Son père est ambassadeur de Hanovre et pianiste lié à Frédéric Chopin et Charles-Valentin Alkan. Bien que protestante, elle épouse le catholique Heinrich von Herzogenberg[1]. Elle est en grande partie connue pour son association avec Johannes Brahms[2]. En tant que musicienne aristocratique, elle n’a pas joué pour le public[3] mais elle a arrangé des chansons folkloriques pour enfants[4]. Ethel Smyth est son amante et lui consacre le chapitre XX de son ouvrage Impressions That Remained : Memoirs of Ethel Smyth[5].
↑(en) Paul Berry, Brahms among friends : listening, performance, and the rhetoric of allusion, New York, OUP USA, , 3–6 p. (ISBN978-0-19-998264-6, lire en ligne)
↑(en) Ethel Smyth, Impressions That Remained : Memoirs of Ethel Smyth, Alfred A. Knopf, , 509+69 (lire en ligne), p. XIII, 169-177