Cookie jar | |
Création | 1976 |
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Disparition | |
Fondateurs | Micheline Charest et Ronald A. Weinberg |
Siège social | Toronto |
Activité | Production télévisuelle (d) et animation |
Société mère | DHX Media |
Société précédente | FilmFair (en) et Diffusion Information Communication |
Société suivante | WildBrain |
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Cookie Jar Entertainment, anciennement nommé Cinar est un studio d'animation canadien fondé le 20 juillet 1976 par Micheline Charest et son mari Ronald A. Weinberg au Canada.
Les activités initiales de Cinar se consacraient à l'animation. En 1993, Cinar est devenu un organisme public.[réf. nécessaire]
En 1988, Cinar a fondé la maison d'édition Les Éditions de la Rue Saint-André.
Cinar a déménagé de la rue Saint-André, en 1994, au boulevard René-Lévesque Est, toujours à Montréal.
Le studio a été renommé Cookie Jar Entertainment le .
En , Cookie Jar rachète le studio Diffusion Information Communication[1].
Le , Cinar a été reconnue coupable de violation de droits d'auteur envers Claude Robinson pour la création et diffusion frauduleuse de la série pour enfant Robinson Sucroë[2]. Ce jugement ayant été porté en appel, les trois juges de la Cour d'appel ont confirmé le verdict le , accordant cependant une diminution de moitié des dommages à payer à M. Robinson. Un appel à la Cour suprême du Canada a été auditionné le . Le jugement de la Cour suprême du Canada est donnée , la Cour ordonne au consortium de Cinar et France Animation de payer 4 millions de dollars pour avoir plagié l'œuvre de Claude Robinson[3].
En , Cinar a reconnu qu'elle n'avait pas respecté les règles de financement des productions télévisuelles canadiennes, ce qui lui avait permis d'obtenir des montants supérieurs de différentes instances financières canadiennes[4].
Le , DHX Media annonce son intention d'acheter Cookie Jar Group pour 111 millions d'USD[5],[6],[7], acquisition finalisée en [8],[9].
Le , la Cour suprême du Canada donna, à l'unanimité, raison à Claude Robinson et oblige Cinar à lui payer 4 millions de dollars canadiens en dommages-intérêts et en honoraires extrajudiciaires, mettant fin à une bataille judiciaire de 18 ans[10],[11].