La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le Thérain, le ruisseau de Cires, le ruisseau de Tranlay[1] et divers bras du Therain[2],[3],[Carte 1].
Le Thérain, d'une longueur de 94 km, prend sa source dans la commune de Gaillefontaine et se jette dans l'Oise à Saint-Leu-d'Esserent, après avoir traversé 43 communes[4]. Les caractéristiques hydrologiques du Thérain sont données par la station hydrologique située sur la commune de Mello. Le débit moyen mensuel est de 7,79 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 35,6 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 35,9 m3/s, atteint le même jour[5].
Le ruisseau de Cires, d'une longueur de 14 km, prend sa source dans la commune de Cauvigny et se jette dans le Thérain à Bury, après avoir traversé six communes[6].
Quatre plans d'eau complètent le réseau hydrographique : le marais de la Place (6,4 ha), le plan d'eau 3 du Grand Marais, d'une superficie totale de 9,3 ha (0 ha sur la commune), le plan d'eau du Bois des Courets (2,6 ha) et le plan d'eau du Moulin de Villeteint (8,7 ha)[Carte 1],[7].
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 219 km2 de superficie, délimité par le bassin versant du Thérain. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit est, en 2024, en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat intercommunal de la Vallée du Thérain (SIVT)[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 655 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Creil à 9 km à vol d'oiseau[11], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 662,2 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Au , Cires-lès-Mello est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15].
Elle appartient à l'unité urbaine de Cires-lès-Mello[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 4],[16],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (50,8 %), forêts (34,8 %), zones urbanisées (8,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), eaux continentales[Note 6] (2,1 %), prairies (1,5 %)[17]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Cires-lès-Mello en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,7 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 67,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (65,2 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].
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Le nom de la localité est attesté sous les formes Cires (1170) ; Chire (1180) ; de Chiris (1180) ; ecc. de ciris (1183) ; Cirium (1183) ; Cyres (1190) ; de molendinis de ciris (1207) ; in villa de cires (1207) ; Cire (1269) ; beati martini de ceris (1269) ; in territorio de cires (1244) ; Sire (vers 1270) ; Cires les mellou (1277) ; Ciroe (1294) ; Cyres juxta Mellotum (1294) ; Chires (vers 1380) ; Cires prez Mello (1414) ; Chir (XVe) ; Cirs (XVe) ; Cir les Marlou (XVe) ; Cires soubz tilliel (1517) ; Cires lez Mello (vers 1525) ; Cirre (vers 1570) ; Cire lez Mello (1665) ; Cir lez Mello (XVIIIe) ; Cires-lès-Mello (1840)[20].
À l'origine Cire était le nom d'un cours d'eau attesté sous les formes Chera (1180) ; Cheva (1180) ; Chire (XIVe) ; Cire (XIVe) ; Chere (XIVe)[21], le nom picard était Chire et le nom français Chère. La Chère prend sa source au village de Cauvigny[21]. Son nom était oublié des habitants, ils disent « le ruisseau de Cires » depuis 1946[21].
La préposition « lès » permet de signifier la proximité d'un lieu géographique par rapport à un autre lieu. En règle générale, il s'agit d'une localité qui tient à se situer par rapport à une ville voisine plus grande. La commune de Cires indique qu'elle se situe près de Mello.
Mello : Merloilum en 1039, probablement composé du latinmerula (merle) et du gailois -ialo, ce serait « (la) clairière du merle »[22].
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La première mention du village de Cires-lès-Mello remonte à 1170[23].
Le chemin de fer dessert le bourg en 1857 avec la mise en service de la gare de Cires-lès-Mello sur la ligne de Creil à Beauvais[24], facilitant les déplacements des habitants et le transport des marchandises.
Lors de la Première Guerre mondiale, Cires-lès-Mello se trouve à l'arrière du front et est un lieu de passage et de cantonnement des troupes françaises. Elle est épargnée des bombardements ennemis sauf durant la nuit du 20 au , date à laquelle un avion bombardier allemand détruit plusieurs immeubles de la commune et tue quatre civils[25].
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[27], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[28],[29].
La nouvelle intercommunalité, dont est membre la commune et dénommée communauté de communes Thelloise après avoir porté le nom provisoire de communauté de communes du Pays de Thelle et Ruraloise, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [30].
Lors du second tour des élections municipales de 2014 dans l'Oise, la liste DVD menée par Béatrice Basquin remporte la majorité des suffrages exprimés, avec 637 voix (43,18 %, 20 conseillers municipaux dont 6 communautaires), devançant les listes menées respectivement par[31] :
- Alain Guérinet, maire sortant (DVD, 583 voix, 39,52 %, 5 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Barbara Mlynarczyk (PG, 255 voix, 17,28 %, 2 conseillers municipaux élus.
Lors de ce scrutin, 33,33 % des électeurs se sont abstenus.
