Civray-de-Touraine

Civray-de-Touraine
Civray-de-Touraine
Blason de Civray-de-Touraine
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Loches
Intercommunalité Communauté de communes Autour de Chenonceaux Bléré-Val de Cher
Maire
Mandat
Fanny Hermange
2020-2026
Code postal 37150
Code commune 37079
Démographie
Gentilé Civraisiens
Population
municipale
1 776 hab. (2021 en évolution de −3,74 % par rapport à 2015)
Densité 78 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 19′ 59″ nord, 1° 02′ 58″ est
Altitude Min. 46 m
Max. 129 m
Superficie 22,88 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Tours
(banlieue)
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bléré
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Civray-de-Touraine
Liens
Site web civraydetouraine.fr/

Civray-de-Touraine est une commune française du département d'Indre-et-Loire, dans la région Centre-Val de Loire.

Géographie

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Communes limitrophes de Civray-de-Touraine
Amboise Souvigny-de-Touraine
La Croix-en-Touraine Civray-de-Touraine Chenonceaux
Bléré Luzillé Francueil

Localisation et paysages

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Chemin situé en varenne du Cher, proche de la limite ouest de la commune

Une commune à cheval sur le Cher : seule commune de Touraine à s'étendre largement de part et d'autre du Cher, ce qui lui valut, d'ailleurs, d'être coupée en deux parties par la ligne de démarcation entre l'armistice de 1940 et novembre 1942 : l'une en zone occupée (nord), l'autre en zone non occupée (sud). Le terroir présente ainsi une grande variété : de la forêt d'Amboise en passant par les coteaux couverts de vignes, la Varenne humide en fond de vallée et au sud l'amorce du plateau de la Champeigne tourangelle.

Communes limitrophes : Amboise, Souvigny-de-Touraine, Chenonceaux, Francueil, Luzillé, Bléré (chef-lieu de canton), La Croix-en-Touraine.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Hydrographie

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Réseau hydrographique de Civray-de-Touraine.

La commune est traversée d'est en ouest par le Cher (1,756 km). Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 23,3 km, comprend également divers petits cours d'eau dont la Fosse Triomphe (0,621 km)[1],[2].

Le Cher, d'une longueur totale de 365,5 km, prend sa source à 714 mètres d'altitude à Mérinchal, dans la Creuse et se jette dans la Loire à Villandry, à 40 m d'altitude, après avoir traversé 117 communes[3]. Le Cher présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon du Cher tourangeau[4], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Tours [Pont Saint Sauveur]. Le débit mensuel moyen (calculé sur 53 ans pour cette station) varie de 25,8 m3/s au mois d'août à 192 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 1 000 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 4,96 m le [5],[6]. Ce cours d'eau est classé dans les listes 1[Note 1] et 2[Note 2] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit être géré, entretenu et équipé selon des règles définies par l'autorité administrative, en concertation avec le propriétaire ou, à défaut, l'exploitant[7],[8]. Sur le plan piscicole, le Cher est classé en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[9].

Deux zones humides[Note 3] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la prairie de Chenonceaux » et « l'étang de la Quantinerie »[10],[11].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 704 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Sublaines à 9 km à vol d'oiseau[14], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,3 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Au , Civray-de-Touraine est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tours[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 5],[19],[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[20]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (64,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (30,8 %), terres arables (25 %), cultures permanentes (15,4 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), zones urbanisées (7,7 %), prairies (3,9 %), eaux continentales[Note 7] (1,8 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Civray-de-Touraine est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cher. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2001, 2002, 2016 et 2018[26],[24].

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif d'Amboise, est classée au niveau de risque 3, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[27].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Civray-de-Touraine.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[28]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 94,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 862 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 666 sont en aléa moyen ou fort, soit 77 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[30].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1996 et par des mouvements de terrain en 1999, 2001 et 2012[24].

Le , Civray sur Cher est devenu Civray de Touraine.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1953 Marc Deschamps SFIO Président de cave coopérative
1953 1971 Henri Courault    
1971 1971 Marcel Avrin    
1971 1977 Virgile Girard PCF  
1977 1979 Jean-Claude Perochon    
1979 1983 Virgile Girard PCF  
1983 1995 Claude Bouchaud    
1995 1999 Christian Rocher   Agriculteur
1999 2018 Alain Bernard DVD Retraité Fonction publique
2018 En cours Fanny Hermange DVD Directrice générale des services dans une collectivité territoriale[31]

Population et société

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Démographie

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Écluse, barrage et pont de Civray de Touraine
Lavoir du village de la vallée de Mesvres inondé, le 31 mai 2016

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

En 2021, la commune comptait 1 776 habitants[Note 8], en évolution de −3,74 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8648989449721 0291 0451 0831 0871 116
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1521 1861 1491 1331 1601 1851 1971 1241 017
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0201 003976945900825839841947
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
9739181 0371 1581 3771 5231 6861 7131 815
2015 2020 2021 - - - - - -
1 8451 7821 776------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Civray-de-Touraine se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription d'Amboise.

