Date | 28 juin 2006 - en cours |
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Lieu | Bande de Gaza |
Issue |
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Ehud Olmert (2006-2009) Ehud Barak (2006-2013) Gabi Ashkenazi (2006-2011) Benny Gantz (2006-2015) Benjamin Netanyahu (2009-2021/2022-présent) Naftali Bennett (2021-2022) |
Ismaël Haniyeh † Khaled Mechaal Saïd Seyam † Mohammed Deïf † Abou Zakaria al Djamal † Ahmed Jaabari † Tawfik Jaber † Oussama Mazini (en) † Nizar Rayyan † Mahmoud al-Zahar Ramadan Shallah † Abdelaziz Awda Ayman al-Fayed (en) † Ayman al-Shashniya Zuheïr al-Qaïssi (en) † Imad Hammad † Nayef Hawatmeh Abou Khaled Ahmad Saadat (POW) Talal Naji Ahmed Jibril † Hicham Salim (jusqu'en 2019) |
Abdallah al-Ashqar Mumtaz Doghmush (en) Mohammad Namnam † Islam Yassif † Hicham Al-Saedni † Ashraf al-Sabah † Abdel Latif Moussa (en) † Mahmoud Taleb (POW) Abu Ayna Al-Ansari Younès Hunnar (en) † Youssef al-Hatar † |
Batailles
Chronologie
Attaques et massacres
Voir aussi
Le conflit Gaza-Israël est une partie localisée du conflit israélo-palestinien. Le conflit a commencé avec le retrait israélien de Gaza en 2005. Après ce retrait, le Hamas a remporté les élections législatives palestiniennes de 2006, et une guerre civile entre le Hamas et le Fatah en 2007 a abouti à la prise de contrôle de Gaza par le Hamas. Par la suite, un conflit entre les autorités du Hamas et des forces d'Al-Qaïda et de Daech apparait.
Après la prise de pouvoir du Hamas, Israël a imposé un blocus étendu de la bande de Gaza, soutenu par l'Égypte, qui a dévasté l'économie de Gaza. Depuis 2006, le Hamas et Israël ont mené cinq guerres, la plus récente en 2023[2].
Le conflit est également le théâtre d'une lutte de pouvoir entre les puissances régionales, notamment l'Égypte, l'Iran, la Turquie et le Qatar, soutenant les différentes parties au conflit à la lumière de l'impasse régionale entre l'Iran et l'Arabie saoudite[3].
Selon les ONG et l’ONU, les récentes guerres et le blocus ont conduit à une détérioration des conditions de vie à Gaza, qui pourrait devenir invivable d’ici 2020[4],[5].
La situation humanitaire à Gaza a été qualifiée de « crise » et de « catastrophe »[6],[7]. En raison du siège israélien , Gaza est confrontée à des pénuries de carburant, de nourriture, de médicaments, d'eau et de fournitures médicales. Le 13 octobre, le commissaire de l'UNRWA, Philippe Lazzarini , a déclaré : « L'ampleur et la rapidité de la crise humanitaire qui se déroule sont effrayantes[8]. »
En raison du conflit, Israël a intensifié ses mesures de défense dans les communautés et villes du sud d’Israël. Cela comprend la construction de fortifications sur les structures existantes et les abris anti-bombes, le développement d'un système d'alarme (couleur rouge) et la construction d'un système de défense aérienne (Dôme de fer)[9]