Lors du second tour des élections municipales de 2020 dans l'Oise[32], une quadrangulaire a lieu : la liste DVG menée par Alain Guerinet — maire de la commune de 1989 à 2001 et de 2008 à 2014 — remporte la majorité des suffrages exprimés, avec 419 voix (41,48 %, 20 conseillers municipaux élus, dont 3 communautaires), devançant largement les listes menées respectivement par[33] :
- Josiane Vandriessche (DVD, 300 voix, 29,70 %, 4 conseillers municipaux élus dont1 communautaire) ;
- Bertrand Vandewalle (DVD, 225, 22,27 %, 3 conseillers municipaux élus) ;
- Barbara Mlynarczyk (DVG, 66 voix, 6,53 %, pas d'élus) ;
lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 56,64 % des électeurs se sont abstenus.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[45].
En 2021, la commune comptait 3 989 habitants[Note 7], en évolution de +1,55 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 028 hommes pour 1 958 femmes, soit un taux de 50,88 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,3
90 ou +
0,7
4,7
75-89 ans
7,8
15,7
60-74 ans
16,9
20,5
45-59 ans
18,9
20,6
30-44 ans
21,2
17,3
15-29 ans
15,6
20,8
0-14 ans
18,8
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[48]
Château de Cires-lès-Mello, appelé le grand Mello ou le château de la princesse de Mello. Il accueillit plusieurs rois de France pour la chasse aux loups.
Église Saint-Martin, place de l'Église (classée monument historique en 1906[23],[49]) : de plan cruciforme, elle se compose d'une nef de quatre travées accompagnée de ses deux bas-côtés ; d'un transept ; d'un chœur au chevet plat d'une seule travée, et de deux chapelles. L'une est de faible profondeur et prolonge le croisillon nord vers l'est ; l'autre, plus grande, se trouve en face et présente extérieurement deux pans de mur obliques.
Le clocher du XVe siècle se dresse au-dessus de la première travée du bas-côté sud. Le chœur et le croisillon nord avec sa chapelle constituent les éléments les plus anciens et remontent à la fin du XIIe siècle, et la nef avec ses bas-côtés sont issus d'une seule campagne de construction vers 1230/ 1235.
Après l'écroulement des voûtes de la croisée du transept, du chœur, du croisillon sud et de la chapelle sud à la fin du Moyen Âge, ces parties sont totalement reconstruites dans le style gothique flamboyant, avec l'adjonction d'un porche devant le portail méridional, mais les voûtes sont simplement remplacées par des lattis de bois recouverts de plâtre. Tout le sol autour de l'église et à l'intérieur a été remblayé pour lutter contre les fréquentes crues du Thérain, ce qui confère à l'édifice une silhouette trapue, et les grandes arcades faisant communiquer la nef avec les bas-côtés paraissent trop basses.
Malgré ses dimensions modestes, l'église est riche d'une élévation sur trois étages, avec des galeries ouvertes sur les combles des bas-côtés et des fenêtres hautes. Les murs hauts de la nef sont confortés par des arcs-boutants. Comme particularités, les fenêtres hautes sont des triplets de baies en tiers-point sans remplage, disposition plus courante pour le chevet ou les extrémités du transept, et les galeries ne comportent qu'une unique baie par travée, en tiers-point et sans arc de décharge. Dans les deux cas, l'on peut parler d'une absence de raffinement. Dans son ensemble, l'église est bien conservée et n'a pas subi de restaurations importantes, ce qui en fait un édifice d'une grande authenticité[50],[51]
Ruine de la grange dîmière, rue des Petits-Prés et impasse de la Grange-aux-Dîmes (inscrite monument historique en 1926[52]) : Elle date du XIIIe siècle[52] et appartenait autrefois à l'Hôtel-Dieu de Mello. Subsistent le mur gouttereau nord avec les arrachements des voûtes d'ogives, et les deux murs pignons. Sur le contrefort occidental, prend appui une échauguette grâce à deux trompes.
Pavillon du Tillet, rue Grande du Tillet - RD 929 (inscrit monument historique par arrêté en 2008[53]) : Il s'agit d'une maison en pans de bois, de style néogothique et néo-Renaissance, ornée de riches décors sculptés. Ce pavillon provient de l'Exposition universelle de 1900, probablement du « quartier du Vieux Paris ». Il a été acquis par les propriétaires du château du Tillet et remonté au hameau du Tillet afin de servir de maison de gardien pour le château[53].