L'école primaire Les 2 Rives accueille les élèves de la commune.

Culture locale et patrimoine

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Façade principale (sud) de la mairie

Lieux et monuments

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Église Saint Germain (XIIIe siècle)

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L'Église paroissiale fut classée monument historique en 1946. Elle est dédiée à saint Germain. En effet, au VIe siècle, Civray était un domaine appartenant à Germain de Paris, évêque de Paris. Les parties les plus anciennes de l'édifice ont aujourd'hui près de 900 ans puisqu'elles datent du XIIe siècle : il s'agit de la nef et du transept. Le chœur, à chevet plat et voûte angevine, date du XIIIIe siècle tout comme les trois vitraux retraçant la vie de saint Germain. À l'intérieur, une pierre d'autel armoriée (XVIIe siècle) provient du donjon de Mesvres. L'église occupe l'emplacement d'un sanctuaire plus ancien : on a retrouvé au XIXe siècle, les vestiges d'un baptistère carolingien (VIIIe siècle) équipé d'une cuve en poterie (un dolium) qui devait être à l'origine (IVe ou Ve siècle) une grande jarre utilisée pour le stockage du grain ; ce dolium est conservé à Tours par la Société archéologique de Touraine. Une partie des vitraux de l'église proviendrait de l'ancien prieuré de Montoussan, aujourd'hui en ruine et situé en forêt d'Amboise sur la commune de Souvigny de Touraine.

Donjon de Mesvres (XIIe-XVe siècle)

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Classé à l'inventaire des monuments historiques en 1932. La vallée de Mesvres se situe en limite ouest de la commune, à 3 km du centre-bourg. Il s'agit d'une petite agglomération longiligne qui s'étend sur près de 2 km, le long du ruisseau du même nom, lui-même affluent du Cher. Le château occupe une position centrale dans la vallée. Les parties les plus anciennes datent des XIIe et XIIIe siècles mais le bâtiment fut en grande partie reconstruit au XVe siècle. On peut encore voir la massive silhouette du donjon carré, équipé d'une bretèche sur la face sud. Une chapelle (désaffectée) lui est accolée. Des restes de douves et plusieurs souterrains sont également conservés.

L'ensemble d'éclusage sur le Cher

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Il est composé d'un barrage, d'une écluse et de sa maison-éclusière. On pouvait en effet remonter le Cher depuis Tours jusqu'à Saint-Aignan (Loir-et-Cher) et parvenir à Vierzon, Bourges et même Nevers par le canal du Berry. Les travaux d'aménagement remontent au XIXe siècle (le canal du Berry fut ouvert en 1828). Le barrage, haut de deux mètres est muni d'aiguilles que l'on retire en période de hautes eaux. La maison-éclusière porte les marques des deux grandes crues de mai et juin 1856. Pendant la dernière guerre, dans l'est du département et jusqu'à Bléré, la ligne de démarcation suivait le cours du Cher : Civray se trouvait donc coupé en deux entre zone occupée (au nord) et zone non-occupée (au sud) ; les barrage-écluses étaient alors des lieux stratégiques.

Autres monuments

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Château de Civray.
  • Château de la Grillonnière (XVe-XVIe siècle)
  • Logis de Diane (XVIe siècle)
  • Château de Civray-de-Touraine (XVIIIe siècle)
  • Manoir de Thoré (XIXe siècle)
  • Nombreux puits et lavoirs et quelques loges de vignes.

Personnalités liées à la commune

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Blasonnement

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Les armoiries de Civray-de-Touraine se blasonnent ainsi :

D'azur à un pont voûté d'une arche en ogive d'or, maçonné de sable, accompagné de trois tours d'argent aussi maçonnées de sable et ouvertes du champ, et surmonté d'une grappe de raisin tigée au naturel

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
  2. Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
  3. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Tours, il y a une ville-centre et 37 communes de banlieue.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de Civray-de-Touraine », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche Sandre - le Cher », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  4. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
  5. « Référentiel hydrométrique », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  6. « Station hydrométrique K6710910, le Cher à Tours [Pont Saint Sauveur] »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
  7. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  9. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  10. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  11. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  12. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tours », sur insee.fr (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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  28. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  31. « Fanny Hermange élue maire sans surprise », La Nouvelle République, .
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.