelles
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Chenevelles

Chenevelles est une commune du centre-ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Chenevelles
Senillé-Saint-Sauveur Leigné-les-Bois
Monthoiron Chenevelles Pleumartin
Archigny

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 693 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lésigny à 16 km à vol d'oiseau[4], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 743,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Chenevelles est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châtellerault, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,4 %), prairies (13,7 %), zones agricoles hétérogènes (12,6 %), forêts (12,3 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Chenevelles est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Ozon de Chenevelles. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010[15],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chenevelles.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[16]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[17]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. 71,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2011, 2016 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[13].

Le nom de la commune provient du latin « Canavellis » et fait référence au chanvre, une plante anciennement cultivée dans cette partie du Châtelleraudais. Elle était utilisée pour faire des textiles ou du cordage mais aussi pour un usage familiale. Cela pourrait également signifer vallée des chênes[20].

En 1945, pour fêter la Libération et le retour de la République, un arbre de la liberté est planté. Cet ormeau est mort en 1984, et remplacé par un sapin l’année suivante[21].

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001[22] mai 2020 Jean-Michel Mazaud LR  
mai 2020 En cours Cyril Cibert PS puis PRG puis Renaissance  

Instances judiciaires et administratives

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La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Services publics

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Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

En 2021, la commune comptait 445 habitants[Note 3], en évolution de −5,52 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
623589795887912901915910892
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
884865857790812802803788791
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
754769762638651605617536556
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
556498417394393406423419476
2014 2019 2021 - - - - - -
470454445------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, la densité de population de la commune était de 16 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Selon la Direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes, il n'y a plus que 19 exploitations agricoles en 2010 contre 34 en 2000[27].

Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 2 151 hectares en 2000 à 1 706 hectares en 2010. 53 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 18 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 16 % pour le fourrage et 4 % reste en herbes. En 2000,3 hectares (0 en 2010) étaient consacrés à la vigne.

4 exploitations en 2010 (contre 7 en 2000) abritent un élevage de bovins (659 têtes en 2010 contre 874 têtes en 2000). 4 exploitations en 2010 (contre 6 en 2000) abritent un petit élevage d'ovins (81 têtes en 2010 contre 184 têtes en 2000)[27].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine religieux

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L'église Saint-Remy est classée monument historique depuis 1922[28] pour son portail et son clocher. Elle date du XIIe siècle pour la partie la plus ancienne, mais a connu plusieurs remaniements jusqu'au XIXe siècle. Elle conserve de beaux éléments romans, notamment les voussures du portail aux motifs géométriques, ainsi que les chapiteaux qui les supportent. L'édifice se distingue aussi par son clocher-porche, surmonté d'une flèche en pierre, bâtie sur le même modèle que celle de l'église de Vouneuil-sur-Vienne. À l'intérieur, on peut remarquer notamment - la statue de saint Rémi, patron de la paroisse (XVIIIe siècle), - les Fonts baptismaux du XVe siècle, - une Piéta du XVIe siècle, dans une chapelle, à droite en entrant, et une pierre tombale du Chevalier Ralon (XIIe siècle), sans oublier plusieurs tableaux du XVIe siècle représentant l'Assomption, sainte Catherine d'Alexandrie

Patrimoine naturel

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Les Brandes de la Nivoire et les Brandes des Tireaux
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Les Brandes de la Nivoire et les Brandes des Tireaux sont situées à mi-chemin entre les villes de Chauvigny et de Châtellerault, soit un peu à l’est de la vallée de la Vienne. Ces sites couvrent une partie des territoires des communes d’Archigny, de Bonneuil-Matours et de Chenevelles.

Des oiseaux protégés ou rares y ont été recensés notamment la Caille des blés, le Courlis cendré, la Huppe fasciée, le Milan noir ou le Vanneau huppé.

La forêt de Pleumartin
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La forêt de Pleumartin s’étend en partie sur le territoire de trois communes : Leigné-les-Bois, Pleumartin et Chenevelles.

Le peuplement forestier est composé essentiellement de chênes sessiles et de chênes pédonculés. Des charmes peuvent se mêler à ces chênes.

Il est possible d’observer le Bouvreuil pivoine, le Busard Saint-Martin, l’Engoulevent d’Europe, le Faucon hobereau, la Mésange huppée et le Rouge-queue à front blanc.

Personnalités liées à la commune

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Première sociétale : fête des Fiertés rurales

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Stop homophobie et la mairie locale ont organisé le samedi la première fête des Fiertés Rurales. La presse, locale[31],[30] et nationale[32], en a rendu compte. La fête réunissait des personnes homosexuelles des communes rurales, témoignant d’une vie parfois difficile, parfois bien acceptée par l'environnement ; et des habitants simplement ravis de voir une vie festive dans leur village. Plusieurs personnalités des environs étaient citées ou participaient : Jacques Tiffeau, célèbre couturier des années 1960, amant de Christian Dior, né dans le village en 1927 ; Cyril Cibert, le maire de la commune, qui assume son homosexualité ; Étienne Deshoulières, avocat de Stop homophobie, résident d’un village proche[30],[31]. Parmi les personnes venues de loin se trouvait Mathieu, agriculteur homosexuel célèbre depuis sa participation à L'amour est dans le pré[30].

Cet évènement a de nouveau lieu en 2023, en présence de plusieurs personnalités politiques[33].

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Chenevelles et Lésigny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lesigny » (commune de Lésigny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Lesigny » (commune de Lésigny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Chenevelles ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châtellerault », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Chenevelles », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Chenevelles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  20. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
  21. Robert Petit, Les arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers, CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, , 235 p. (ISBN 978-2-905061-20-1), p. 222.
  22. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008.
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. a et b Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne.
  28. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00105419.
  29. (en-US) Anne-Marie Schiro, The New York Times, « Jacques Tiffeau, 59, Miniskirt Proponent In World of Fashion », (consulté le ).
  30. a b c et d Yann Salaün, « A Chenevelles dans la Vienne, première marche des fiertés rurales organisée en France », sur france3-regions.francetvinfo.fr, France 3 Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  31. a et b Antony Floc’h, « Vienne : à Chenevelles, des centaines de personnes célèbrent la première gay pride rurale », sur lanouvellerepublique.fr, La Nouvelle République du Centre-Ouest. Édition de la Vienne, (consulté le ).
  32. « À la marche des fiertés rurales, les « LGBT des champs » rêvent de visibilité », sur Médiapart, .
  33. Le Parisien avec AFP, « Vienne : une « Pride des Campagnes » pour rendre visible l’homosexualité en milieu rural », sur leparisien.fr, (consulté le ).