Chapelle du Tillet, du XIIe siècle et largement restaurée au XIXe siècle ainsi qu'après la Seconde Guerre mondiale. De plan rectangulaire à l'origine, elle a été dotée d'une abside à trois pans au XIXe siècle. Une voûte en carène renversée, très refaite, recouvre la partie ancienne tandis que l'abside reçoit une voûte à nervures retombant sur des consoles sculptées, dans l'esprit du gothique tardif. La chapelle contient une chaire de style gothique[54]
La ville de Cires-lès-Mello a une rue dédiée à saint Martin. Ce dernier serait passé à cheval (dans une rue appelée maintenant la rue Saint-Martin) et sa monture y aurait perdu un fer, détenu maintenant dans l'église ayant au-dessus de sa porte d'entrée une statue de saint Martin à cheval.
D'or au chevron de gueules, accompagnée au chef de deux fers à cheval de sable et en pointe un alérion du même, au chef d'azur chargé de trois merlettes d'or.
↑Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:06 TU à partir des 916 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/02/1948 au 01/06/2024.
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l'agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Cires-lès-Mello comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Juliette Duclos, « A Cires-lès-Mello, l'école « délabrée » va être restaurée : Après des mois de confrontation, les parents d'élèves de l'école Tillet, à Cires-lès-Mello, ont eu gain de cause et des travaux « d'urgence » vont être réalisés », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b« Cires-lès-Mello :première maire du village », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Alain Guérinet, maire sortant, maire de 1989 à 2001, battu de 13 voix en 2001, puis réélu maire en 2008, semble considérer avoir manqué de temps pour mener ses projets à terme ».
↑« Municipales2020: A Cires-les-Mello, l'école au cœur des programmes des candidats », Oise Hebdo, (lire en ligne, consulté le ).
↑Victor Fortunato, « L'ancien maire veut reprendre son fauteuil : Municipales 2001 », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le )« lain Guérinet, le maire sortant de Cires-lès-Mello, retrouvera Hubert Lioust sur sa route lors des prochaine élections municipales. Un adversaire qu'il connaît bien. En effet, Hubert Lioust, qui a officialisé sa candidature hier, n'est autre que l'ancien maire de cette commune. Mieux, les deux hommes étaient par le passé très unis. Ainsi, en 1989, Alain Guérinet avait été élu maire sur la liste de Hubert Lioust. En 1995, un accord était intervenu entre les deux hommes ».
↑V. F., « Hubert Lioust veut reconquérir son fauteuil », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le )« Depuis plusieurs semaines, l'ancien maire sillonne la commune pour faire connaître sa liste « Initiatives et progrès ». Celui qui avait perdu son fauteuil en 1989, à cause d'un écart infime de 21 voix, veut mettre tous les atouts de son côté pour faire vaciller Alain Guérinet, le maire, élu depuis onze ans alors qu'il figurait à l'époque sur la propre liste de Hubert Lioust (...) Hubert Lioust, qui fut adjoint au maire de 1977 à 1983 puis maire de Cires-les-Mello de 1983 à 1989, pense qu'il a toutes les chances de retrouver son fauteuil ».
↑Daniel Vernet, « Hubert Lioust retrouve son fauteuil », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le )« Hubert Lioust, 62 ans, retraité, a tout d'abord été élu par 19 voix contre 3 à Jean-Yves Lefèvre, le représentant de la liste de rassemblement des forces de gauche, et 5 bulletins blancs ».
↑« A Cires-lès-Mello, l'état des finances inquiète les Indignés », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne)« Aux affaires depuis 2014, la maire actuelle pointe du doigt la « gestion euphorique » de l'ancienne équipe, symbolisée par la construction d'un complexe sportif à ses yeux « surdimensionné » (3,5 M€) : « Il nous coûte 340 000 € par an en fonctionnement. On ne peut donc pas faire mieux que de réagir aux besoins urgents. On optimise, mais tous nos projets sont mis de côté. Et la baisse des aides d'Etat ne va rien arranger », déplore Béatrice Basquin (DVD). « Il y a des sous ! Quand on est parti, il y avait 543 000 € dans les caisses, et 891 000 € un an plus tard », rétorque son prédécesseur et opposant Alain Guérinet (DVD) ».
↑Otto Beaumont-Senn, « Cires-lès-Mello. Décès de l'ancienne maire Béatrice Basquin : Les habitants de Cires-lès-Mello (Oise) ont appris le décès de l'ancien maire Béatrice Basquin, a l'âge de 65 ans, mercredi 23 février », Oise Hebdo, 288/2/2022 (lire en ligne, consulté le ).
↑« Saucisses blanches et salade de pommes de terre… : Les amis allemands de Bruchmühlen étaient encore venus avec leurs spécialités au marché artisanal du comité de jumelage samedi dernier », L'Écho du Thelle, no 634, , p. 20« En cette 26e année de jumelage, une équipe de football allemande était venue ce jour disputer le tournoi international de Balagny-sur-Thérain ».
↑Maryse Bideault et Claudine Lautier, Île-de-France Gothique 1 : Les églises de la vallée de l'Oise et du Beauvaisis, Paris, A. Picard, , 412 p. (ISBN2-7084-0352-4), p. 170-175.