Colayrac-Saint-Cirq

Colayrac-Saint-Cirq
Colayrac-Saint-Cirq
La mairie de Colayrac-Saint-Cirq en 2019.
Blason de Colayrac-Saint-Cirq
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité Agglomération d'Agen
Maire
Mandat
Pascal de Sermet
2020-2026
Code postal 47450
Code commune 47069
Démographie
Gentilé Colayracais, Colayracoises
Population
municipale
3 138 hab. (2021 en évolution de +4,98 % par rapport à 2015)
Densité 147 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 13′ 19″ nord, 0° 33′ 15″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 191 m
Superficie 21,36 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Agen
(banlieue)
Aire d'attraction Agen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de l'Ouest agenais
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Colayrac-Saint-Cirq
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Colayrac-Saint-Cirq
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Voir sur la carte topographique de Lot-et-Garonne
Colayrac-Saint-Cirq
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Colayrac-Saint-Cirq
Liens
Site web Site de la mairie

Colayrac-Saint-Cirq est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Elle est une des 44 communes composant l'Agglomération d'Agen.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Dans la moitié sud du département de Lot-et-Garonne, Colayrac-Saint-Cirq est une commune de l'aire d'attraction d'Agen située dans son unité urbaine, au nord-ouest d'Agen en pays de l'Agenais.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Colayrac-Saint-Cirq est limitrophe de sept autres communes. Les communes limitrophes sont Madaillan, Sainte-Colombe-en-Bruilhois, Agen, Brax, Foulayronnes, Le Passage, Saint-Hilaire-de-Lusignan et Sérignac-sur-Garonne.

Communes limitrophes de Colayrac-Saint-Cirq[1]
Saint-Hilaire-de-Lusignan Madaillan
Sérignac-sur-Garonne Colayrac-Saint-Cirq Foulayronnes
Sainte-Colombe-en-Bruilhois Brax, Le Passage Agen
Ville Paris Marseille Toulouse Nantes Montpellier Bordeaux Périgueux
Distance 617 km 514 km 110 km 456 km 351 km 146 km 136 km
source : données selon les cartes Michelin.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Bordée au sud sur plus de huit kilomètres par la Garonne, la commune est bordée à l'ouest sur six kilomètres par son affluent le ruisseau de Bourbon, et arrosée à l'est par le ruisseau de Ségone — autre affluent de la Garonne — sur plus de quatre kilomètres.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 780 mm, avec 9,3 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estillac à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 708,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Colayrac-Saint-Cirq est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Agen[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 16 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (80,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,8 %), terres arables (14,3 %), forêts (14,3 %), prairies (11,4 %), zones urbanisées (10 %), eaux continentales[Note 4] (5,4 %), cultures permanentes (1,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Le réseau Tempo exploité par la société Keolis Agen et dessert les communes de l'agglomération d'Agen, en remplacement du réseau Transbus.

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Colayrac-Saint-Cirq est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d’Agen, regroupant 20 communes concernées par un risque de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[17]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1435, 1875, 1930, 1712, 1770 et 1952. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[18]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2009, 2019 et 2021[19],[15].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[20]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Colayrac-Saint-Cirq.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[22]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1991, 2002, 2003, 2005, 2009, 2011, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

La première partie du nom de la commune correspond soit à un nom d'homme latin Collarius, soit à un sobriquet (collarium signifiant collier), suivi du suffixe -acum[24], indiquant le « domaine de Collarius » ou le « domaine du collier ». La seconde partie du nom fait référence à saint Cyr, honoré dans l'ancienne église paroissiale du hameau de Saint-Cirq, dont les formes occitanes du nom, à partir de Cyricus, sont notamment Circ et Cirgue.

La première mention écrite du lieu, dans un acte ancien, est celui de « Tricheries », qui constituaient au Moyen Âge un vaste domaine. L'histoire de Colayrac-Saint-Cirq commence à partir d'un petit hameau surplombant le village appelé Montréal (Mont du Roi) où fut construite en 1308 une bastide.

En 1351, Charles II, roi de Navarre le rasa. Seule la paroisse subsiste mais pour peu de temps puisqu'un pharmacien rachète l'église et se hâte de la démolir. Seul le village de Saint-Cirq en contrebas résiste.

Au XIVe siècle, les seigneurs de Madaillan occupèrent partiellement le territoire de Saint-Cirq.

Le village fut une zone de passage fort empruntée pendant la guerre de Cent Ans ou encore les guerres de religion qui ensanglantèrent la région. Vers 1649, un groupe de religieuses s'installa à Saint-Cirq et une église fut construite.

