Christophe Ettori

Christophe Ettori
Image illustrative de l’article Christophe Ettori
Situation actuelle
Équipe GFC Ajaccio (directeur sportif)
Biographie
Nationalité Français
Naissance (46 ans)
Ajaccio (France)
Taille 1,78 m (5 10)
Période pro. 19982009
Poste Milieu de terrain
Parcours junior
Années Club
1994-1998 Toulouse FC
Parcours professionnel1
AnnéesClub 0M.0(B.)
1998-2001 AS Cannes 063 0(4)
2001-2002 FC Gueugnon 026 0(1)
2002-2003 Ionikos Le Pirée 026 0(0)
2003 GFCO Ajaccio 003 0(0)
2003-2004 US Créteil-Lusitanos 039 0(3)
2004-2005 AEK Larnaca
2005-2007 Sporting Toulon Var 049 0(2)
2007-2009 GFCO Ajaccio 030 0(0)
1 Compétitions officielles nationales et internationales senior, incluant le parcours amateur et en équipe réserve.

Christophe Ettori est un footballeur français né le à Ajaccio (Corse).

Son poste de prédilection est milieu de terrain.

À partir de la saison 2007-2008 et son retour au Gazélec, il évolue en défense centrale.

Christophe Ettori a joué 117 matchs en Ligue 2 sous les couleurs de Cannes, Gueugnon et Créteil.

Faits divers

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Le , en tant que directeur sportif du Gazélec Ajaccio, il est condamné par le tribunal correctionnel d'Ajaccio à 10 mois de prison avec sursis et 3 ans d'interdiction de stade, pour injures à caractère raciste et violence aggravée à caractère raciste en lien avec une manifestation sportive. Il écope également d'une amende de 5000 euros[2].

Réputé proche du gang ajaccien du Petit Bar, il est mis en cause dans l'assassinat d'Antoine Nivaggioni le 18 octobre 2010. Il est condamné à cinq ans de prison avec sursis par la cour d'assises d'Aix-en-Provence en 2018, en raison de son rôle d'intermédiaire dans la location d'un appartement qui a servi à surveiller la victime[3],[4],[5].

Notes et références

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  1. « Fiche de Christophe Ettori », sur footballdatabase.eu
  2. [1] sur eurosport.fr
  3. « Procès Nivaggioni : sursis pour le repenti, 30 ans de prison pour Eric Coppolani », France 3 Corse, (consulté le )
  4. « Procès Nivaggioni : cinq peines allant de 4 mois avec sursis à 30 ans ferme », Corse Matin, (consulté le )
  5. « A Ajaccio, l'influence toujours présente de la bande du Petit Bar », Le Monde, (consulté le )

Liens externes

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