Conseils utiles à la personne qui appose le bandeau
1.
Préciser le motif de la pose du bandeau.
Précisez le motif de la pose du bandeau en utilisant la syntaxe suivante :
{{admissibilité à vérifier|date=juin 2024|motif=remplacez ce texte par le motif}}
ou
Créer l'espace de discussion. (cette méthode est préférable)
Créez une section "Admissibilité" en page de discussion de l'article en y précisant le motif de la pose du bandeau. Dans ce cas, utilisez la syntaxe suivante :
{{admissibilité à vérifier|date=juin 2024|motif=pdd}}
2.
Informer les utilisateurs concernés.
Pensez à avertir le créateur de l'article, par exemple, en insérant le code ci-dessous sur sa page de discussion :
Confer, le plus souvent utilisé sous la forme abrégée « cf. »[1], et parfois également abrégé « conf. » ou « cfr »[2] (sans point), est une expression latine utilisée en français et dans d’autres langues pour inviter le lecteur à consulter un autre ouvrage, ou un autre passage du même ouvrage[3]. Selon les usages en matière d'édition, cette abréviation ne s'écrit pas en italique[4], contrairement aux autres abréviations d'origine latine, comme i. e. ou op. cit..
L'expression est une forme du verbeconferre, qui signifie « rapprocher », « joindre », « réunir »[5], à la deuxième personne du singulier de l'impératifprésent[6]. Elle peut donc se traduire par « compare, rapproche » ou « mets en parallèle ». En français, elle a pris le sens de « se reporter à » ou « voir »[6],[7].
En biologie, « cf. » est employé, dans la nomenclature binomiale, pour indiquer qu’un spécimen ressemble à une espèce connue sans en avoir toutes les caractéristiques. Il peut s'agir d'une espèce proche, d'une variété ou d'une simple forme atypique. Par exemple, « Laccaria cf. laccata » désigne un laccaire proche du très polymorphelaccaire laqué ; on peut comprendre cette indication comme signifiant « voir dans le groupe de laccata ». L’abréviation s'utilise souvent lorsqu'une identification laisse un doute minime qu'une analyse plus poussée, microscopique ou génétique, aurait permis de lever ; on peut alors l’interpréter comme signifiant « quasiment », « probablement » ou « vraisemblablement »[12].
↑(de) J. G. Flügel, Triglotte, oder Kaufmännisches Wörterbuch in drei Sprachen: Deutsch-englisch-französisch. Français-Anglais-Allemand, vol. 3, Leipzig, [s.n.], , 358 p., in-8° (présentation en ligne, lire en ligne), p. 6.