Clarens (Hautes-Pyrénées)

Clarens
Clarens (Hautes-Pyrénées)
Vue du village.
Blason de Clarens
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau de Lannemezan
Maire
Mandat
Alain Piaser
2020-2026
Code postal 65300
Code commune 65150
Démographie
Gentilé Clarensois
Population
municipale
491 hab. (2021 en évolution de −6,65 % par rapport à 2015)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 09′ 50″ nord, 0° 24′ 54″ est
Altitude Min. 406 m
Max. 602 m
Superficie 11,3 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Lannemezan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée de la Barousse
Législatives Première circonscription
Localisation
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Clarens
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Clarens
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Clarens
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Clarens

Clarens est une commune française située dans l'est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la région gasconne de Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, qui reprend une partie de l’ancien Nébouzan, qui possédait plusieurs enclaves au cœur de la province de Comminges et a évolué dans ses frontières jusqu’à plus ou moins disparaitre.

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Baïse, la Baïse Darré, la Galavette et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « tourbière de Clarens ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Clarens est une commune rurale qui compte 491 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan. Ses habitants sont appelés les Clarensois ou Clarensoises.

Géographie

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Localisation

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Carte

La commune de Clarens se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 29 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 24 km de Bagnères-de-Bigorre[2], sous-préfecture, et à 5 km de Lannemezan[3], bureau centralisateur du canton de la Vallée de la Barousse dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lannemezan[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Uglas (2,9 km), Réjaumont (2,9 km), Galez (3,0 km), Campistrous (3,3 km), Bonrepos (4,6 km), Tajan (4,7 km), Lannemezan (5,0 km), Houeydets (5,0 km).

Sur le plan historique et culturel, Clarens fait partie de la région gasconne de Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, qui reprend une partie de l’ancien Nébouzan, qui possédait plusieurs enclaves au cœur de la province de Comminges et a évolué dans ses frontières jusqu’à plus ou moins disparaitre[5].

Carte de la commune de Clarens et des proches communes.
Communes limitrophes de Clarens[6]
Galez Recurt Tajan
Campistrous Clarens Réjaumont
Lannemezan Uglas

Hydrographie

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Le Ruisseau de la Galavette, affluent de rive droite de la Petite Baïse, arrose la commune du sud au nord et forme la limite est avec la commune de Recurt.
Le Ruisseau de Larrieu, Ruisseau d'Estelle et le Ruisseau de Béryé affluents de la Galavette prennent leurs sources sur la commune.
La Baïse-Devant, arrose la commune du sud au nord et forme la limite sud-ouest avec la commune de Lannemezan.
La Baïse, arrose la commune du sud au nord et forme la limite nord-ouest avec la commune de Galez et Campistrous.
Les Ruisseaux de Boute Sansou, de Batmale, de Boute Peyrot, de Sirès, affluents de rive droite de la Baïse, prennent leurs sources sur la commune et l'arrose en partie ouest.
Un canal d'irrigation provenant du Canal de la Neste traverse la commune en direction du Gers au nord.

Le climat est tempéré de type océanique, en raison de l'influence proche de l'océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

Données climatiques à Clarens.
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1 2 4 6 9 13 15 15 12 9 4 2 7,7
Température moyenne (°C) 5,2 5,6 8,4 10,1 13,8 17,8 18,6 18,8 16,4 13,5 7,5 5,5 11,8
Température maximale moyenne (°C) 10 11 14 15 19 22 25 25 23 19 14 11 17,3
Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
Précipitations (mm) 98,6 63,3 99 108,2 137 87,1 72,6 70,5 69,5 81,9 101,4 97,4 1 086
Source : Climatologie mensuelle à la station de Lannemezan / Campistrous de 2000-2010


Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « tourbière de Clarens »[8], d'une superficie de 139 ha, le plus bel ensemble tourbeux de piémont des Pyrénées en Midi-Pyrénées encore intact, avec une très bonne représentation du très rare Spiranthe d'Été[9].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[10] : les « tourbières de Clarens » (231 ha), couvrant 2 communes du département[11].

Au , Clarens est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (65,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (60,4 %), forêts (30,5 %), zones urbanisées (7,6 %), prairies (1,5 %)[12].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Le château d’eau en 2018.

En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 225[I 5].
Parmi ces logements, 89,8 % sont des résidences principales, 6,2 % des résidences secondaires et 4,0 % des logements vacants.

Voies de communication et transports

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Cette commune est desservie par la route départementale D 10.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Clarens est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Petite Baïse, la Baïse Darré et la Galavette. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[15]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2006, 2007 et 2009[16],[13].

Clarens est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[17]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Clarens.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[18].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 243 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 243 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[13].

Risque technologique

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].

Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Clarens au nord de Lannemezan

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[22] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

Étymologie : du nom de personnage latin Clarentius, employé ici sans suffixe : domaine de Clarentius.

Nom occitan : Clarenç.

Cadastre napoléonien de Clarens

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Le plan cadastral napoléonien de Clarens est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[23].

Politique et administration

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La mairie en 2012.
Le foyer rural en 2018

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1995 mars 2014 Jany Castet    
mars 2014 en cours Alain Piaser PS Maître de conférences

Rattachements administratifs et électoraux

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La mairie en 2018.

Historique administratif

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Sénéchaussée de Toulouse, élection de Rivière-Verdun, seigneurie de Clarens, canton de Lannemezan (depuis 1790)[24].

Intercommunalité

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Clarens appartient à la communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses créée en janvier 2017 et qui réunit 57 communes.

Services publics

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27]. En 2021, la commune comptait 491 habitants[Note 5], en évolution de −6,65 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
340340328379423473442490486
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
462456476452450428419410409
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
418404418368312274281284273
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
299330330346375394436448501
2018 2021 - - - - - - -
497491-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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L'école primaire en 2018.

La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2017[30].

En 2018, la commune compte 216 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 511 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 520 [I 6] (20 420  dans le département[I 7]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 8] 3,1 % 5,3 % 2 %
Département[I 9] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 302 personnes, parmi lesquelles on compte 75,5 % d'actifs (73,5 % ayant un emploi et 2 % de chômeurs) et 24,5 % d'inactifs[Note 7],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lannemezan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 11]. Elle compte 52 emplois en 2018, contre 67 en 2013 et 43 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 225, soit un indicateur de concentration d'emploi de 23 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,1 %[I 12].

Sur ces 225 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 24 travaillent dans la commune, soit 11 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 92 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3 % les transports en commun, 2,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Clarens compte de nombreuses exploitations agricoles tournées vers la culture céréalière, l'élevage extensif équin et ovin, la basse-cour (dont une ferme solaire).

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Forêt et chemins de randonnée

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La forêt et ses routes forestières sont propices aux balades.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason Blasonnement :
Parti : au premier d'or aux trois pals de gueules, au second d'azur à la cloche d'or posée en barre.

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[7].
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Clarens ».
  2. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lannemezan », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. Insee : Rapport statistique communal pour la ville de Clarens
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Clarens » (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Clarens » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Clarens » (consulté le ).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Stephan Georg, « Distance entre Clarens et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Clarens et Bagnères-de-Bigorre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Clarens et Lannemezan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Clarens », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 341-342.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  8. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Clarens », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « site Natura 2000 FR7300940 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Liste des ZNIEFF de la commune de Clarens », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « ZNIEFF les « tourbières de Clarens » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Clarens », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  17. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 », sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Clarens », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs des Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  22. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
  23. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Clarens en 1829
  24. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
  25. « Liste des juridictions compétentes pour Clarens (Hautes-Pyrénées) », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).