Le , la commune prend le nom de Colayrac Saint-Cirq. Une fusion de Colayrac et de Saint-Cirq se fait et le préfet propose d'associer les deux noms c'est ainsi que naît, le , la commune de Colayrac-Saint-Cirq[pas clair].

Mais l'acteur principal de l'expansion du village est bien évidemment la Garonne. L'importance croissante du trafic des marchandises et le point d'implantation stratégique de la ville ont contribué au développement du port. L'activité fluviale était essentiellement axée sur le commerce de produits locaux.

L'agriculture est en développement dans le village et à la fin du XIXe siècle, la culture des arbres fruitiers et des oignons bat son plein. En 1890, la production d'asperges est introduite.

Depuis, Colayrac-Saint-Cirq vit de son agriculture, continuant de jouir de la solide réputation de ses terres[25] [source insuffisante].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1959 juin 1995 Henri Peberay   Agriculteur
juin 1995 mars 2014 François Chalmel DVD Officier supérieur en retraite
mars 2014
(réélu en mai 2020)
En cours Pascal de Sermet de Tournefort LR Gérant d'actifs immobiliers

Structure administrative

[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 2015, Colayrac-Saint-Cirq fait partie du canton d'Agen-Nord, il devient par le décret no 2014-257 du , le bureau centralisateur du canton de l'Ouest agenais (canton no 15) comprenant onze communes.

Drapeau de l'Italie San Fior (Italie).

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Les habitants de Colayrac-Saint-Cirq sont appelés les Colayracais et Colayracaises.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 3 138 habitants[Note 6], en évolution de +4,98 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
1 6091 5931 7861 8501 8951 9391 9871 9131 827
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 7431 7371 6981 6081 6361 6191 6031 5181 420
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 3411 3051 2601 3681 3491 4451 6431 8171 873
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
2 3292 5512 6452 6532 7172 8232 8592 8763 106
2021 - - - - - - - -
3 138--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pour la santé, la commune dépend beaucoup d'Agen :

  • l’hôpital Saint-Esprit au nord d'Agen ;
  • la clinique Calabet ;
  • la clinique Saint-Hilaire Esquirol ;
  • l’hôpital de Monbran ;
  • l’hôpital psychiatrique-la Candélie à Foulayronnes.

Basket, football, pétanque, rugby, tennis

Presse écrite

[modifier | modifier le code]

On peut trouver dans la commune plusieurs types de journaux, Sud Ouest (siège à Bordeaux) avec une actualité régionale, Le Petit Bleu de Lot-et-Garonne journal de l'Agenais ou La Dépêche du Midi actualité du Lot-et-Garonne.

Quatre radios émettent des décrochages à destination de l'agglomération agenaise :

  • Virgin Agen (89.8 FM) ;
  • 47 FM (87.7 FM), créée en 2007 ;
  • ARL (95.9 FM) ;
  • Radio Bulle (93.6 FM) ;
  • Espoir FM (93.1 FM), créée en 1981.

Télévision

[modifier | modifier le code]

Dans le département de Lot-et-Garonne la seule chaîne régionale est celle de France 3 Atlantique.

Possibilité d'avoir les programmes de la TNT.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Église de l'Immaculée-Conception[30].
  • Église Saint-Cirq-et-Sainte-Julitte de Saint-Cirq[31].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Colayrac-Saint-Cirq Blason
Tranché, de gueules au léopard d'or, et d'azur à trois fasces ondées d'argent ; à la cotice d'or brochant sur le tout.
Devise
"So que l'homme lu donno, la terro sat li tourna" (Ce que l'homme lui donne, la terre sait lui rendre)
Détails
Officiel, adopté le , créé par Roger Séré[32].

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Agen comprend une ville-centre et 15 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Carte IGN sous Géoportail.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Colayrac-Saint-Cirq et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Agen-La Garenne » (commune d'Estillac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Agen-La Garenne » (commune d'Estillac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 d'Agen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Colayrac-Saint-Cirq ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Agen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Colayrac-Saint-Cirq », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Cartographie des risques d'inondations du TRI d’Agen », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Colayrac-Saint-Cirq », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 200..
  25. colayrac-saint-cirq.fr
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Église de l'Immaculée-Conception, Observatoire du patrimoine religieux, consulté le 18 juin 2019.
  31. Église Saint-Cirq et Sainte-Julitte (Saint-Cirq), Clochers de France, consulté le 18 juin 2019.
  32. La Banque du blason - 47069.