Césarches

Césarches
Césarches
Le lieu-dit du Grand Village, à l’entrée de la commune, en septembre 2024.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Albertville
Intercommunalité Communauté d'agglomération Arlysère
Maire
Mandat
Hervé Muraz-Dulaurier
2020-2026
Code postal 73200
Code commune 73061
Démographie
Gentilé Césarchois
Population
municipale
420 hab. (2021 en évolution de −1,18 % par rapport à 2015)
Densité 145 hab./km2
Population
agglomération
43 225 hab.
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 06″ nord, 6° 24′ 45″ est
Altitude 656 m
Min. 347 m
Max. 964 m
Superficie 2,9 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Albertville
(banlieue)
Aire d'attraction Albertville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ugine
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Césarches
Liens
Site web cesarches.fr

Césarches est une commune française située dans le département de la Savoie en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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La commune de Césarches est située à 2 km de la ville et sous-préfecture de la Savoie, Albertville[1]. Le territoire de la commune se trouve entre la rive gauche de la rivière Arly, et sur la rive droite du Doron de Beaufort, qui marque la limite communale sur ses parties est et sud[1]. Le terrain pentu de la section ouest se trouve sur le Mont Cornillon[1]. La commune est reliée à Queige par le col de Montessuit.

La superficie de la commune est de 290 ha[1],[2].

Césarches et les communes voisines.
Césarches et les communes voisines.
Rose des vents Thénésol Marthod Rose des vents
N Queige
O    Césarches    E
S
Pallud Venthon

La commune comporte plusieurs villages ou lieux-dits. Voici la description qu'en donne le chanoine Joseph Garin (1876-1947) en 1939 : « Du nord au sud (...) : des Combes, près de la rive gauche de l'Arly ; de Posteris un peu plus haut dans la colline ; des Molliex sur le flanc ouest de Cornillon ; du chef-lieu ou Grand Village (...), à l'altitude de 420 mètres, (...). Puis vient Montessuit, sur la lisière méridionale de la forêt de Cornillon ; le Plan, assis sur le beau et fertile plateau qui domine, au nord, les gorges du Doron ; les Côtes, enfin qui surplombent le verdoyant défilé qui sépare Césarches de Venthon[1]. »

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 594 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ugine », sur la commune d'Ugine à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 398,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Césarches est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Albertville[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 17 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Albertville, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (67,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,2 %), zones agricoles hétérogènes (22,1 %), prairies (15,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %)[14].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Le toponyme Césarches est mentionné pour la première fois dans les sources en 1170 avec Ecclesia de Sesarches[15],[16]. L'année suivante la forme donnée est Cesarchis, puis Cesarchiis au début du XIIIe[15],[16]. Au XIIIe siècle, on trouve un Dominus Sesarchiarum et au siècle suivant Sésarches[15],[16]. Sur le cadastre sarde (1732), la commune est mentionnée sous la forme Cézarches[15],[16].

Le chanoine Adolphe Gros[15] (1935) suivi par l'abbé Marius Hudry[2] rappellent que certains auteurs anciens ont voulu y voir une référence à César, considérant que le général romain avait pu camper dans les environs. Ils soulignent toutefois que le toponyme doit plutôt trouver son origine dans l'évolution en langue romane du mot casarica, qui désigne une cabane ou un ensemble de cabanes[15],[16] ou des maisons en ruine[17].

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Steuzhorst, selon la graphie de Conflans[18].

La paroisse de Césarches apparait pour la première fois dans les sources par la mention de l'Ecclesia de Sesarches en 1170[15],[16],[19]. Il s'agit d'un partage de bénéfices entre l'archevêque de Tarentaise et ses chanoines, dans lequel est précisé que l'archevêque Pierre II de Tarentaise garde pour lui l'argent de Césarches et Cornillon[19]. D'autres mentions sont faites en 1184 et 1226[15],[16], dans des bulles des papes Lucius III et Honorius III[19]. La paroisse dépend donc directement du prélat tarin[20]. Au cours du XIVe siècle, elle semble devenir une annexe de la paroisse voisine de Venthon[20].

Au cours de la période féodale, Césarches appartient au XIIIe siècle, probablement dès le XIIe siècle, aux seigneurs de Cornillon[2],[21]. Rivaux des seigneurs de Beaufort, ces derniers obtiennent le fief de Césarches, avant de le passer au début du XIVe siècle à la famille du Verger qui le garde jusqu'au XVIIe siècle[2],[21]. Le fief passe au noble Claude (de) Chapot, puis par mariage La Croix de Pradel d'Authurin au XVIIe siècle[2],[21]. Il reste dans cette famille jusqu'à l'invasion du duché de Savoie par les troupes révolutionnaires françaises en 1792[21].

