Céaux-d'Allègre

Céaux-d'Allègre
Céaux-d'Allègre
Vue du village de Céaux-d'Allègre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Le Puy-en-Velay
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Puy-en-Velay
Maire
Mandat
Maguy Masse
2020-2026
Code postal 43270
Code commune 43043
Démographie
Population
municipale
479 hab. (2021 en évolution de +1,7 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 10′ 55″ nord, 3° 44′ 53″ est
Altitude Min. 834 m
Max. 1 144 m
Superficie 32,41 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Paulien
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Céaux-d'Allègre

Céaux-d'Allègre est une commune française située dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Céaux-d'Allègre se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Elle se situe à 25 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, et à 11 km de Saint-Paulien[2], bureau centralisateur du canton de Saint-Paulien dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Allègre (3,5 km), Vernassal (5,0 km), Monlet (5,0 km), Lissac (5,6 km), Saint-Geneys-près-Saint-Paulien (6,4 km), Saint-Paulien (7,2 km), Bellevue-la-Montagne (7,2 km), Fix-Saint-Geneys (7,6 km).

Communes limitrophes de Céaux-d'Allègre
Monlet Bellevue-la-Montagne
Allègre Céaux-d'Allègre Saint-Geneys-près-Saint-Paulien
Vernassal Lissac Saint-Paulien

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du Massif Central  » et « Sud-est du Massif Central »[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 840 mm, avec 8,6 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Allègre », sur la commune d'Allègre à 3 km à vol d'oiseau[6], est de 8,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 908,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Céaux-d'Allègre est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,3 %), forêts (36 %), prairies (24,5 %), terres arables (1,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 369, alors qu'il était de 339 en 2013 et de 346 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 63,2 % étaient des résidences principales, 26,1 % des résidences secondaires et 10,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 7,7 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Céaux-d'Allègre en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (26,1 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (89 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Céaux-d'Allègre en 2018.
Typologie Céaux-d'Allègre[I 2] Haute-Loire[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 63,2 71,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 26,1 16,1 9,7
Logements vacants (en %) 10,7 12,4 8,2

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Céaux-d'Allègre est membre de la communauté d'agglomération du Puy-en-Velay[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Le Puy-en-Velay. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[14].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Paulien pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[15].

Élections municipales et communautaires

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Élections de 2020

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Le conseil municipal de Céaux-d'Allègre, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[16] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[17]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. Sur les douze candidats en lice[18], onze sont élus dès le premier tour, le , correspondant à la totalité des sièges à pourvoir, avec un taux de participation de 48,05 %[19]. Maguy Masse, maire sortante, est réélue pour un nouveau mandat le [20].

Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[21]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté d'agglomération du Puy-en-Velay[22].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Pierre Malhomme DVG  
mars 2008 En cours
(au 27 août 2014)
Mme Maguy Masse[23] DVD Employée

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 479 habitants[Note 3], en évolution de +1,7 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2941 3071 3551 3771 4951 5151 5351 6091 614
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4401 4151 4521 4401 6001 4715164891 380
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3191 3181 3011 0531 009970919870807
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
771676621511428412452471476
2021 - - - - - - - -
479--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,5 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 245 hommes pour 227 femmes, soit un taux de 51,91 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 7]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,8 
12,1 
75-89 ans
11,7 
20,8 
60-74 ans
20,2 
26,0 
45-59 ans
21,1 
12,8 
30-44 ans
15,9 
12,7 
15-29 ans
13,7 
15,2 
0-14 ans
15,6 
Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2021 en pourcentage[I 8]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,5 
8,4 
75-89 ans
11,7 
20,4 
60-74 ans
20,5 
21,3 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16,3 
15,2 
15-29 ans
13,2 
17 
0-14 ans
15,6 

En 2018, la commune compte 211 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 461 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 170 [I 9] (20 800  dans le département[I 10]).

