Châtonnay

Châtonnay
Châtonnay
La tour du calvaire à Châtonnay en mars 2019.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Vienne
Intercommunalité Communauté de communes Bièvre Isère
Maire
Mandat
Jean-Michel Nogueras
2020-2026
Code postal 38440
Code commune 38094
Démographie
Population
municipale
1 983 hab. (2021 en évolution de −4,2 % par rapport à 2015)
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 29′ 12″ nord, 5° 12′ 28″ est
Altitude 452 m
Min. 424 m
Max. 615 m
Superficie 31,84 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Bièvre
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Châtonnay
Liens
Site web [2]

Châtonnay est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Le territoire de la commune se situe sur une partie du territoire du massif forestier de Bonnevaux qui compte de nombreux étangs dont celui de la Grande Tuilière.

Ces étendues d'eau, la plupart créés par les moines de l'abbaye de Bonnevaux, à l'écart des grandes agglomérations et gérées de façon raisonnable, ont permis le développement d'une biodiversité importante avec une grande diversité d'espèces faunistiques et floristiques.

Les habitants de Châtonnay sont dénommés les Chatonnois[1] (autrefois appelés les Catiens).

Géographie

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Châtonnay est une commune du Bas-Dauphiné, secteur également dénommé Nord-Isère, à la limite des régions naturelle des terres froides et de la Bièvre-Valoire mais intégré dans le territoire local de la Porte des Alpes et le canton de la Bièvre. La commune est en outre adhérente à la communauté de communes Bièvre Isère.

Le village s'étend dans le vallon de la Bielle, en bordure nord de la forêt de Bonnevaux. Le bourg est à une altitude de 450 m et le point culminant dépasse de peu les 600 m, près du hameau des Effeuillers.

La vallée de Châtonnay est d'origine glaciaire. Son sous-sol est argilo-caillouteux. Ce terrain est propice à la création d'étangs, le territoire en compte une centaine, essentiellement créés par l'homme.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Châtonnay
Meyrieu-les-Étangs Sainte-Anne-sur-Gervonde Eclose-Badinières
Saint-Jean-de-Bournay Châtonnay Champier
Lieudieu / Porte-des-Bonnevaux (ancienne commune de Semons Porte-des-Bonnevaux (ancienne commune de Commelle) Porte-des-Bonnevaux (ancienne commune de Nantoin)

Hydrographie

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En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Moyenne vallée du Rhône » et « Alpes du nord »[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 013 mm, avec 9,9 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bourgoin », sur la commune de Bourgoin-Jallieu à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 844,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication

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Entrée de Châtonnay (village) par la RD502

Le territoire communal est traversé par la RD502 qui relie la commune de Saint-Jean-de-Bournay à celle de Champier.

La RD56 (qui relie la commune avec La Côte-Saint-André au sud et Les Éparres au nord), la RD56a (qui relie la commune avec Eclose-Badinières) et la RD56b (qui relie la commune avec Meyrieu-les-étangs).

Au , Châtonnay est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38 %), terres arables (25,6 %), prairies (19,8 %), zones agricoles hétérogènes (13,1 %), zones urbanisées (2 %), eaux continentales[Note 1] (1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux, Lieux-dits et écarts

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Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux, ainsi que les écarts qui composent le territoire de la commune de Châtonnay, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[13].

  • le Mollard et le Haut-Mollard
  • le Brûlet
  • les Barbottes
  • les Communautés
  • Maison Girard
  • les Bouvaretières
  • les Brosses
  • le Gros Buisson
  • Maison Martin
  • Maison Bellet
  • Ferme du Brusillet
  • le Fontanil
  • Vollandière
  • les Cornettes
  • la Colline
  • Maison Flacher
  • Maison Gay
  • le Ginet
  • Basse Combe
  • Moulin de la Niverdière
  • Mollandrin
  • la Serve des Charmes
  • Tramolle
  • Saint-Christophe
  • Maison Louis
  • Hautes Combes
  • Maison Frizon
  • Maison Dichène
  • Maison Berthier
  • Saint-Hugon (chapelle)
  • Maison Bibot
  • Maison Cazeneuve
  • la Ranche
  • Bavufavières
  • la Bâtie
  • les Robins
  • Maison Mallein
  • les Bois
  • la Montagne
  • la Mayançonnière
  • Maison Jardinière
  • la Pichatière
  • le Côteau
  • Maison Serlin
  • les Effeuillers

Risques naturels et technologiques

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Risques sismiques

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L'ensemble du territoire de la commune de Châtonnay est situé en zone de sismicité no 3, comme la plupart des communes de son secteur géographique[14].

Terminologie des zones sismiques[15]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m s−2

Autres risques

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Préhistoire et Antiquité

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La place de la poste et la Grande Rue au début du XXe siècle.

Le secteur actuel de la commune de Châtonnay se situe à l'ouest du territoire antique des Allobroges, ensemble de tribus gauloises occupant l'ancienne Savoie, ainsi que la partie du Dauphiné, située au nord de la rivière Isère.

