Clugnat

Clugnat
Clugnat
Mairie
Blason de Clugnat
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Communauté de communes Creuse Confluence
Maire
Mandat
Yves Thomazon
2020-2026
Code postal 23270
Code commune 23064
Démographie
Gentilé Clugnatois
Population
municipale
650 hab. (2021 en évolution de +0,78 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 18′ 33″ nord, 2° 07′ 09″ est
Altitude Min. 287 m
Max. 537 m
Superficie 42,42 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Boussac
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Clugnat

Clugnat est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine. Elle compte 653 habitants (en 2020), appelés les Clugnatois et les Clugnatoises.

Géographie

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Généralités

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Clugnat fait partie du département de la Creuse (23) situé dans la Com-Com du Pays de Boussac (Creuse), à 7 km de Châtelus-Malvaleix, à 28 km de Guéret et 11 km de Boussac. C'est une petite bourgade située à la confluence de deux cours d'eau, le Verraux et la Petite Creuse.

La commune de Clugnat se compose principalement de son bourg mais aussi de nombreux hameaux.

Les altitudes minimum et maximum de Clugnat sont respectivement de 287 m et 537 m. La mairie est située à 340 mètres environ.

La superficie de Clugnat est de 42,42 km2, soit 4 242 hectares.

Communes limitrophes

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Clugnat est limitrophe de dix autres communes. Au sud, son territoire est limitrophe sur 250 mètres de celui de Parsac-Rimondeix.


Communes limitrophes de Clugnat
Saint-Dizier-les-Domaines Bétête Malleret-Boussac
Jalesches Clugnat Toulx-Sainte-Croix,
Saint-Silvain-sous-Toulx
Ladapeyre Blaudeix Domeyrot,
Parsac-Rimondeix

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 900 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boussac à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 896,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité

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La protection réglementaire est le mode d'intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9].

L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire.

Une ZNIEFF est recensée sur la commune d'après l'INPN[9].

Dans leur traversée du territoire communal, l'intégralité des vallées du Verraux et de son affluent le rio Buzet (et non Bazet) font partie de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2[Note 1] « vallée du Verraux et ruisseaux affluents (Fragne, Clavérolles, rio Buzet) »[10],[11] ; elle s'étend sur environ 3,8 km2 du territoire communal, soit environ 36 % de la superficie totale de la ZNIEFF.

Ce site est remarquable par la présence de douze espèces déterminantes d'animaux (un insecte, un mammifère, sept oiseaux et trois poissons) et quatre de plantes phanérogames[12].

Au , Clugnat est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14] et hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (39,8 %), zones agricoles hétérogènes (29,2 %), forêts (26,1 %), terres arables (4 %), zones urbanisées (0,9 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Clugnat est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Petite Creuse et le Verraux. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[20],[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Clugnat.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 31,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 581 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 146 sont en aléa moyen ou fort, soit 25 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Clugnat est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[23].

Étymologie

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Le nom a évolué de Cluniaco, en 1158, à Clunac vers l'an 1300. On trouve ensuite Clunhac, en 1436 ; Clunacum ou Clugnacum, en 1522 ; puis Cluniac, Clugnac ou Cluniaco [24] (surement suivant si la personne parlais marchois, langue d'oc ou langue d'oil) ; le 28 octobre 1728 la graphie officielle devient Clugnac [25] ; enfin en 1814 : Clugnat [26].

Préhistoire

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Aucun vestige préhistorique n’est signalé sur la commune avant les investigations de Michel Gallemard († mai 2020, fondateur du musée archéologique de Clugnat et de l'association « Clugnat… A la recherche du passé ») et de ses collègues prospecteurs[27], commencées au tournant des années 2000. Depuis le début des recherches, une quinzaine de sites ont été mis au jour sur les plateaux situés de part et d’autre de la Petite Creuse[28].

Les Tailles du Clou

Le site de plein air des Tailles du Clou, à quelque 1 km au nord-ouest du bourg, s'étend sur environ 1 ha. Il a été découvert en 2003 par Gallemard[29]. Il inclut une succession d'occupations depuis le Paléolithique moyen jusqu'au Néolithique final. Pasty, Gallemard & Alix (2013) en ont étudié en particulier l'industrie gravettienne, qu'ils rattachent au Gravettien supérieur par défaut d'outils marqueurs du Gravettien ancien (pas de pointes de la Font-Robert et fléchettes) et du Gravettien moyen (pas de burins de Noailles et du Raysse)[30].

Découvertes romaines

Début 1862, un laboureur à découvert un sépultre de pierre de forme conique, et une urne cinéraire de verre. Parmi les cendres et les os calcinés, elle contenait une petite figurine de Vénus Anadyomène, d'argile blanche[31].

Clugnat faisait partie du comté de la Marche. Ce territoire fut détaché au Xe siècle de la province du Limousin pour lutter contre les Normands. Il fut ensuite morcelé en fiefs aux frontières mouvantes : Haute Marche (autour de Guéret), Vicomté de Bridiers (La Souterraine), Basse Marche (autour du Dorat)[32] .

Au XIIe siècle des terres de Clugnat appartenait à l'Abbaye de Prébenoit (moines cicterciens)[33].

