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InChI :vue 3D InChI=1/C22H19Cl2NO3/c1-22(2)17(12-19(23)24)20(22)21(26)28-18(13-25)14-7-6-10-16(11-14)27-15-8-4-3-5-9-15/h3-12,17-18,20H,1-2H3/t17?,18-,20?/m1/s1
Apparence
liquide jaune,visqueux ou pate, d'odeur caracteristique[1].
H302 : Nocif en cas d'ingestion H332 : Nocif par inhalation H335 : Peut irriter les voies respiratoires H410 : Très toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets à long terme
Attention
H302, H315, H317, H335 et H410
H302 : Nocif en cas d'ingestion H315 : Provoque une irritation cutanée H317 : Peut provoquer une allergie cutanée H335 : Peut irriter les voies respiratoires H410 : Très toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets à long terme
pour l’Union européenne : cette substance active est inscrite à l’annexe I de la directive 91/414/CEE par la directive 2005/53/CE. A souligner que le produit actif du SARPECO est la cyperméthrine, pyréthrinoïde de synthèse, l’une des douze substances prioritaires (dicofol, acide perfluorooctane sulfonique et ses dérivés (perfluoro-octanesulfonate PFOS), quinoxyfène, dioxines et composés de type dioxine, aclonifène, bifénox, cybutryne, cyperméthrine, dichlorvos, hexabromocyclododécanes (HBCDD), heptachlore et époxyde d'heptachlore, terbutryne) identifiées lors de l’adoption de la nouvelle directive sur les substances prioritaires dans l’eau (Directive 2013/39/UE du )[4], laquelle modifie la directive 2000/60/CE (Directive Cadre Eau) qui recense les substances prioritaires et la directive 2008/105/CE établissant des normes de qualité environnementales dans le domaine de l’eau. Les États membres devront la transposer avant le .
pour la France : cette substance active a été autorisée dans la composition de certaines préparations phytopharmaceutiques (ex : Forester étudié en 2008 par l'Anses[5]) et a bénéficié d'une autorisation de mise sur le marché. En 2016, une dérogation permet encore à certains opérateurs forestiers d'utiliser ce pesticide de façon exclusive et dérogatoire (depuis 15 ans à la suite des tempêtes de 1999) en pulvérisation sur les bois en bord de forêt.
pour la Suisse : cette substance active est autorisée en culture conventionnelle sous conditions. Elle n’est pas autorisée en bio et ne figure pas dans la Liste des intrants de l'Institut de recherche de l’agriculture biologique FiBL[6]. Pour répondre aux différentes exigences liées à l'obtention des paiements directs, une autorisation spéciale doit être demandée à l'autorité cantonale compétente avant chaque utilisation. Les conditions sont précisées dans l'Ordonnance sur les paiements directs versés dans l’agriculture[7].
Les caractéristiques physico-chimiques dont l'ordre de grandeur est indiqué ci-après, influencent les risques de transfert de cette substance active vers les eaux, et le risque de pollution des eaux :
Coefficient de partage carbone organique-eau : > 2 000cm3·g-1. Ce paramètre, noté Koc, représente le potentiel de rétention de cette substance active sur la matière organique du sol. La mobilité de la matière active est réduite par son absorption sur les particules du sol.
Durée de demi-vie : 60[8] jours. Ce paramètre, noté DT50, représente le potentiel de dégradation de cette substance active, et sa vitesse de dégradation dans le sol.