La diaspora indonésienne désigne l'ensemble des personnes d'origine indonésienne établies en dehors de l'Indonésie. Le terme s'applique aussi bien aux Indonésiens de naissance qu'aux descendants d'Indonésiens, qu'ils soient citoyens indonésiens ou d'un autre pays.
Beaucoup d'Indonésiens vont à l'étranger comme étudiants ou travailleurs (ces derniers désignés par le sigle "TKI", tenaga kerja Indonesia ou "main-d'œuvre indonésienne"). La plupart vont en Malaisie, aux EAU, en Corée du Sud, au Japon, à Singapour, aux Pays-Bas, aux États-Unis et en Australie.
Environ 2 500 000 Indonésiens vivent en Malaisie. Depuis des siècles, des personnes originaires de Sumatra, Java, Kalimantan et Célèbes y émigrent. Les Malaisiens d'ascendance indonésienne se comptent par millions et sont catégorisés "Malais", même s'ils sont d'autres origines ethniques indonésiennes.
Il y a environ 39 000 citoyens indonésiens vivant au Qatar d'après l'ambassade indonésienne[1].
Selon l'ambassade indonésienne au Singapour, en 2010 il y a 180.000 citoyens d’Indonésie au Singapour. Autant que 80 000 travaillent comme domestiques/TKI, 10.000 sont des mariniers, et les autres sont soit des étudiants ou des professionnels. Cependant, le nombre est peut-être plus haut, parce que les Indonésiens n'ont pas besoin d'enregistrer le domicile, alors le nombre est possiblement environ 200.000. Les citoyens singapouriens d'ascendance malaise constituent la majorité de la population malaise au Singapour.
Texte anglais à traduire :
Indonesia was the colony of the Netherlands. In the early 20th century, many Indonesian students studied in the Netherlands. Most of them lived in Leiden and were active in the Perhimpoenan Indonesia (Indonesian Association). During the Indonesian National Revolution, many Moluccans and Indo people, people of mixed Dutch and Indonesian ancestry migrated to the Netherlands. Most of them were ex-KNIL army. In this way around 12,500 persons were settled in the Netherlands. Giovanni van Bronckhorst, Denny Landzaat, Roy Makaay, Mia Audina, and Daniel Sahuleka are notable people of Indonesian ancestry from the Netherlands.
L'Indonésie était une colonie néerlandaise. Au début du XXe siècle, beaucoup d'étudiants indonésiens ont étudié aux Pays-Bas. La plupart d'entre eux vivait à Leyde et était actif au sein de l'association Perhimpoenan Indonesia. Durant la révolution indonésienne, beaucoup de Molucans et d’Indonésiens, issus des unions mixtes de couple indo-néerlandais ont migré vers les Pays-Bas. De cette manière, près de 12 500 citoyens indonésiens se sont installés aux Pays-Bas
Texte anglais à traduire :
Aux États-Unis, la plupart des Indonésiens sont des étudiants et des professionnels. Boston et Harvard sont des exemples des universités préférées par les Indonésiens. Dans la Silicon Valley, région de la Caroline du Nord, il y a beaucoup de professionnels Américano-Indonésiens qui sont ingénieurs dans l'industrie high-tech qui sont employés dans des compagnies telles que Cisco Systems, KLA Tencor, Google, Yahoo, Sun Microsystems, et IBM. Sehat Sutardja, CEO de Mavell Technology Group, est un des professionnels indonésiens à succès aux États-Unis[2].
En Avril 2011, le Special English service de Voice of America rapportait aux Universités Américaines de recruter plus d'Indonésiens pour étudier aux États-Unis dans le cadre d'atteindre des économies à croissance rapide comme l'Indonésie afin de rivaliser avec les universités préférées des étudiants en Australie, à Singapour et en Malaisie [3].
Texte anglais à traduire :
Most of Indonesians in Saudi Arabia are female domestic workers, with a minority of other types of labour migrants and students. Most of the santri extension studied in Saudi, as well as Islamic University in Madina.
Texte anglais à traduire :
Before Dutch and British sailors arrived in Australia, Indonesians from Southern Sulawesi have explored the Australia northern coast. Each year, the Bugis sailors would sail down on the northwestern monsoon in their wooden pinisi. They would stay in Australia for several months to trade and take tripang (or dried sea cucumber) before returning to Makassar on the dry season off shore winds. These trading voyages continued until 1907.[réf. nécessaire]
Nowadays, mostly Indonesian whose reside in Australia are either foreign students or workers, the main ethnic group mostly are the Chinese from Indonesia.
Texte anglais à traduire :
The Indonesian people, mainly Javanese, make up 15% of the population of Suriname. In the 19th century, the Dutch sent the Javanese to Suriname as contract workers in plantations. The most famous person of Indonesian descent is Paul Somohardjo as the speaker of the National Assembly of Suriname[4].
Texte anglais à traduire :
In 2013 approximately 20,000 Indonesians living in Japan, including about 3,000 illegal Indonesians. These numbers dropped from the previous years because of various reasons, reasons include the high cost of living in Japan and the difficulties to find jobs in Japan. Most of them are in Japan for short term and deportation remains high for Indonesian residents.
Texte anglais à traduire :
Indonesian are the second largest foreigner group after Filipino, mainly are the female domestic helper from Java Island, there are also several Chinese Indonesians family and student that reside in Hong Kong. Central and Wan Chai are the main district that mostly Indonesians living in.
Environ 5100 Indonésiens sont installés en France[5].