Pour le reste, Clugnat faisait partie des terres du domaine du château de Crozant[34].

Au XVIe siècle, on peut lire (dans la description du Berry et diocèse[35]) Paroisse de Cluignact (encore une autre écriture) en laquelle sont sept lieux nobles de Chastellaz, Baptisses, du Cloz, Estables, La Veyrie, La Boissacte, et la Villatelle. (audict Cluignat y a un Prieuré valant 300 livres)

Le département de la Creuse est créé par la Révolution française le 4 mars 1790, en application de la loi des 22 décembre 1789 suivant le décret de la division de la France en départements, essentiellement à partir de l'ancienne province comté de la Marche.

Culture et tradition

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Sur la commune est encore parlé un parler du dialecte marchois. Ce dernier est un parler du Croissant, zone linguistique où l'occitan se mélange à la langue d'oïl[36].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1793 Jean Desmaisons    
1793 1807 Michel De Larigauderie    
1808 1816 Jean-Baptiste Decourteix    
1816 1825 Antoine Cousset    
Novembre 1825 Janvier 1834 Jean-Baptiste Decourteix    
Janvier 1834 1840 Pierre Montagne    
1840 1848 Joseph Delaneau    
1848 1852 Pierre Montagne    
1852 1878 Pierre-Paul Devilber    
1878 1882 Ernest Peyrot    
avril 1884 ? ou 1882 mai 1908 Annet Gallemard    
mai 1908 mai 1925 Antoine Jannet    
mai 1925 mai 1929 Jean Turquet   Médecin
mai 1929 mai 1935 Jean Pinet    
mai 1935 février 1944 Albert Auberger    
février 1944 1983 Marc Jannet    
1983 Juin 1995 Marcelle Faure    
Juin 1995 Mars 2001 Michel Boissit PCF  
Mars 2001 Mai 2014 Guy Tallot   Eveleur de bovins
Mai 2014 en cours Yves Thomazon   Commercial en nutrition animale
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].

En 2021, la commune comptait 650 habitants[Note 2], en évolution de +0,78 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 9891 7251 7431 8611 9962 1232 1452 3042 287
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2502 2202 0682 1572 1912 2002 2082 1442 109
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0292 0902 0281 5651 4611 4061 3081 1391 027
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 004916836809752687654647709
2015 2020 2021 - - - - - -
645653650------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Activités et divertissements

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  • Des sentiers VTT ont été aménagés et fléchés.
  • L'association Lo Ch'mi propose des randonnées pédestres, 2 circuits de 7 et 12,5 km Rando-fiches mairie Clugnat.
  • Étang communal, les rivières Le Verraux et La Petite Creuse
  • Le marché a lieu les premiers samedis du mois (matin).

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Les 7 petits ponts de bois fait de piliers de maçonnerie et de madriers, le plus représentatifs étant celui en contrebas de la Croix de Georges et enjambant le Verrau appelé pont de Georges.
  • Une multitude de fontaines et de croix en granit sillonnent la commune, celles-ci se trouvaient au croisement des chemins ou à la sortie des villages.
  • Le presbytère construit en 1727.
  • L'église Saint-Martial[41] des XIIe et XIIIe siècles, inscrite à l'Inventaire supplémentaire des Monuments historiques en 1969.

Elle possède un clocheton en arceaux ainsi que des fresques murales intérieures qui datent du XVe – XVIe siècle. Sur le mur de gauche, on peut observer : saint Georges combattant le dragon, le Christ en Croix et quelques autres dessins. Les autres murs sont également ornés mais faute de travaux ceux-ci sont cachés.

  • Le monument aux morts de France représentant une allégorie: le coq français terrassant l'aigle allemand au sommet, ainsi que l'allégorie de la victoire et de la mort créé par le sculpteur Marius Saïn (1877-1961) .
  • La chapelle Saint-Jean-Baptiste, édifice du XIIe siècle reconstruit en 1879 abritant le chef reliquaire de saint Jean-Baptiste daté de 1605, classé Monument historique au titre des objets mobiliers[42].
  • Une fouille archéologique de la place Saint-Jean a été opérée en 2009 à l’emplacement de l’ancienne église Saint-Jean et de son cimetière. Si le site était connu par de nombreuses découvertes de sarcophages au cours du temps, il n’avait jusqu’alors pas fait l’objet de fouilles coordonnées. Plusieurs fragments de céramique et de silex indiquent une occupation humaine dans ce secteur dès la période protohistorique, puis une première implantation gallo-romaine sur le bas de la place, attestée par la présence d’un bâtiment très arasé. Quelques fragments de poteries gallo-romaines ont été recueillis, permettant de placer chronologiquement cette occupation dès le Ier s. apr. J.-C., pour perdurer au moins jusqu’au IIIe s. À l’ouest de ce bâtiment se développe une nécropole mérovingienne avec la présence de sépultures de onze sarcophages caractéristiques de cette époque (cuve de forme trapézoïdale)[43].

