Dolus-d'Oléron

Dolus-d'Oléron
Dolus-d'Oléron
La Grande-Rue, artère historique du centre-ville. Au second plan, le clocher de l'église Saint-André (XVIIe siècle).
Blason de Dolus-d'Oléron
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Rochefort
Intercommunalité Communauté de communes de l'île d'Oléron
Maire
Mandat
Thibault Brechkoff
2020-2026
Code postal 17550
Code commune 17140
Démographie
Gentilé Dolusiens
Population
municipale
3 155 hab. (2021 en évolution de −3,34 % par rapport à 2015)
Densité 109 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 54′ 43″ nord, 1° 15′ 35″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 20 m
Superficie 29,02 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Dolus-d'Oléron
(ville isolée)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de l'Île d'Oléron
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Dolus-d'Oléron
Liens
Site web www.ville-dolus-oleron.fr

Dolus-d’Oléron [dɔlys dɔleʁɔ̃] est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Dolusiens et les Dolusiennes[1].

Géographie

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L'anse de la Perroche.

Localisée dans la partie méridionale de l'île d’Oléron, cette cité commerçante de plus de 3 200 habitants est située à peu près à égale distance de Saint-Pierre-d’Oléron et du Château-d'Oléron, les deux principales villes de l'île. Pôle économique majeur du Pays Marennes-Oléron, elle abrite une importante zone d’activité comprenant un des principaux hypermarchés de l’île et plusieurs dizaines d’entreprises et de commerces de toutes sortes. Bénéficiant d’une double façade maritime – sur l’océan Atlantique à l’ouest et sur la rade des Basques à l’est, elle compte sur la présence de plusieurs plages et d’une anse naturelle, l’anse de la Perroche, où de petits bateaux de plaisance viennent mouiller. La commune accueille également un des principaux centres aquatiques du département.

En dehors du centre-ville historique, Dolus-d’Oléron se compose de nombreux « villages » (Grand Deau, Petit Deau, La Berguerie, Les Bardières...) à l’identité forte, organisation traditionnelle de l’habitat sur l’île, qui tendent cependant à être rattrapés par l’urbanisation. L’un des principaux est La Perroche, qui conserve un prieuré roman du début du XIIe siècle.

Sur un plan plus général, la commune de Dolus-d'Oléron est localisée dans la partie sud-ouest de la France[Note 1], au centre de la côte atlantique dont elle est riveraine, faisant partie du « Midi atlantique »[2].

Au , Dolus-d'Oléron est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dolus-d'Oléron, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[4],[5]. La commune est en outre hors attraction des villes[6],[7].

La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[8]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[9].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (33,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (40,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (26,9 %), zones agricoles hétérogènes (21,1 %), zones humides côtières (19,2 %), zones urbanisées (14,4 %), prairies (8,7 %), terres arables (2,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,1 %), cultures permanentes (1,7 %), zones humides intérieures (0,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,5 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Dolus-d'Oléron est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[11]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[12].

Risques naturels

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La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) du littoral charentais-maritime, regroupant 40 communes concernées par un risque de submersion marine de la zone côtière, un des 21 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne et confirmé en 2018 lors du second cycle de la Directive inondation, mais annulé en 2020[13]. Les submersions marines les plus marquantes des XXe et XXIe siècles antérieures à 2019 sont celles liées à la tempête du , à la tempête du , aux tempêtes Lothar et Martin des 26 et et à la tempête Xynthia des 27 et . D’une violence exceptionnelle, la tempête Xynthia a fortement endommagé le littoral de la Charente Maritime : douze personnes ont perdu la vie (essentiellement par noyade), des centaines de familles ont dû être relogées, et, sur un linéaire de l’ordre de 400 km de côte et de 225 km de défenses contre la mer, environ la moitié de ces ouvrages a subi des dommages plus ou moins importants. C’est environ 5 000 à 6 000 bâtiments qui ont été submergés et 40 000 ha de terres agricoles[14]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[15],[11].

Dolus-d'Oléron est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif de l'Ile d’Oléron, un massif classé à risque dans le plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI), élaboré pour la période 2017-2026 et qui fait suite à un plan 2007-2016[16]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’article L.131-1 du code forestier et l’arrêté du règlementent l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions[17]. Un autre arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 2],[16],[18],[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Dolus-d'Oléron.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[20].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 64,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 4 210 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 544 sont en aléa moyen ou fort, soit 60 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2005, 2011, 2017 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[11].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].

L'édification de plusieurs constructions mégalithiques sur l'île atteste d'une présence humaine dès le Néolithique. Ces monuments sont désormais détruit, déplacé ou enseveli :

  • Le mégalithe de La Parée, désormais détruit, était composé de deux pierres. La première de forme arrondie mesurait 2 m de long sur 1,50 m de large pour une épaisseur de 0,60 m. Elle était légèrement creusée en auge. La pierre, en forme de disque (diamètre 2 m pour 0,50 m d'épaisseur), était surnommée le Palet de Gargantua par les habitants de l'île. L'ensemble laisse supposer qu'il s'agissait d'une pierre close, du même type que les Pierres Closes de Charras.
  • La Galoche de Gargantua se dressait en limite de commune, près du hameau de Pinturbat, le long du chemin menant de Saint-Pierre à Dolus. Il a été depuis déplacé au Musée de l'Île d'Oléron. Sur sa face supérieure, on peut observer une cupule.
  • La Piare des Brandes était une énorme pierre visible à marée basse dans le chenal des Brandes. Désormais enseveli sous les sédiments depuis le début du XIXe siècle, il n'est plus possible de déterminer le type de ce mégalithe.