Au XVIIIe siècle, à la demande de l'archevêque, des travaux de rénovation sont entrepris dans le chœur de l'église[20]. Les travaux débutent grâce au soutien du sieur Louis de Pradel La Croix[20].

Le , le dernier seigneur de La Croix affranchit les habitants pour 1 800 livres[2].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1971 mars 1972 Jean Mermier ... ...
mars 1972 mars 1989 Noël Billet PS ...
mars 1989 mars 2001 Robert Perrier ... ...
mars 2001 mars 2008 François Alex ... ...
mars 2008 mars 2014 Arlette Perrillat ... ...
mars 2014 En cours
(au avril 2014)
Hervé Muraz-Dulaurier ... ...
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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Les habitants de la commune sont appelés les Césarchois(es)[22].

La majeure partie des habitants réside au lieu-dit du « plan ». Des hameaux plus isolés constituent le reste de la population de la commune.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

En 2021, la commune comptait 420 habitants[Note 4], en évolution de −1,18 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
255230262240258293256243221
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
229227239232291357341354307
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
266267272256281333303278289
1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021 -
300325357378384416428420-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

La population est principalement installée dans les villages, situés sur les replats, du chef-lieu ou Grand-Village, Césarches et les Combes[2].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La commune ne compte aucun lieu ou monument répertorié à l’inventaire des monuments historiques ou à celui du patrimoine culturel.

Patrimoine religieux

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L’église communale, dédiée à Saint-Maurice, est située au chef-lieu, de même qu’une chapelle installée en face de l’école.

Photographie en couleurs du monument aux morts de Césarches.
Le monument aux morts de Césarches.

Le monument aux morts est situé à côté de l’église et a été inauguré le [27], moins de deux ans après la signature de l’Armistice. Le nom de l’architecte n’est pas connu. Le monument, de type funéraire catholique, prend la forme d’une pierre tombale surmontée d’une croix latine[27]. Deux inscriptions sont gravées sur la stèle : « La commune de Césarches à ses enfants morts pour la France » en partie haute, et « Pro Patria » en partie basse[27],[28].

11 noms sont gravés sur le monument, accompagnés du régiment, du lieu et de la date de décès[28]. Excepté le dernier lié au conflit en Afghanistan, les autres sont tous tombés lors de la Première Guerre mondiale[28].

Le château de Cornillon, construit au XIIe siècle, est un ancien château fort, aujourd'hui en ruines. Il se trouve sur la commune de Queige, en limite avec Césarches.

Le château de Césarches, disparu, se situait au niveau du chef-lieu[1], à l'emplacement de la mairie et qui pour nom également château de La Croix[2].

Une légende raconte qu'il existait autre fois un passage souterrain entre le château de la Croix et celui de Cornillon.

Vie culturelle

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Photographie en couleurs d’un bâtiment de trois étages jaune avec un grillage en bas et des arbres en arrière-plan.
L’école bibliothèque communale en septembre 2024.

Une bibliothèque existe sous l'école primaire de la commune. Les habitants de Césarches ont créé un club de jeux de société : L'Antre du Joueur.

Une association de parents d'élèves appelée "le Sou des écoles" réalise des manifestations pour permettre à l'école de financer des sorties extrascolaires[29].

Par ailleurs, plusieurs manifestations sont organisées tout au long de l'année dans la salle des fêtes de la commune.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Césarches Blason
De gueules au carreau d'or; au chef d'argent chargé de deux cors d'azur, l'embouchure à dextre[30].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Albertville comprend une ville-centre et 16 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

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  1. a b c d e et f Garin, 1939, p. 47 (lire en ligne).
  2. a b c d e f g et h Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 64.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Césarches et Ugine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ugine », sur la commune d'Ugine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Ugine », sur la commune d'Ugine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 d'Albertville », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Césarches ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Albertville », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b c d e f g et h Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 125..
  16. a b c d e f et g Henry Suter, « Césarches », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
  17. Hubert Bessat et Claudette Germi, Les noms du patrimoine alpin : Atlas toponymique II, Savoie, Vallée d'Aoste, Dauphiné, Provence, vol. 2, Ellug, , 464 p. (ISBN 978-2-84310-052-9, lire en ligne), p. 217, 219.
  18. Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 16
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  19. a b et c Garin, 1939, p. 49 (lire en ligne).
  20. a b c et d Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 64, « paroisse ».
  21. a b c et d Garin, 1939, p. 48 (lire en ligne).
  22. « Césarches », Accueil > Ressources > Communes, le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. a b et c Christian Sorrel, Les monuments aux morts de la Savoie, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 159 p. (ISBN 978-2-84206-573-7), p. 23.
  28. a b et c « Césarches (73200) » Accès libre, sur monuments-aux-morts.fr, Laboratoire UMR CNRS IRHiS Institut de Recherches Historiques du Septentrion Université de Lille (consulté le ).
  29. Site du Sou des écoles.
  30. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.