Moyen-Âge et temps Modernes

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Époque contemporaine

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Politique et administration

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Mairie de Châtonnay

Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1953 Mathieu Cochard    
1953 1959 André Marron    
1959 1965 Joseph Fontaine    
1965 1969 Louis Mayan    
1969 mars 2008 Gilbert Cecillon    
mars 2008 2020 Guy Servet SE Agriculteur retraité
2020 En cours Jean-Michel Nogueras    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[17].

En 2021, la commune comptait 1 983 habitants[Note 2], en évolution de −4,2 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 1282 5052 6082 9813 0113 0343 0563 2033 068
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 7132 7282 1682 1222 1221 9771 9381 8751 826
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8181 6171 5801 4531 4571 4501 3811 3041 189
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 1511 0561 0961 2201 3411 4241 6631 7161 813
2014 2019 2021 - - - - - -
2 0372 0201 983------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Rattachée à l'académie de Grenoble, Châtonnay possède une école de maternelles et de primaires (petites sections aux CM2). Les élèves du secondaire vont au collège Fernand Bouvier de Saint-Jean-de-Bournay ou au collège de Champier, puis au lycée de l'Oiselet , à Bourgoin Jallieu. Des établissements privés existent aussi à La Cote St André.

Équipements culturels et sportifs

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Presse régionale

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et quelquefois de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Culte catholique

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La communauté catholique et l'église de Châtonnay (propriété de la commune) dépendent de la paroisse Saint Hugues de Bonnevaux (relais des étangs) qui est, elle-même, rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[20].

Culture et patrimoine

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Patrimoine architectural

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Tour du calvaire à Châtonnay

Monuments civils

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  • Motte castrale du Calvaire. Sur le site s'érige la Tour de l'horloge (dénommé également Tour du calvaire)
  • Motte castrale de Chateauvieux. Le château est cité depuis le XIe siècle.
  • Maison forte Jocteur-Monrozier - Maison forte de Miribel - Maison forte de Cazeneuve -
  • Mairie (ancien château du Dôme "restauré" vers 1970.) -On peut y voir le drapeau des Volontaires de Quatre-Vingt Treize -
  • Place de la Gare qui fut l'ancienne gare de la ville lorsque le chemin de fer de Vienne au Grand-Lemps circulait (celui-ci fut démantelé avant 1940)

Monuments religieux

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Patrimoine naturel

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La forêt de Bonnevaux est classée Zone Naturelle d’Intérêt Écologique Faunistique et Floristique (Znieff). La commune en a acquis , en 2008, 143 ha (qui appartenaient auparavant à la Caisse d'Épargne) et a mis en place un projet de gestion forestier[21].

Personnalités liées à la commune

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  • Jean-Jacques Gabet, fut un important personnage du Moyen Âge. Ce juge viennois, né à Châtonnay, résidait dans une grosse bâtisse de la paroisse d'Estrablin que l'on appela depuis Gabetière. Protestant engagé, Gabet fut impliqué dans les guerres de religion du XVIe siècle. En effet, après avoir pris une part active à la conjuration d'Amboise, Gabet fit célébrer, dans sa maison de Vienne, le premier prêche protestant de la région viennoise (janvier 1562). Il sera finalement abattu par les catholiques lorsque ceux-ci vinrent soustraire Vienne aux protestants.
Jean Berthier
  • L'abbé Jean Berthier (1840-1908), fondateur de la congrégation religieuse des Missionnaires de la Sainte-Famille en 1895. Prédicateur et écrivain, il est originaire de Châtonnay.
  • Le chanoine Pierre Cavard, né à Givors le 2 avril 1889, mais originaire de Châtonnay, historien et spécialiste de l'histoire de Vienne ("Vienne la sainte") mort le 21 février 1869 à Vinay.
  • Marcel Brissaud, né à Châtonnay en 1928, décédé à Vitteaux en 2011[22],[23]. Fils de tisseur, il a été Maître de Conférence Honoraire de la faculté des Sciences de Lyon, et a animé dans les années 1970-1980 « l'équipe lyonnaise » dont les travaux sur la prétopologie font référence auprès des sociologues.

Héraldique

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Châtonnay possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 14 mars 2019
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Châtonnay et Bourgoin-Jallieu », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Bourgoin », sur la commune de Bourgoin-Jallieu - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bourgoin », sur la commune de Bourgoin-Jallieu - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  9. Insee, « Métadonnées de la commune de Châtonnay ».
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Site géoportail, page des cartes IGN
  14. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  15. [1]
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. Site de la paroisse Saint Hugues de Bonnevaux, consulté le 19 mars 2019
  21. fiche de la Znieff de Bonnevaux
  22. « Marcel BRISSAUD nous a quittés », sur snesup.fr, (consulté le ).
  23. « Espace de Recueillement de Monsieur Marcel BRISSAUD », sur libramemoria.com (consulté le ).

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Article connexe

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Liens externes

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