La commune est mentionnée pour la première fois en 1391[24].

Le nom du village de Dolus provient du latin Dolut. À la Révolution, la commune a été renommée Sans-Culottes, avant de reprendre le nom de Dolus, puis Dolus-d'Oléron à partir de 1968[25].

Politique et administration

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À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

Dolus-d'Oléron appartient à la Communauté de communes de l'île d'Oléron, structure intercommunale regroupant 21 889 habitants (2011). Une partie de son domaine maritime est compris dans la réserve naturelle nationale de Moëze-Oléron et dans le parc naturel marin de l'estuaire de la Gironde et de la mer des Pertuis, dont le siège est à Marennes.

Dans les années 2010, un spectaculaire bras de fer oppose la municipalité de Dolus d'Oléron à la chaîne de restauration rapide McDonalds[26]. Certains habitants entendent se mobiliser contre un projet d'ouverture d'un restaurant de la firme américaine[27]. Après cinq ans de combats judiciaires et de recours, le premier McDonalds de l'Île d'Oléron finit par ouvrir ses portes à la fin du mois de décembre 2019[28],[29].

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 mars 2001 Chantal Cantiant DVD
(Gaulliste)
Psychosociologue thérapeute
Ordre national du Mérite : chevalier (1980), officier (2001),
commandeur (2011)
[30]
mars 2001 mars 2014 Jean-Jacques Bazerbes DVD  
mars 2014 juillet 2020 Grégory Gendre DVG
(Écologiste)
Cadre supérieur
juillet 2020 En cours Thibault Brechkoff DVD Juriste

Politique environnementale

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La commune de Dolus-d'Oléron adhère à la charte Terre Saine du Poitou-Charentes depuis le , s'engageant ainsi à ce que les services des espaces verts de Dolus n'utilisent aucun pesticide[31].

Le conseil municipal a adopté, le , une motion opposée au traité de libre-échange transatlantique[32].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

En 2021, la commune comptait 3 155 habitants[Note 3], en évolution de −3,34 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0822 1011 6982 0112 1822 1692 1742 2002 228
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 0872 1992 2112 2092 2252 2122 1652 0552 058
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0752 0291 9461 7631 7361 6581 6771 6631 604
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 7441 7862 0062 1452 4402 7233 0433 1453 176
2014 2019 2021 - - - - - -
3 2533 1443 155------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Sports et loisirs

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Vie associative

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-André du début du XVIIe siècle.
  • Prieuré Saint-Médard et sa chapelle de la Perroche formant un ensemble comprenant un logis et une chapelle de style roman (début du XIIe siècle).
  • La commune de Dolus d'Oléron dispose de plusieurs plages dont certaines permettent la pêche aux coquillages et crustacés ; la plage de la Perroche est quant à elle un spot de windsurf et de kite-surf.

Personnalités liées à la commune

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  • Maurice Renard (1875-1939), romancier, inhumé au cimetière de Dolus.
  • Jacques-Yves Rollot (1895-1963), officier de l’armée française qui s'illustra principalement pendant la Première Guerre Mondiale puis pendant la Résistance dans le Sud-Ouest, maire de Dolus de 1949 à 1953.

Héraldique

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Blason Blasonnement :
Coupé : au 1er d'argent au renard de gueules passant la tête de face, au 2e losangé d'azur et d'or, au pal de sinople brochant.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Certains y voient une appartenance géographique au Midi de la France — en référence au « Midi atlantique » cher au géographe Louis Papy - ainsi Dolus-d'Oléron comme le département de la Charente-Maritime peuvent être rattachés à deux grands ensembles géographiques, le Grand Ouest français et le Grand Sud-Ouest français
  2. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Les gentilés de Charente-Maritime
  2. Louis Papy, Le Midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984, p. 21
  3. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  4. « Unité urbaine 2020 de Dolus-d'Oléron », sur insee.fr (consulté le ).
  5. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  8. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  9. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  11. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Dolus-d'Oléron », sur Géorisques (consulté le ).
  12. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  13. « Un approfondissement des connaissances sur ces priorités : la cartographie des risques sur les TRI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  14. « cartographie des risques d'inondations du TRI du littoral charentais-maritime », sur webissimo.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  16. a et b « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Réglementation des feux en extérieur. », sur charente-maritime.gouv.fr, (consulté le ).
  18. « Les Obligations Légales de Débroussaillement (OLD). », sur charente-maritime.gouv.fr, (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Dolus-d'Oléron », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  24. Dolus d'Oléron sur le site touristique officiel de l'île d'Oléron et du bassin de Marennes
  25. « Histoire | Dolus d'Oléron », sur ville-dolus-oleron.fr (consulté le ).
  26. ALIX COUTURES, « Un maire se bat pour éviter l'arrivée de McDonald's sur l'île d'Oléron », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
  27. « Ouverture controversée du premier McDonald’s de l’île d’Oléron », sur 20minutes.fr (consulté le ).
  28. Le Figaro avec AFP, « Un McDonald's controversé ouvre finalement sur l'île d'Oléron », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
  29. « Un restaurant McDonald's controversé ouvre finalement sur l'île d'Oléron », sur Franceinfo, (consulté le ).
  30. [1]
  31. « Terre saine - Votre commune sans pesticides », sur terresaine-poitou-charentes.fr (consulté le ).
  32. Commune de Dolus d'Oléron, « Délibération n°2015-03/19-01 – Motion sur le traité Transatlantique de libre-échange (TAFTA) » [PDF], sur collectifstoptafta.org (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Liens externes

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