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 11] 5,7 % 5,8 % 5,8 %
Département[I 12] 6,3 % 7,7 % 7,7 %
France entière[I 13] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 275 personnes, parmi lesquelles on compte 76,9 % d'actifs (71,1 % ayant un emploi et 5,8 % de chômeurs) et 23,1 % d'inactifs[Note 5],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 14]. Elle compte 66 emplois en 2018, contre 78 en 2013 et 69 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 198, soit un indicateur de concentration d'emploi de 33,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,5 %[I 15].

Sur ces 198 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 58 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 79,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 19,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Au centre du village, se trouve l'église Saint-Jean-Baptiste, inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [28]. Faisant aussi office de point de rendez-vous pour les habitants, il y est encore célébré la messe les dimanches en alternance avec d'autres villages alentour.

Château de la Borie-Chambarel

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Construit au XIIIe siècle dans le style caractéristique de la région du Velay, cette ancienne maison forte a subi des modifications à ses ouvertures au XVe siècle et à d'autres périodes ultérieures. Avec une forme presque carrée, la structure est agrémentée de quatre tours et est prolongée par une aile de dépendances. À l'intérieur, l'authenticité a été préservée, avec la conservation de quelques ensembles de décoration pratiquement complets, notamment dans la salle à manger, le salon de style Louis XV et une chambre avec un lit-clos[29].

Château de Courbière

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Ce château, érigé au XIIIe siècle par les valeureux chevaliers de Bar, renommés pour leur participation aux Croisades, est devenu la propriété des seigneurs de Courbières à partir de l'an 1200. Au cours du XVe siècle, d'importants travaux de restauration ont été entrepris. Au XVIIe siècle, des modifications ont été apportées à la toiture, et de nouvelles ouvertures ont été créées. Le donjon médiéval, de forme carrée, agrémenté d'une tourelle d'escalier à l'angle nord-est, a été modernisé au XVIIIe siècle, avec l'ajout de fenêtres et la construction d'un corps de logis. Les intérieurs ont également été embellis au XVIIIe siècle avec des éléments décoratifs tels que des boiseries, des toiles peintes, du papier peint, des peintures murales et des cheminées. À cette même période, une nouvelle aile a été édifiée à l'angle nord-est du donjon[30].

Monument aux morts

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Monuments aux morts de Céaux-d'Allègre.

Un monument aux morts est érigé dans le bas de la commune, permettant de garder en mémoire les hommes tombés aux combats lors de la Première Guerre mondiale et de la Seconde Guerre mondiale. Il s'agit des hommes résidant auparavant à Céaux-d'Allègre ainsi que dans les alentours de la commune.

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c d e et f Insee, « Métadonnées de la commune de Céaux-d'Allègre ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Céaux-d'Allègre » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Céaux-d'Allègre - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Céaux-d'Allègre - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Céaux-d'Allègre (43043) », (consulté le ).
  8. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
  9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Céaux-d'Allègre » (consulté le ).
  10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  11. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Céaux-d'Allègre » (consulté le ).
  12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  15. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Céaux-d'Allègre » (consulté le ).
  16. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  17. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Stephan Georg, « Distance entre Céaux-d'Allègre et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Céaux-d'Allègre et Saint-Paulien », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Céaux-d'Allègre », sur villorama.com (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Céaux-d'Allègre et Allègre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Allègre », sur la commune d'Allègre - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Allègre », sur la commune d'Allègre - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « communauté d'agglomération du Puy-en-Velay - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  15. « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  16. Article L. 252 du Code électoral
  17. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1000 habitants », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  18. « Candidatures au 1er tour pour Céaux-d'Allègre », sur site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  19. « Résultats du 1er tour pour Céaux-d'Allègre », sur le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  20. « Répertoire national des élus - version du 3 septembre 2020 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Conseillers communautaires : les règles de l'élection », sur vie-publique.fr (consulté le ).
  22. « Elections municipales et communautaires 2020 dans la Haute-Loire - nombre de conseillers municipaux et communautaires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur haute-loire.gouv.fr (consulté le ).
  23. Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 27 août 2014).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Église Saint-Jean-Baptiste », notice no PA00092630, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  29. « Maison forte ou château de la Borie-Chambarel », notice no PA00092631, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  30. « Château de Courbière », notice no PA00092629, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Articles connexes

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Liens externes

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