Personnalités liées à la commune

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  • Maurice Thorez (1900-1964) fut réfugié au Hameau des Forges pendant la Grande Guerre avec son grand-père mineur et militant guesdiste, Clément Baudry[44]..
  • Jean Turquet (1867-1945) médecin et explorateur des zones polaires français[44] et maire de la commune de Clugnat.
  • Georges Piquand (1876-1955) chirurgien en chef de l'hôpital de Montluçon,il s'est fait connaître par ses travaux historiques et ethnographiques sur le Bourbonnais (Domaine Auvergnat) et fut un acteur majeur de la reconstruction de la chapelle Saint-Jean-Baptiste.

Bibliographie

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  • Adrien Vernet (1875 - 1912) Etude sur la vie humaine. Une vie de larmes, livre évoquant Clugnat et ses habitants (écrit vers 1880).
  • Janine Rapinat (1923 - 2019) Clugnat Recherche sur l'histoire et la commune de Clugnat et ses environs en (1990)[45] .
  • Michel Gallemard (1940 - 2020) Contribution à l’étude du peuplement préhistorique de la vallée de la Petite Creuse : bilan de dix ans de prospection sur la commune de Clugnat et ses marges (Creuse), étude scientifique [46]. Il fut aussi fondateur du musée archéologique de Clugnat et de l'association "Clugnat ... A la recherche du passé"

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Clugnat et Boussac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Boussac_sapc » (commune de Boussac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Boussac_sapc » (commune de Boussac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  9. a et b « Liste des espaces protégés sur la commune de Clugnat », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « ZNIEFF Vallée du Verraux à Clugnat (en vert) » sur Géoportail. Carte de la ZNIEFF de type 2], consulté le .
  11. « Vallée du rio Buzet à Clugnat (en vert) » sur Géoportail. Carte de la ZNIEFF de type 2], consulté le .
  12. [PDF] Chabrol, Espaces naturels du Limousin, Vallée du Verraux et ruisseaux affluents (Fragne, Clavérolles, rio Bazet) - (Identifiant national 740120126), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  14. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Clugnat », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Clugnat », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  24. Registres paroissiaux et de l'état civil de Clugnat ref. 62Edépôt/GG1
  25. Registres paroissiaux et de l'état civil de Clugnat réf. 62Edépôt/GG2, p. 207.
  26. Registres paroissiaux et de l'état civil de Clugnat réf. 4E77/9, 1813-1822, p. 226.
  27. Virginie Mayet, « Une poignée d’amateurs d’archéologie et de Préhistoire exposent leurs trésors et guident le visiteur », sur lamontagne.fr, (consulté en ).
  28. [Pasty, Alix & Gallemard 2013] Jean-François Pasty, Philippe Alix et Michel Gallemard, « Contribution à l’étude du peuplement préhistorique de la vallée de la Petite Creuse : bilan de dix ans de prospection sur la commune de Clugnat et ses marges (Creuse) », Revue archéologique du Centre de la France, t. 52,‎ , p. 49-98 (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté en ).
  29. [Pasty 2012] « Le site à occupations multiples des Tailles du Clou à Clugnat », Mémoires de la Société des sciences naturelles, archéologiques et historiques de la Creuse, t. 58,‎ , p. 5-42 (lire en ligne [sur academia.edu], consulté en ).
  30. [Pasty, Gallemard & Alix 2013] Jean-Francois Pasty, Michel Gallemard et Philippe Alix, « Identification d’une composante gravettienne sur le site de plein air des Tailles du Clou à Clugnat (Creuse, France) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 110, no 2,‎ , p. 213-231 (lire en ligne [sur persee]), résumé.
  31. Comité des travaux historique et scientifiques (Dixième observation avril 1868)
  32. Miquel (17-17 ? ; aîné) Cartographe et Miquel (17-18 ? ; cadet) Cartographe, « Carte générale de la France. 012, [Évaux-Les-Bains]. N°12. Flle 56 / [établie sous la direction de César-François Cassini de Thury] », sur Gallica, 1760-1762 (consulté le ).
  33. Les moines cisterciens et l'agriculture : la haute marche au XIIe siècle / par Gabriel Martin
  34. Le Château de Crozant et ses rapports avec le Bourbonnais : avec planches / par M. l'abbé Joseph Clément,...
  35. voir "Description du Berry et diocèse de Bourges au XVIe siècle par Nicolas de Nicolay" transcrit par M. Victor ADVIELLE
  36. « Atlas sonore des langues régionales de France », sur atlas.limsi.fr ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, Paris, CNRS, .
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. « Église Saint-Martial », notice no PA00100048, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « POP : la plateforme ouverte du patrimoine - chef-reliquaire de saint Jean-Baptiste », .
  43. Jacques Roger, « Clugnat – Place Saint-Jean », .
  44. a et b www.fil-info-france
  45. Janine Rapinat, Clugnat, , 298 p. (ISBN 9782307134954)
  46. Jean-François Pasty, Philippe Alix et Michel Gallemard, « Contribution à l’étude du peuplement préhistorique de la vallée de la Petite Creuse : bilan de dix ans de prospection sur la commune de Clugnat et ses marges (Creuse) », OpenEdition,‎ (ISSN 0220-6617, lire en ligne)
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).